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3,98

sur 2171 notes
Premier roman et quel roman !

Glaçant, éprouvant, dérangeant. On dévore les pages l'angoisse au coeur.
L'histoire tourne autour d' « Alpha » , prédateur très dangereux qui s'introduit chez les gens en pleine nuit et des policiers en charge de sa capture. Un jeu du chat et de la souris où les protagonistes ont tous de terribles secrets…

Ce livre n'épargne personne et surtout pas son lecteur. A travers une psychologie des personnages fouillée et qui les rend tous crédibles, Antoine Renand leur donne une vie propre. Tant du côté des bons, que des méchants. Même si la frontière entre les deux est parfois très mince …

Né alors une lecture terriblement inquiétante et qu'on ne peut lâcher tant on va de découvertes en découvertes. L'auteur fouille et farfouille au fond de ces héros afin que nous puissions « comprendre » chacun d'entre eux.

L'EMPATHIE fait partie de ses romans qui vous prend à la gorge dès les premières pages et ne vous lâche qu'à la fin, complètement vidé. Epuisé et pour ma part, pas vraiment conquis au final …

En effet, si j'ai littéralement dévoré les deux premiers tiers de l'ouvrage, ma lecture a fini par devenir un petit peu laborieuse et me laisser un peu sur le bord du chemin tout le dernier tiers du livre. Je l'ai refermé sans empathie pour ces personnages pourtant terriblement croqués. Soulagé d'en finir avec une histoire qui pour moi s'était déjà terminé au milieu du livre, me donnant une sensation de remplissage sur la dernière ligne droite.

Un trop qui, pour ma part, m'a peu à peu laissé sur le bord du chemin.
Nul doute que ce thriller glaçant rencontrera de nombreux adeptes et il le mérite, ne nous méprenons pas. Il ne m'a juste pas embarqué jusqu'au bout… C'était pourtant vraiment bien parti.

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Anthony Rauch, dit la Poire, est capitaine de police à la brigade du viol à Paris. Avec sa coéquipière Marion Mesny, ils traquent les violeurs en tous genres.

Celui qui fait parler de lui récemment, c'est celui qu'à la brigade, on nomme "le lézard". Cet homme qui pénètre chez ses victimes par la fenêtre, souvent laissée ouverte, quelque soit l'étage de leurs appartements.

Celui-ci préfère néanmoins qu'on l'appelle "Alpha", c'est ainsi qu'il se voit, en mâle dominant.

Lorsqu'Anthony évoque cette traque à la télévision, Alpha remarque immédiatement ce qui cloche chez lui... son point faible sans doute. Et il décide de se rendre à son appartement pour fouiller un peu dans sa vie.

Car la vie d'Anthony a effectivement de quoi aiguiser la curiosité. Et ce qu'Alpha va mettre à jour, va changer son existence et celle de sa coéquipière pour toujours.

A mon avis :
Ce livre n'est pas seulement un roman policier. C'est bien plus que cela, car il entre en profondeur dans les histoires personnelles de ses protagonistes, en fait également des histoires que l'on suit avec beaucoup d'intérêt.
Et elles permettent de mieux comprendre la psychologie de chacun et de chacune, mais aussi de rendre ce roman beaucoup plus intéressant.
Si cette approche est assez fréquente en littérature, ici, c'est la densité de ces histoires personnelles qui en fait l'originalité. Elles ne sont pas traitées comme de simples informations vite évoquées, mais elles participent du roman dans son entièreté et en forment sans doute au moins la moitié du récit.

Dès le prologue on découvre donc ce personnage qui deviendra le Lézard, ainsi que les flics qui seront rapidement à sa recherche. C'est dès ce moment que démarre l'énigme qui tournera durant une bonne partie du livre autour du personnage d'Anthony, qu'Alpha finira par révéler à tous, puisqu'il l'évoquera dans un enregistrement public.

Et chaque personnage finalement, a quelque chose de lourd à porter, qui fonde son métier et ses actions.

On est donc très tôt plongé dans l'action et l'atmosphère de ce livre qui se lit très rapidement, avec des moments durs, violents, parfois sordides et d'autres plus intimes et sensibles.

Une palette de sentiments assez large donc, qui le rend très agréable à lire, mais qui frôle de très rares fois l'improbabilité, dans certaines mises en situation et dans leur récurrence.

Rien de bien grave donc, un livre à lire sans hésitation.

