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Ce livre a été choisi par une main innocente dans ma bibliothèque, j'avoue que je ne l'aurais pas choisi de moi-même pour une lecture immédiate.

Je mets plus de temps à lire les polars historiques car les descriptions, les lieux sont plus étoffés, les meurtres ici mettent également plus de temps à venir moi qui suis habitué aux thrillers plus haletant. Mais ici partir à Rome au 15ème siècle en compagnie de Léonard de Vinci il ne m'en fallait pas plus pour avoir ce bouquin dans ma bibliothèque.

Une lecture très intéressante mais j'ai trouvé ma lecture plutôt longue lisant au maximum 80-90 pages par session, une ambiance bien retranscrite, l'époque est également très bien narré. le polar historique est un genre que je lis de temps en temps mais je préfère tout de même les polars contemporain.
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Si je dis 1515... vous pensez... Et bien non ! Ici, il s'agit de crimes d'horreur perpétrés dans Rome au XVIème siècle. Messer Léonard himself accompagné d'un jeune étudiant en médecine va mener l'enquête pour trouver le ou les meurtriers. Ces derniers n'hésitent pas à trancher des têtes et disposer les corps à la vue de tous sur des monuments symboliques pour les romains, telles les colonnes de Marc-Aurèle ou de Phocas.

Guillaume Prévost a écrit un roman très agréable à lire où se mêlent harmonieusement l'histoire, les intrigues de la société romaine (autour du Pape mais également les rivalités entre l'Italie et des pays voisins) et l'enquête.

En outre la description de Rome, de la vie des habitants, des bâtiments ou de leur construction (le chantier de la Basilique Saint-Pierre m'a intéressé) est très bien rendue et nous permet de nous plonger dans l'ambiance facilement.
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1514… Non, ce n'est pas la date où ce polar historique est entré dans ma biblio, même si ça faisait bien 500 ans qu'il y prenait les poussières…

Nous sommes en décembre 1514, à Rome et des crimes horribles ont lieu dans la ville où le pape siège. On a retrouvé un homme décapité, mais pas sa tête… Puis d'autres crimes suivront, tous violents.

Ne me demandez pas pourquoi je n'ai pas lu ce roman plus tôt… Ni pourquoi il a fini dans une caisse. le hasard m'a fait retomber dessus et j'en ai profité pour le lire.

Alors que je m'attendais à une lecture lente et ennuyeuse (me demandez pas pourquoi cet apriori), c'est tout le contraire qui est arrivé et les 280 pages sont passées assez vite, sans que jamais je ne piquasse du nez dessus.

Cette enquête, si elle ne va pas à l'allure d'un cheval au galop comme pour un thriller, elle se déroule tout de même à une allure de marche rapide, sans qu'il y ait trop de temps mort.

L'écriture de l'auteur est simple, sans être simpliste et il a réussi le subtil équilibre entre polar et histoire. Pas de doute, nous sommes à Rome en 1514, on le ressent bien dans le récit, mais sans que cela vienne polluer l'enquête.

Les personnages sont bien faits aussi : Guido Sinibaldi, le jeune étudiant en médecine, n'est pas un branquignol, même s'il fait ses débuts en tant qu'enquêteur, quant à Leonard de Vinci, ce fut un véritable plaisir de le côtoyer (pour du faux, je ne suis pas contemporaine de son époque).

D'ailleurs, par bien des aspects (déguisements, enquête, recherche des indices, bluff), il m'a fait penser à un Sherlock Holmes, le talent pour la peinture en plus.

Le suspense est bien maîtrisé, l'enquête avance d'un bon pas, mais sans aller trop vite (là aussi, il faut savoir équilibrer) et l'explication finale arrivera avant la dernière page, afin que l'on puisse recevoir les explications et courir un peu à la poursuite de la personne coupable (que je n'avais pas vu venir).

Si le mobile est classique (ils ne sont pas légion non plus), la mise en scène était recherchée. Les crimes, en plus de ne pas être banals, avaient de la logique et de la recherche. Il y en avait aussi dans la manière qu'a eue l'auteur pour nous raconter tout cela.

