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2,97

sur 521 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Cela ressemble à un épisode de série. Court léger sans rien de sérieux. J'ai été jusqu'au bout car je savais que ce serait court sinon j'aurais abandonné car l'intrigue n'est pas passionnante du tout. Une étoile pour l'écriture limpide. Voilà. Un petit moment de lecture pour découvrir l'auteur. Rien de plus.
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Les avis dithyrambiques me laissent sans voix. Néanmoins, j'ouvre un avis de lecture sur un ouvrage, comment dire, dont je ne saisis pas vraiment la portée. L'histoire qui tient en 138 pages peut interpeller sur bien des sujets mais ceux-ci sont effleurés, voire contournés. Les personnages sont inconsistants, caricaturaux ( veste en tissu de lin!), et l'histoire juste invraisemblable.
A moins d'être un idiot congénital marié à une psycho addictive, personne ne va se fourrer dans un pétrin comme celui-là. Je me suis demandé à quel moment une intrigue digne de ce nom allait démarrer. Les dialogues intérieurs, questionnements pratiques du niveau d'un sociopathe sous lexomil, les visites (on s'y tient!) touristiques, rien ne tient la route.
Quant au cauchemar soi-disant vécu par nos bobos demeurés, je me demande encore si nous avons lu le même texte. La perquisition de la chambre d'hôtel par les policiers avec nos héros sur le balcon est un monument !
Je suis bon lecteur, large et tolérant, mais voir Editions de Minuit sur la couverture, et la liste de romans ( non lus) écrits par ce monsieur, je vais envoyer mes écrits à cette honorable institution. J'ai mes chances.
Aucun intérêt en deux mots
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Quelle déception !

Malgré un départ prometteur, j'ai trouvé l'écriture ultra redondante et les personnages très vides.

On s'ennuie et même les quelques passages rythmés ne parviennent pas à relancer notre intérêt pour l'intrigue.

Peu d'émotion concernant cette lecture, dommage.
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Je découvre l'auteur. Donc je n'avais aucun préjugé. La Quatrième de couverture m'a attirée. Je ne savais pas ce qui m'attendait, ni en bien, ni en mal. J'ai trouvé l'histoire très longue, mortellement ennuyeuse. le personnage principal insupportable. Sa femme complètement transparente. Cette histoire s'enlise, s'embourbe. Bref quel ennui ! J'ai du passer à côté de quelque chose ou cela n'était tout simplement pas pour moi. J'ajoute que j'attends toujours la fin de ce livre ayant cru que le fichier était corrompu et qu'il manquait la fin.
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C'est un roman qui m'a laissée perplexe. Je pourrais dire que j'ai détesté (la note dit tout). Pourtant, je n'y arrête pas d'y penser, de trouver des théories, des explications. Pas tant à l'histoire, mais à la démarche de l'auteur. C'est mon premier roman d'Yves Ravey. Apparemment il n'est pas à son premier coup d'essai dans le "faux polar".

Ce roman (court, heureusement), me fait penser à une très mauvaise blague que j'ai l'habitude de raconter. Je ne la raconterai pas ici, mais c'est une blague longue, dont le suspense fait mariner l'auditoire, tandis que le conteur se marre parce qu'il anticipe la déception du public, car la chute est vraiment pourrie. C'est un peu ce que j'ai ressenti en lisant ce roman. J'ai senti que l'auteur s'est marré à pondre une intrigue prometteuse, mais sans la développer, traînant sur des détails inutiles, exagérant les rebondissements, mettant le point final là où ça devient intéressant. Sans résolution, cela va sans dire.

De quoi ça parle ? Un couple de bobos pas très futés part en vacances à Taormine, en Sicile. La nana a tellement envie de voir la mer, qu'ils s'arrêtent à côté d'un campement d'immigrants, au coucher du soleil, pour qu'elle aille voir la mer (elle ne pouvait pas attendre, sérieusement ?) Quand ils partent, il pleut (soudain !), il fait nuit (déjà ?) et ils tapent quelque chose avec la voiture et ne s'arrêtent pas. Depuis, le mec va psychoter sur l'accident, se demandant s'il a écrasé quelqu'un. Il va évidemment prendre toutes les mauvaises décisions et sa nana, qui a été fortiche pour imposer de voir la mer, ne va pas avoir assez de force de caractère pour lui imposer d'arrêter de faire l'andouille.

