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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Quelle belle lecture, musicale, poétique ! C'est la couverture qui m'avait dans un premier temps happée puis le titre. Opus 77 ? Qu'est ce donc ? Je n'avais au grand jamais entendu parlé ni entendu avec mes deux oreilles cette Opus 77 de Chostakovitch car j'ignorais totalement ce compositeur. Et bien oui, on ne peut pas tout connaitre faut toujours garder un peu de découverte pour chaque jour de notre vie.
La lecture nous met donc au rythme de ce concerto, chaque partie correspond à celui du morceau.
C'est à la fois un roman sur la famille, les liens forts et les répercutions des agissements des uns et des autres et le milieu de la musique classique.
C'est malgré tout un peu difficile au début de se plonger pleinement dans l'histoire, il y a des allers retours entre passé et présent. Plusieurs histoires viennent également s'inviter notamment celle de ce fameux Opus 77. Très intéressant d'ailleurs à découvrir pour ceux dont la curiosité est vive.
J'ai beaucoup aimé le lien fraternel, mais je regrette cependant que le frère soit mis si peu en avant.
Belle découverte et lecture intéressante et originale.
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Un roman dense dans lequel une pianiste classique, fille de chef d'orchestre star, déconstruit une vie de famille destructrice derrière les apparences de la réussite, où la violence des sentiments, la solitude et la folie sont omniprésents.
En toile de fond, les coulisses de la vie de star, à des moments clés de la carriere des quelques musiciens classiques qui émergent d'un océan de musiciens inconnus, quoiqu'aussi doués les uns que les autres.
Le point central et à la fois final du roman est la cérémonie pour les obsèques du père. L'événement clé est le concours Reine Elizabeth, quelques années plus tôt, où le fils se mesure au fameux concerto pour violon opus 77 de Chostakovitch.
Ça fuse, ça flash-backe, ça bouscule, ça grince, dans un style très animé, drôle et sans tendresse pour le système.
Le milieu, les aspects musicaux et techniques sont vraissemblants, l'auteur a travaillé son sujet et pris conseil chez qui il fallait !!
C'est drôle, mais aussi poignant par moment, tout en restant très agréable à lire.
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"Opus 77" le dernier roman d'Alexis Ragougneau m'a fascinée avant même que je n'ouvre le livre. La jaquette est si magnifique, l'oeil de ce jeune homme qui nous scrute caché par un violon, si magnétique, l'ouïe noire et un "O" rouge si féériques que je suis restée longuement charmée, l'ouvrage à la main.

Et puis je l'ai ouvert et les mots ont remplacé les images, sans que la magie ne cesse… "…retranscrire l'émotion qui peut nous bouleverser à l'écoute d'une oeuvre." C'était l'objectif de l'auteur et c'est réussi. Je voulais ralentir, faire durer le plaisir et il aura suffi d'une petite journée de pluie – O bruit doux de la pluie… sur le velux de ma chambre – pour aller au bout, au bout de ce véritable coup de foudre. Il arrive parfois que les mots d'amour soient difficiles à trouver. C'est le cas. Comment traduire – je ne suis pas écrivain, moi – tout ce que j'ai ressenti, ces frissons, cette envie d'aller plus vite et tout en même temps de me poser pour retrouver mon souffle, cette oppression, cette tension…

C'est dans l'église où repose le cercueil de Claessens que tout commence. Ariane a décidé de jouer, au piano, elle la virtuose de renommée internationale, le fameux Opus 77, concerto pour violon et orchestre de Chostacovitch. Et là, à renfort de flashback elle nous parle, elle repense à sa vie dans le désordre, aux bons moments mais aussi et surtout aux mauvais. Elle raconte la vie de sa famille de musiciens : Claessens, - on ne connaîtra pas son prénom – le père, pianiste, lui aussi, puis chef de l'OSR (Orchestre de Suisse romande), la mère, Yaël, chanteuse lyrique et David, surtout David, le grand frère violoniste.

Le frère, artiste maudit, et cet Opus 77, la clé. Au fil des cinq chapitres du roman, les cinq mouvements du concerto la vie de David se mêle à celle du compositeur tout à la fois adulé et menacé par Staline en son temps. le totalitarisme ici, c'est le père, sa mainmise sur sa femme, ses enfants et David qui, malgré son admiration, voudra s'en détacher. Car il n'est pas facile de devenir un artiste en restant soi-même.

L'écriture est vibrante, animée, envoûtante et le rythme va crescendo. Il m'a happée et, tel le fameux concerto écouté pendant la lecture, ne m'a pas lâchée jusqu'au final.

Ce roman, d'une force indicible sera, je le sais, plus qu'un coup de foudre, une histoire d'amour au long cours.