Le petit incident qui arrive à la fin m'a fait rire, je l'avoue… Limite si je ne me suis pas esclaffée. le Vatican m'excommuniera pour cela, mais je m'en tape ! Bravo, Leonard !

Par contre, je mérite d'aller au coin pour avoir laissé ce chouette polar historique croupir dans mes étagères avant d'aller dans une caisse de rangement. Là, honte à moi.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Un roman qui se lit vite et dont la lecture nous mène loin sur internet tant les sujets, les personnages abordés et les lieux à revisiter sont nombreux.

Un style simple, sans fioritures, tout en étant très précis en ce qui concerne la description des lieux abordés ; un rythme qui ne faiblit pas, une intrigue qui se tient jusqu'au bout et des personnages bien campés même s'il ne sont pas tous très attachants.

Faut dire qu'une balade dans la cité éternelle au début du XVIème siècle en compagnie de Messer Léonard de Vinci, ça ne se refuse pas :-)

Encore un livre non lu perdu dans ma bibliothèque ; j'ai dû l'acheter sur un coup de tête ou plutôt attirée par la couverture et puis, mystère, il s'est noyé dans ma pal avant d'intégrer mes belles étagères… J'aime faire ce genre de découverte, à chaque fois je suis surprise du potentiel littéraire de ma pièce préférée dans la maison, après la cuisine bien sûr ;-)
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L'un de mes plaisir de lectrice est de me plonger de temps en temps dans un bon roman policier historique, pas souvent parce que c'est un genre qui -il faut bien l'admettre – se répète souvent et je déteste ça, cette lassitude qui s'empare parfois de moi, ce «encore ! C'est toujours pareil ! » et parce que c'est un genre qui, s'il m'a offert de très bons moments de lecture, m' a aussi imposé de cuisantes déceptions. Je m'y rends donc avec une parcimonie toute calculée, de peur de gâcher le plaisir éventuel.
Et d'ailleurs choisir le bon polar historique relève de l'épreuve. Il y a tellement de titres, de séries qu'il y a forcement du médiocre dans le lot. Comment faire alors ? Avant souvent, je choisissais en fonction d'une époque qui m'attirait plus qu'une autre à une période donnée. Sauf que ce n'est pas parce que l'intrigue de l'ouvrage prend corps dans une époque qu'on apprécie qu'on trouvera nécessairement le livre bon… Il m'est arrivé de procéder par auteur. Parce que le roman de l'un d'entre eux m'avait plu, je me jetais plus ou moins dans sa bibliographie. Là encore, c'est prendre le risque de la répétition, de la redondance, de la monotonie et celui de la médiocrité. Je suis peut-être trop exigeante ou snob mais je suis convaincue qu'au bout de dix volumes d'une même série parus à la vitesse grand V, lesdits romans perdent en qualité, que leur auteur ne fait que combler les vides d'un cahier des charges sans se soucier de la qualité littéraire de ses écrits… Ainsi j'ai mis au placard ma manie des bibliographie, adoptant la stratégie suivante : lire le premier volume, le deuxième peut-être et après… stop, parce que je trouve ça répétitif et moins bons surtout (C'est à toi que je pense Anne Perry dont je n'ai aimé que « L'étrangleur de Caterv Street », ou à toi Olivier Barde-Cabuçon dont j'adorais pourtant les premières enquêtes du «commissaire aux morts étranges »).
A présent, ce sont l'instinct et les conseils des libraires qui président à mes choix et pour ce coup-ci, ni l'un ni l'autre ne m'ont trop trompée et j'ai pris beaucoup de plaisir à lire « Les Sept Crimes de Rome » orchestrés de manière diabolique par Guillaume Prévost.