Le roman s'étale sur la prémisse, il ne se passe pas grand chose à part une mémorable scène de fouille policière digne d'un sketch comique. D'où mon sentiment que l'auteur a voulu se payer la tête du lecteur. Je ne suis pas contre les "faux polars", "faux thrillers" qui cassent les fichus codes du genre. J'apprécie généralement ce que font Les éditions de minuit, mais ici, je suis restée perplexe. L'auteur a réussi son coup, puisque je suis curieuse de me pencher sur ses autres romans.
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Première lecture de Ravey. Impression d'avoir lu cent fois ce genre de livre avec un intrigue copiée et recopiée. Un couple en vacances en Sicile préfère continuer ses vacances et essayer de se réconcilier plutôt que de regarder la cause de l'accident. de plus, la fin semble escamotée, à croire qu'il manque des pages.
Habitué à mieux aux Éditions de Minuit.





















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«Aujourd'hui, on arrive à Taormine. Ou peut-être hier, je ne sais pas. »
Les Bidochons en Sicile! «En voyage organisé» tome 6 ou/et «en vacances» tome 2
Un début invraisemblable même pour une fiction avec des personnages normaux, appelons les, Raymonde et Robert, mais plus bêtes que la normale qui débarquent en Sicile pour se rabibocher. Et paf le choc: l'accrochage avec la tire. Pour qui connaît la Sicle, l'arrière pays, rien d'invraisemblable l'imprévu est à chaque tournant.
Par contre la suite...
D'où la réaction normale du conducteur qui a pris soin de prendre une assurance supplémentaire de ne pas la faire intervenir. Comportement incohérent de ce chauffeur qui déjà nettoyait son pare-brise avec sa bouteille d'eau: le petit commodo vers le volant et le lave-glace connais pas
« Quand on est con, on est con » disait Brassens
D'où les contrariétés et tracasseries qui viennent perturber «Des instants inoubliables » tome 14 du couple mais si peu la pérégrination avant tout Agrigente recèle de trésors .
La suite à l'avenant.
Narration au ton très désinvolte et qui se veut très sarcastique Ravey aurait pu pondre sa merdouille ailleurs qu'à Taormine, c'est surtout ça qui me chagrine car j'ai fait le même parcours, car il n' a pas le talent d'experts en humour comme Pirandello, Sciascia, Camilleri pour parler de la Sicile... sans parler du reste.
Un personnage (Raymond pleutre, lâche, vaniteux et borné ) soliloquant mais avec sa femme (Fernande naïve casse-bonbons mais surtout courge) inexistante. Yves Ravey utilise une sorte d'humour qui n'est pas noir au trait trop forcé mais qui est vraiment lourd, grossier, bête et gratuitement méchant. Ce n'est ni une situation ubuesque avec des clowns farfelus, ni une farce à l'italienne mais une cacade verbeuse!
Si Raymonde était restée à ses réunions féminines de sex-toys on n'en serait pas là mais elle a voulu voir Taormine.
Un bouffon ce Ravey qui pourtant à décroché le prix des Libraires en 2022 et fait partie de la première sélection du Goncourt.
Où on va, papa ?
Mais quand on voit les livres préférés des français de 2022 il ne faut s'étonner de rien!
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Il n'y a rien dans ce court roman. Ni intrigue, ni fin, ni psychologie, ni atmosphère, ni description sicilienne. le style est compliqué, alambiqué, prétentieux. Parfois, cela ressemble à un PV de gendarmerie écrit par un docteur es lettres. J'ai refermé la dernière page avec l'impression qu'il manquait des pages à la fin et la désagréable certitude de m'être fait arnaqué par Yvan Ravey et les éditions de Minuit. Je ne comprends même pas que ce manuscrit ait pu être publié.
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Un ouvrage pareil c'est scandaleux. Rien ne se tient. je suis peut être passé à côté de quelque chose. Mais je sors de ma lecture comme si on m'avait craché à la figure. L'histoire est idiote, le style il n'y en a pas. Point de rebondissements. Aucun attachement aux personnages. Ce roman semble être un brouillon d'écriture plus qu'autre chose.
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Alors moi qui ai été attirée par le titre comme un papillon par la lumière, j'en suis pour mes frais !! une histoire sans queue ni tête, des personnages sans âme, ou bien peut-être bêtes comme leurs pieds, un clin d'oeil aux méthodes d' une mafia aussi exagérée que diffamatoire quelque part (on est en Sicile après tout) , comment peut on écrire des choses pareilles ? et quand on ne sait pas comment finir, on s'en sort sur un bon gros cliché à la noix, ce couple de parisiens bcbg qui s'exfiltre sur un boat people non mais on va où là ? Si ça, c'est du grand art, alors moi je suis la reine Victoria …
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