Lien : https://memo-emoi.fr
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Une église, bondée. Un enterrement. La foule est nombreuse pour rendre un dernier hommage à Claessens, le célèbre chef d'orchestre.

Sa fille, Ariane, virtuose du piano, prend place devant son instrument et joue, à la stupeur générale, les premières notes de l'Opus 77 de Chostakovitch. Ariane entreprend alors de nous raconter l'histoire de ce morceau et ce qu'il a de particulier pour sa famille.

Une famille dont la vie tourne autour de la musique, entre le père chef d'orchestre, la mère chanteuse soprano, le fils petit génie du violon et Ariane passionnée de piano. Une famille, connue et reconnue, où le talent semble se transmettre de génération en génération, et qui donne toutes les apparences de la perfection. Et pourtant ...

Entre un père charismatique et une mère dépressive, les enfants doivent trouver leur place, tout en tirant leur épingle du jeu dans l'univers de la musique professionnelle, entre travail acharné, pression, concurrence entre les musiciens, et course à la gloire et à la notoriété.

Quand le frère prodige chute de son piédestal, Ariane le remplace sur le devant de la scène. Pianiste virtuose, elle se noie dans son art, enchaînant les concerts, les villes, les hôtels, les hommes, vivant sa vie telle une automate.

Une vraie plongée en apnée dans les coulisses du monde de la musique, un monde de paillettes mais aussi un monde dur, violent, destructeur, qui broie les plus faibles et déshumanise les autres.

Un roman magnifiquement écrit, fluide et puissant, où la musique est sublimée, omniprésente, à travers les références aux oeuvres citées mais aussi dans le vocabulaire qu'utilise Ariane.

« Opus 77 » est un texte époustouflant, poignant, une vraie claque, jusqu'à la dernière phrase qui résonne encore longtemps après avoir fermé le livre.
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Sa couverture est tout simplement sublime. Et puis, vous avez dit musique classique, violon, regard mystérieux d'un violoniste 🎻? Je craque.

L'histoire :
Une famille déchirée par la musique ou plutôt par l'ego du père, un éminent pianiste, reconverti en chef d'orchestre acclamé. Aux funérailles du patriarche Claessens, le fils, violoniste prodige est absent. Ariane, la fille pianiste, est seule pour jouer ce 4ème mouvement de l'Opus 77 de Chostakovitch qui marqua l'éclatement définitif de leur famille. C'est l'occasion pour elle de se remémorer son histoire, celle de ses parents, mais surtout celle de son frère, exilé dans le silence d'un bunker.

Mon avis :
Coup de coeur ❤️❤️! Dès que ça parle musique classique et violonistes🎻, ça ne peut que me passionner. Mais ici l'histoire est tout simplement belle, la musique peut-elle détruire ? Non, c'est l'ego des artistes. On suit les pensées d'Ariane pour se souvenir de ce frère absent, une étoile fugace. le monde de la musique classique et la vie de soliste est présentée de manière crue, réelle : le stress, la pression, les compétitions, l'image. D'un côté la fille qui suit les pas du père et devient un automate, de l'autre le frère, qui a la musique dans les veines, mais refuse ce cirque et cède (se sacrifie ?) au silence apparent.