Nous sommes à Rome en 1514 (L'Italie renaissante…une de mes périodes favorites!) et on y découvre avec effroi le corps supplicié et décapité d'un jeune homme sur la statue de Marc-Aurèle. le crime est signé, marqué : sur le mur s'étale en lettres de sang l'inscription « Eum qui peccat » (« Celui qui pèche »).
La suite de la citation ne se fait pas attendre : « … Deus castigat » (« Dieu le punit ») et elle signe un autre meurtre découvert peut après, celui d'un vieillard qu'on retrouve assassiné, nu et attaché à une échelle…
Bientôt, la Ville éternelle est en émoi d'autant que les meurtres se succèdent à une cadence effrénée… et aucune des pistes suivies ne semblent porter ses fruits, aussi sanglants fussent-ils…
Et ces messages qui parlent péchés et punitions divines…

Guido est étudiant en médecine et surtout le fils du défunt barigel de la ville, Vincent Sinibaldi. le jeune homme a hérité de son père la passion des affaires criminelles et des enquêtes. Protégé par le capitaine de police Barbieri dont son père fut autrefois l'ami, il se lance dans la résolution des crimes qui entachent Rome et avant qu'il ne parvienne à en élucider le mystère, sept victimes y perdront la vie. Pour ce faire, il sera aidé par Léonard de Vinci, alors en résidence à Rome et sous la protection du frère du Pape Léon X. Les hommes ne seront pas trop de deux pour démêler l'écheveau d'une affaire particulièrement sombre et torturée qui les conduira des bas-fonds les plus sordides de Rome aux bibliothèques du Vatican, des geôles de la ville aux ors des réceptions, sur fond d'intrigues politiques et d'Histoire des Arts.

Certes l'intrigue et sa résolution même si je me suis faite avoir comme une bleue (mais qu'on ne s'y trompe pas, j'adore ça!) ne sont pas foncièrement originales mais j'ai passé un excellent moment avec « Les sept crimes de Rome » menés tambour battant et de manière virtuose. On peine à lâcher le livre écrit dans un style fluide mais élégant, sans fioritures mais travaillé. L'idée de faire enquêter Léonard de Vinci était audacieuse mais l'essai est plus que réussi. de plus, Guillaume Prévost a su doser l'équilibre entre son intrigue et l'aspect historique de son roman dont l'érudition n'alourdit en rien le propos, au contraire. C'est même un plaisir de déambuler dans cette Rome-là, complexe et fascinante, en compagnie de personnages fort bien campés si ce n'est attachants.

On m'a dit que l'auteur avait écrit d'autres romans policiers dont il a placé l'intrigue au tout début des années 20. J'ai presque envie de me laisser tenter.
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Des crimes commis à Rome en 1514 et Léonard de Vinci en personne pour mener l'enquête. le livre avait de quoi éveiller mon intérêt.

La mise en scène des meurtres est intéressante, l'idée de se référer à une peinture pour les commettre m'a bien plu. L'intervention du célèbre artiste, scientifique, ingénieur, inventeur, anatomiste, peintre, sculpteur, architecte, urbaniste, botaniste, musicien, poète, philosophe et écrivain apporte un petit plus à l'histoire et c'est d'ailleurs certaines de ses qualités qui vont aider à démasquer le meurtrier.
Il est aidé au cours de cette enquête par le jeune médecin, fils de l'ancien barigel et cela m'a fait un peu penser à Sherlock Holmes et au docteur Watson.

D'un point de vue général cette lecture est divertissante. L'évolution de l'enquête n'est pas toujours très fluide, du coup on ressent une certaine gêne. le sentiment que c'est trop orienté, des indices un peu trop téléphonés, des circonstances hasardeuses. Toutes ces choses empêchent de rendre crédible l'histoire. C'est dommage. D'ailleurs la dernière page tournée, j'en suis encore à me demander à quoi à servit le passage de badinage entre le jeune Guido et la belle Flora… Et que dire de ce criminel qui ne cesse de fournir des indices aux personnes qui sont sur ces trousses.

La conclusion est loin d'avoir été une révélation, j'aurais aimé être pris au dépourvu. Ici, les explications sur l'origine des crimes et les raisons qui ont poussées son auteur à les commettre sont assez bancal.