Retrouvez d'autres avis sur d'autres lectures, sur mon site :
https://blogdeslivresalire.blogspot.com/
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Voilà un thriller qui tient toutes ses promesses. On n'a pas du tout envie de le lâcher et inévitablement on grappille sur ses heures de sommeil ! tant pis, cela vaut le coup … Au-delà de l'intrigue rappelée dans les autres critiques, je trouve que l'aspect psychologique des protagonistes est extrêmement bien abordé.
Les relations entre Anthony et sa mère , les rapports avec les collègues, la police sont criants de vérité et analysés avec beaucoup de justesse.
Plus on avance dans le livre, plus on se sent en osmose avec Anthony et plus on s'attache à ce roman qui est, comme l'indique la 4ème de couverture plein d'humanité.
Le titre « l'empathie » est bien trouvé, effectivement, nous sommes, nous lecteurs, en empathie , à tel point que l'on en ressent de la douleur, de la souffrance et du mal-être.
C'est un premier roman qui est, je n'en doute pas, le premier d'une grande série. En tout cas, je serai attentive à l'actualité d'Antoine Renand.
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Un psychopathe escalade les façades parisiennes pour s'introduire la nuit dans les appartements, massacrer et ficeler le mari, et violer l'épouse lors d'une séance mêlant bondage, asphyxie érotique et soumission. Surnommé le lézard par la police, il préfère qu'on l'appelle Alpha, comme le mâle dominant d'une meute. Anthony Rauch, dit la poire, et Marion Mesny, enquêteurs à la brigade des viols, se lancent à sa poursuite…
Résumé ainsi, le roman d'Antoine Renand pourrait paraître simple et classique mais il n'en est rien. L'histoire va prendre des chemins que l'on aurait jamais imaginés et ses personnages vont révéler des secrets auxquels on ne s'attendait pas du tout. le psychopathe n'est qu'un prétexte pour révéler d'autres incarnations du mal.
L'écriture de l'auteur est on ne peut plus simple et claire, dénuée de toute fioriture ou d'effet de style. Elle n'en est que plus efficace bien que parfois elle ne s'enlise un peu.
L'histoire a du ressort et, alors que l'on pense que la messe est dite, l'auteur nous sort un rebondissement de derrière les fagots qui permet au lecteur de rester sur ses gardes jusqu'à la dernière page.
« L'empathie » est un bon polar à la typicité originale qui se lit d'une traite.
Editions Robert Laffont, Pocket, 489 pages.
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Viols, meurtres, surenchère de violences diverses (conjugales, familiales, carcérales).
Thriller sensationnaliste qui reprend des sujets qui cartonnent ?
Le sous-titre racoleur sur la première de couverture peut laisser craindre un best-seller formaté, essentiellement destiné à empêcher le lecteur de dormir (fenêtre ouverte - dommage, la canicule arrive).

La lecture est aisée et très agréable, grâce aux talents de conteur d'Antoine Renand, et à la construction impeccable du roman.
Et si cette histoire peut retarder l'endormissement, c'est aussi (et surtout) parce qu'elle nous offre bien plus que les frissons d'un polar banal, en nous faisant cogiter.
L'ouvrage foisonne de questionnements pertinents sur la criminalité, le destin des victimes, et sur la justice - motivations des avocats, notamment, qui défendent des 'monstres'.
« Elle défendait corps et âme, avec fougue, avec hargne, des hommes et des femmes de tous horizons. Elle ne faisait pas de tri, ne se pinçait pas le nez devant quelque affaire trop épouvantable ou immorale. Le droit n'était pas de la morale. S'étonnait-on qu'un médecin soigne un meurtrier ou un violeur ? Les avocats, comme les médecins, prêtent serment. La mission de l'avocat est de se battre pour que tout coupable soit condamné à une peine juste. »

L'auteur est doué pour mettre en scène des personnages contrastés, tous en proie au Mal, en tant que victime et/ou prédateur-bourreau.
On le découvre peu à peu, en remontant l'histoire de chacun des protagonistes.
La confrontation entre un repenti et "le Diable" m'a particulièrement interpellée.

On se pose donc des questions sur la responsabilité des violeurs et serial killers récidivistes, leur 'morale', leur notion du bien et du mal, et leurs facultés d'empathie, justement, comme le titre l'indique.
Autant de sujets qui me passionnent. Et d'autres en prime, ici, qui m'intéressent autant : relations entre parent et enfant adulte, secrets de famille pour préserver la respectabilité des uns et des autres, adolescence...
Par tous ces aspects, l'ouvrage m'a souvent rappelé 'Les choses humaines' de Karine Tuil.

Excellent. ♥
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Alpha viole et torture, et le fait, avec un plaisir assez insoutenable pour le commun des mortels.

Pour tenter de mettre fin à ses terribles agissements, Anthony Rauch et Marion Mesny, capitaines au sein de la « brigade du viol » de la police judiciaire.

Ces personnages qui se sont, tant bien que mal, construits sur les ruines d'un passé toujours à vif qui les a profondément ravagé. ...

Dans le Petit Robert, la définition de l'empathie est la "capacité de se mettre intuitivement à la place de son prochain, de ressentir la même chose que lui, de s'identifier à lui ».

Pour une histoire qui raconte la traque entre deux inspecteurs spécialisés dans le viol et un violeur absolument retors et machiavélique, on se demandait bien comment l'auteur, scénariste et réalisateur de court métrage, allait bien réussir à intégrer cette dimension là à ce qui pouvait ressembler une classique histoire de duel entre le bien et le mal.