J'avoue que ma seule frustration est que j'aurais aimé savoir ce qu'il y avait dans la tête de David, le frère violoniste. Sinon cette lecture a été un pur régal, le style est tout simplement juste, beau, élégant. La manière de présenter les morceaux de souvenirs déstructurés, les dialogues, le tout révèle une réelle maîtrise littéraire. Je ne connaissais pas l'auteur, mais ce livre m'a tout simplement subjuguée et je serai curieuse de découvrir ses romans policiers.
Lien : https://gefroideval.wordpres..
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Emotion assurée. Si vous aimez la musique, celle qui fait vibrer et atteint l'âme, vous aimerez Opus 77. Ici, les mots sont comme des notes blanches ou noires, croches ou rondes, qui courent sur les pages, remplissent les portées de lignes que nos yeux parcourent, résonnent à nos oreilles parce qu'on n'a pu s'empêcher de résister à la tentation de mettre en fond sonore le concerto pour violon de Chostakovitch op 77, et expriment des sentiments qui nous rejoignent au plus profond de soi.
Le jour de l'enterrement de son père, alors qu'Ariane Claessens joue au piano ce concerto si lourdement chargé de sens chez le compositeur comme dans l'histoire de sa famille, les souvenirs remontent à la surface. La musique est à la fois le ciment et la faille de la famille Claessens. Claessens le père, dont nous ne saurons le prénom, que des mains arthritiques ont fait dévier de la carrière pianistique vers celle, tout aussi brillante, de chef d'orchestre ; Yaël, la mère dont la fragilité psychologique a eu gain de cause d'une carrière de soprano et la condamnera au mutisme dans un asile psychiatrique ; David, le fils violoniste au talent exceptionnel et prometteur qui mettra fin à une carrière mort-née pour s'enfermer dans un bunker de la montagne vaudoise ; enfin Ariane, la fille, qui poursuit, contre vents et marées, une carrière de pianiste virtuose mais qui reste dans l'incapacité de construire sa vie privée. Car la musique est avant tout une passion, et souvent dans les deux sens du terme. Elle aura raison de leurs relations familiales : dévastatrice entre l'époux et l'épouse, dominatrice et ravageuse entre le père et le fils, fusionnelle entre le frère et la soeur. Tous doués, ayant une sensibilité exacerbée, mais qui provoque un déséquilibre au point d'en mener certains au bord de la folie. Si la musique met hors du temps, si elle coupe du monde réel, apportant pour ceux qui l'écoutent un oubli salvateur et un bien-être, pour ceux qui en possèdent le don, elle accapare et peut mener au bord du précipice. Tout est donc compliqué, torturé dans la famille Claessens, où seule la musique peut exprimer ce que les mots se refusent à dire, où la sensibilité est à fleur de peau et de carapace, où le poids de la renommée et de l'hérédité écrase cruellement. Alors que Claessens père vient de s'éteindre, David, le fils, pourra-t-il renaître de ses cendres ?
Magnifique récit, j'allais écrire récital, où chacun peut, si ce n'est y retrouver des bribes de sa vie, du moins être touché aux larmes.
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C'est Poirette qui m'a fait découvrir Alexis Ragougneau dans Evangile pour un gueux ; c'était il y a un peu plus de trois ans. Faute de temps, et parce que les tentations sont toujours plus nombreuses, je n'y étais pas revenue. Alors quand un auteur de polar s'aventure en littérature blanche, cela m'intrigue. Quand la musique l'inspire, je ne peux y résister…rater ce livre eût été une grave erreur !!
Claessens, le père, est dans son cercueil. C'est Ariane, sa fille et pianiste de renommée internationale qui va lui rendre hommage en jouant une réduction au piano du célèbre opus 77 de Chostakovitch (je vous encourage vivement à l'écouter attentivement).
Chez les Claessens on a la musique en héritage. Yaël la mère était cantatrice, le père a été pianiste puis chef renommé et redouté d'un orchestre suisse ; et puis il y a David, violoniste doué et prometteur qui désormais vit reclus dans un abri de l'armée suisse.
Si chez les Claessens on a reçu la musique en héritage, tout ne tourne aussi régulièrement qu'un métronome.

C'est Ariane qui tout au long de ce passionnant roman se confie sur sa famille en mêlant le présent au passé presque à l'insu du lecteur qui se laisse entrainer dans les méandres de cette famille avec en fond sonore cette composition musicale de toute beauté.

Alexis Ragougneau qui n'a pas choisi par hasard le fameux opus 77 et pousse le raffinement en y calquant la construction de son roman. Il y montre la fragilité extrême de l'artiste esclave de l'autorité du père et de l'exigence de son art, comme l'a été le compositeur Chostakovitch harcelé par le pouvoir soviétique….

Un magnifique roman qui ne peut que plaire aux mélomanes, et sans aucun doute au -delà.

Un grand merci aux éditions Viviane Hamy et Babélio pour la lecture de ce livre dans le cadre de la masse critique.


Lien : https://leblogdemimipinson.b..
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N° 1429 - Février 2020.

Opus 77 – Alexis Ragougneau – Éditions Viviane Hamy.