En fait tout le livre est un château de carte, et il suffit d'un rien pour faire écrouler l'intérêt qu'on peut lui porter. Sans l'originalité dans la façon de commettre les meurtres, je pense que je me serais rapidement ennuyé.
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Le choix d'un Léonard de Vinci menant l'enquête est une idée aussi originale que délicate à mettre en oeuvre. Comment écrire une fiction historique en y intégrant un personnage ayant réellement existé et admiré de tous sans en ternir l'éclat ni la réputation ? Ici, Guillaume Prévost semble avoir résolu une partie de ce problème en intégrant au récit un narrateur fictif, un jeune étudiant en médecine, nommé Guido Sinibaldi. Léonard n'est donc finalement pas le personnage central du récit bien qu'il joue un rôle fondamental dans l'intrigue.

Guido, le narrateur de cette histoire, est le fils de l'ancien barigel de Rome. Son père, honnête et compétent, mourut au cours de l'exercice de sa fonction, lors d'une fusillade. le capitaine Barberi, qui était son second à l'époque, était présent au moment du drame et depuis, ne se pardonne pas de n'avoir rien pu faire pour le sauver ce jour-là. Il s'est par la suite beaucoup occupé de Guido et c'est lui qui dans le cas présent lui permit de s'investir dans cette enquête.

La rencontre entre Guido et de Vinci a lieu dès le début de l'affaire, dans la salle de dissection de l'hôpital San Spirito où repose le premier cadavre. Les connaissances de de Vinci, qui avait l'habitude de se rendre à San Spirito pour ses dessins d'anatomie avaient conduit Barberi et le doyen à s'enquérir de son avis sur les causes du décès. Guido, qui admirait beaucoup le célèbre artiste engage la conversation avec lui et lui propose, grâce à ses relations, de prendre part à cette enquête. Léonard, séduit par le mystère de toute cette affaire et ravi de cette opportunité que lui offre Guido accepte sans hésiter. Ainsi commence l'aventure des deux hommes.

A l'époque où se déroule l'intrigue, de Vinci est un vieillard. Il est sous la protection de Julien de Médicis et nous apparaît comme un « sage » qui guide le jeune Sinibaldi. Tel un mentor, il le conseille, l'encourage à se poser les bonnes questions.

Je dois avouer que je me demandai rapidement ce que venait faire ce jeune étudiant dans cette enquête qui ne le concernait en rien. En outre, je trouvais le jeune Sinibaldi assez passif et « inutile », dans le sens où il semblait dépassé par les évènements et plus spectateur qu'acteur de l'investigation. C'était de Vinci, le véritable cerveau du duo, lui qui trouvait les pistes, qui menait à bien les raisonnements et semblait avoir l'enquête en main. Néanmoins, Guido a bel et bien un rôle de premier plan dans le dénouement et est un héros auquel on s'attache.

L'auteur profite aussi de son livre pour nous offrir un splendide diaporama de Rome au XVIième siècle, toile de fond de cette intrigue. Au détour d'un paragraphe, il glisse de fines descriptions des grands monuments (la chapelle Sixtine, colonne de Marc Aurèle…) et intègre à son récit de grandes têtes historiques. Ainsi, croisons-nous le peintre Raphaël, le pape Léon X ou encore Francesco Melzi, élève de de Vinci. Il nous livre également des anecdotes, glisse des références à la vie de certains personnages (et notamment de la vie de de Vinci). J'ai en outre particulièrement apprécié d'y découvrir en chair et en os Salaï qui a eu une grande importance dans la vie de Léonard ou même certains clins d'oeil tel que de Vinci évoquant sa tendance à ne pas terminer ses oeuvres ou bien la peinture de « Saint Jean Baptiste » (bien que sur le sujet l'auteur ait pris quelques libertés, c'était assez amusant de la retrouver ainsi dans ce roman). Autant de références et de clins d'oeil qui « pimentent » le récit et le rendent d'autant plus savoureux.