L'opus 77 de Dimitri Chostakovitch, concerto n°1 en la mineur pour violon, qui selon l'auteur « symbolise le combat de la lumière face aux forces obscures » est l'image de la vie de ce compositeur, ballotté par Staline entre la reconnaissance et la déchéance. C'est aussi autour de cette oeuvre que tourne cette histoire, celle des Claessens, dominée par le père, pianiste virtuose puis chef de l'Orchestre de la Suisse Romande, à la manière de la statue du Commandeur. La mère Yaël est cantatrice mais arrête tôt sa carrière, dans la dépression et fait figure d'absence dans ce roman, David le fils aîné, génial violoniste doué d'une impressionnante mémoire et Ariane, pianiste d'exception, complètent ce tableau. C'est elle, la narratrice de cette saga qui, presque sur le ton de la confidence et au rythme de cet opus 77 dont elle détaille chaque mouvement, nocturne, scherzo, passacaille, cadence, burlesque, prête au lecteur l'envol des notes, la difficulté du rôle de soliste face à la partition et à l'orchestre, lui fait partager tout le plaisir de la musique autant que les rebondissements de cette histoire familiale. A l'aide de nombreux analepses, elle alterne les derniers moments de son père et son cheminement vers la mort avec les souvenirs qui ont émaillé la vie de cette famille et spécialement ceux qu'elle partage avec son frère. Aux obsèques, Ariane jouera au seul piano cette pièce au lieu d'une marche funèbre et c'est ce même morceau qui aurait pu ouvrir les portes du succès à David au prestigieux concours « Reine Elizabeth » de Belgique, mais qu'il a refusé de jouer jusqu'au bout, annihilant ses chances de succès, puis disparaissant du jeu, de la société, de la musique pour une retraite solitaire. C'est ce même opus qui réunira au pas de la mort le fils et le père, comme si cette ultime rencontre pouvait gommer toutes ces années perdues.
Ce que je retiens, c'est l'attitude de David qui, surdoué et promis à un bel avenir, choisit le silence face à un concours dont ils aurait été le lauréat et qui choisit l'isolement quasi monastique dans un bunker suisse en pleine montagne. Cette manière de gâcher ses chances et ses dons m'interpelle dans un monde où la réussite est portée au pinacle, où il faut impérativement se faire valoir, se vendre pour avoir la notoriété, l'argent, l'admiration des autres et peut-être l'estime de soi.

Tout au long de ma lecture, j'ai pensé à cette citation d'André Gide « Famille je vous hais » qui tranche tellement sur la vision traditionnelle qu'on veut en donner et qui ressemble un peu trop à une image d'Épinal. Tout aurait pu aller pour le mieux dans le meilleur des mondes dans ce microcosme voué à la musique mais l'ambiance y était étouffante. Si le frère et la soeur sont intimement liés et la mère vouée aux médicaments, le père, que la narratrice n'appelle que par son nom, rendu volage par le succès et peut-être aigri par la maladie naissante, entend imposer le piano à ses enfants. Mais c'est le violon que choisit David, comme un désaveux. C'est cette même forme de contestation qui le fait s'éloigner du giron familial et se donner en spectacle dans la rue pour quelques pièces. Certes Ariane surnommée « La rouquine » sera pianiste, mais elle n'est pas tendre avec son géniteur et ce qu'elle dit ressemble à un règlement de compte. Ce qu'elle aime, elle, c'est surtout c'est la liberté et la vie dont elle entend bien profiter.

Je ne suis pas un mélomane averti et encore moins musicien mais j'ai apprécié la manière dont l'auteur, dans un style fluide et agréable à lire, détaille et explique cette oeuvre musicale, c'est souvent technique et approfondi mais ça n'exclut ni l'émotion ni le plaisir de la lecture.

©Hervé Gautier http:// hervegautier.e-monsite.com
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Magnifique roman sur une famille de musiciens, une tragédie grecque en 5 actes, ou plutôt en 5 mouvements, comme le concerto Opus 77 de Chostakovitch. Dans la famille Claessens, je demande la fille, la narratrice, pianiste virtuose; le fils, violoniste prodige; la mère, soprano prometteuse et le père, grand chef d'orchestre.
Mais, comme chacun sait, dans les milieux ultra compétitifs comme la musique, il ne peut y avoir qu'une star. L'ego dévore, les autres autant que soi-même. de plus, la musique est une drogue puissante et dévastatrice; elle pousse à des comportements extrêmes. C'est tout cela que raconte Opus 77.
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Ariane, pianiste, concertiste a un frère aîné, violoniste virtuose et un père ancien pianiste devenu le chef de l'orchestre de Suisse romande, basé à Genève. On comprend dès les premières pages que la famille Claessens baigne dans la musique pour le meilleur mais surtout pour le pire.
Chapitre après chapitre, Ariane déroule le fil de son histoire familiale, de leur enfance de musiciens précoces, constituée d'interminables heures de répétition, de travail instrumental, sous la férule du père, éternel insatisfait, terriblement exigeant, le tout dans une ambiance familiale de plus en plus délétère, sous le regard étonnamment détaché de leur mère, une ex-chanteuse lyrique israélienne, qui sombre dans la maladie mentale…
Ce livre est une pépite, bien écrit, cruel, poignant, psychologiquement fouillé, musicalement documenté, incroyablement dépaysant, absolument passionnant.
Le lecteur est cueilli dès les premières phrases, dans la basilique de Genève où se déroulent les obsèques de Claessens, aux accents de l'Opus 77 de Chostakovitch, une pièce très ardue de virtuose pour violon et orchestre qu'Ariane va interpréter seule, au piano à la stupéfaction des nombreux musiciens présents à la cérémonie. Pourquoi un tel choix ?
Pour apporter la réponse à cette interrogation, Ariane nous ouvre les portes de l'intimité familiale et nous fait plonger dans le cruel univers de la musique professionnelle…
Magnifique !
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