Au niveau de l'intrigue policière en elle-même, j'avoue que j'ai noté quelques longueurs. A l'image des personnages, j'ai trouvé qu'on piétinait pas mal de temps. le rythme s'accélère vers la fin. A partir de là, tout s'enchaîne très vite. Peut-être un peu trop vers la fin. Certaines de mes questions restent en effet sans réponse, notamment la façon dont Guido a pu déduire certaines choses.

En revanche, elle est bien menée, recherchée et l'auteur brouille bien les pistes. le coupable a été une « surprise » (entre guillemets parce que comme dans tous les policiers on en vient quand même à suspecter tout le monde !) et j'ai trouvé l'idée du mobile très bon.

La pseudo histoire d'amour de Guido m'a par contre déçue. Je ne l'ai trouvée ni touchante, ni très crédible… et particulièrement bâclée. Sans compter qu'elle n'apporte pas grand-chose à l'intrigue. Quitte à vouloir en intégrer une au récit, j'aurais préféré qu'elle soit plus développée. Ici, elle se concentre sur quelques pages ça et là. A la fin, j'avais même l'impression que l'auteur l'avait complètement oubliée ! Et finalement il la boucle en deux-trois phrases dans la toute dernière page…

Néanmoins, l'ensemble reste un policier historique de grande qualité avec une bonne intrigue, et des personnages travaillés. Guillaume Prévost nous livre ici une oeuvre très documentée qui permet au lecteur de visiter Rome au XVIième siècle à travers une aventure aussi mystérieuse que captivante.
Lien : http://afleurdemots.nhost.me..
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Décidément, j'aime les romans historiques d'autant plus que celui-ci est un policier. J'ai dévoré ce livre tant le rythme est soutenu et haletant.
Effectivement Léonard de Vinci fait partie de l'équipe chargée de l'enquête mais j'ai trouvé qu'il était largement en retrait par rapport au jeune Guido Sinibaldi. le Maître a le sens de l'observation, trouve des pistes mais le jeune médecin qui l'accompagne un moment, n'est pas dépourvu de logique !
Et il va en falloir pour résoudre tous ces crimes tous plus odieux les uns que les autres ; on se demande qui peut bien profaner des corps de ces différentes manières et dans quel but ? Règlement de compte ? Ou le désir de toucher indirectement le Pape ?
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Les réflexions des uns et des autres confirment que chacun a compris ma préférence pour les romans policiers. Vous subodorerez maintenant le plaisir que j'ai à lire une oeuvre mettant en scène des personnages issus de l'Italie de la Renaissance –rappelez-vous le délicieux roman de Ian Pears intitulé L'affaire Raphaël- !
En effet, Guillaume Prévost propose une oeuvre dans laquelle l'enquêteur principal n'est autre que Léonard de Vinci… avec pour toile de fond la Rome de 1514 !
L'auteur réussit le tour de force de nous emmener dans une affaire de crimes en série réalisés sur les plus beaux et glorieux des monuments antiques de Rome (Statue de Marc Aurèle, Forum, etc.) avec un point culminant dans la Chapelle Sixtine… vous savez, celle au plafond peint par Michel Ange ! Vous comprenez par ce détour le choix de mon pseudonyme !
Ce thriller historique est un premier roman bien écrit, palpitant et agréable à suivre. C'est une vraie réussite que je vous engage à lire sans délai, surtout si vous projetez un petit voyage à Rome dans les mois à venir.

Michel Ange, avril 2003
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Quel plaisir de lire un excellent roman policier historique!
Ce livre permet de voir évoluer des personnages bien connus et l'un d'entres eux n'est autre que Leonard de Vinci. ce dernier même l'enquête aux côtés du narrateur un jeune étudiant en médecine. A eux deux ils doivent découvrir qui est derrière les meurtres sanglants qui viennent endeuiller Rome et surtout qui est derrière la conspiration visant à affaiblir le Vatican.
Le roman est palpitant, nous tâtonnons avec les enquêteurs, comment arrêter ce qui se prépare?
Nous sommes plongés dans une Rome d'une autre époque, la ville du pape mais aussi une ville de la renaissance où les arts et les connaissances fleurissent. Que c'est agréable.
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