Or, Antoine Renand a réussi un vrai tour de force avec son premier roman, celui d'écrire un thriller absolument magistral où la compassion, et le long chemin vers une rédemption possible pour le quasi ensemble des personnages est possible. et où et où le manichéisme( l'écueil régulier d'un certain nombre de polar qui cherche à sonder la monstruosité humaine) n'a pas le droit de cité ..

Le lecteur parvient en effet parfaitement à entrer en résonnance avec chacun des personnages d'Antoine Renand qui porte sur ses personnages une bienveillance que le titre de son roman ne dément pas.

Anthony, Marion, Louisa, Déborah et même le terrible et terrifiant Alpha : la psychologie de chacun ou chacune est vraiment disséquée dans ses moindres détails, toujours pour permettre de mieux les comprendre et tenter de les aimer.

Grâce à une construction narrative inédite et vraiment ingénieuse, "L'empathie" est constitué de plusieurs parties qui dévoilent au fur et à mesure de et manière quasi chirurgicale des révélations sur les passés respectifs des protagonistes et des thématiques lourdes et imposantes ( viol, enfance, justice) qui traversent ces plus de 400 pages denses et toujours passionnantes.

L'hyper-réalisme des situations et des descriptions peut être difficilement supportable, mais Renand parvient toujours à raconter son histoire sur un fil ténu, celui qui sépare les grands polars d'un voyeurisme glauque et malsain.

De par la maitrise totale de son récit et 'humanité qui s'en dégage "L'empathie" est un thriller vraiment étincelant. et pour le coup, il n'y aura pour le coup pas beaucoup de suspens si je vous dis d'ores et déjà que ce livre fera assurément partie de notre sélection coup de coeur à venir le premier jour de Quais du Polar.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Franchement qui peut se targuer d un premier roman aussi abouti? Car somme toute Antoine Renand nous offre ici une lecture avec trés peu de défauts.

Je conçois bien sur que de nombreuses scènes peuvent en rebuter plus d'un de par la sensation nauséeuse de certaines pratiques, mais ici rien n'est gratuit, tout est savamment pesé au service d'une trame narrative intelligente.
L'oeuvre ne se résume pas de manière manichéenne, mais nous livre des personnages haut en couleurs et très complexes.
L ambiance est délicieuse et je n'ai clairement pas su arreter de me goinfrer. L'auteur excelle littéralement dans sa maniére de dépeindre la noirceur et les tréfonds de l'ame humaine.

En effet, l'histoire met en lien une montagne de haine nommé alpha, qui prend plaisir a violer et detruire la vie de couples selon un mode operatoire des plus sadiques , ainsi que 2 policiers de la brigade du viol qui vont prendre en charge le dossier.
Le récit nous apprendra malheureusement qu on ne travaille pas á la brigade du viol par hasard, et que les traumatismes du passé ne finiront jamais d'enfermer l'homme dans ses processus inconscients.

L'empathie est donc un livre a lire de toute urgence ! Sauf si votre conjoint/conjointe a chaud la nuit et qu'il vous enquiquine pour dormir la fenêtre ouverte.
Auquel cas vaut mieux reporter sa lecture.. ou changer de conjoint
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Voilà un mois que j'ai terminé ce roman, et chose très rare pour moi, je suis incapable d'en faire la critique. Ce n'est pas faute d'avoir essayé, mais j'ai renoncé au bout de quelques lignes. Pourquoi ? Je pense que c'est à cause du sentiment de malaise que certains personnages ont éveillé en moi, notamment le capitaine Anthony Rauch, alias "La poire". A partir du moment où son histoire est dévoilée dans le récit, j'ai eu comme un "coup de frein", j'ai continué à lire mais presqu'à contrecoeur, juste pour avoir le fin mot de l'histoire. Bien sûr, le prédateur ce n'est pas lui, mais le fameux "Alpha", dépourvu justement de toute empathie, mais celui-ci m'a bien moins atteinte, c'est juste un avatar assez classique de tueur en série avec quelques "talents" particuliers (d'ailleurs assez improbables parfois !), et également une enfance loin d'être idyllique.
Quant à la collègue et amie d'Anthony, Marion Mesny, son histoire terrible m'a remis en mémoire certains faits divers sordides dont l'auteur a du largement s'inspirer.
Bref il y a dans ce roman une accumulation des pires comportements que l'humain est susceptible d'avoir, et même si effectivement "L'empathie" qui lui donne son titre est bien présente à plusieurs niveaux, ce n'est pas ce qui m'a le plus interpellée. Je ne saurais dire si j'ai aimé ou détesté lire cette histoire, mon sentiment est très ambivalent, c'est d'ailleurs pour cela que je ne donne pas de note.
Je ne vous embête pas davantage avec mes états d'âme, et je file rendre le livre à la bibliothèque. Si vous souhaitez avoir d'autres éclairages dessus, il y a 260 critiques sans doute beaucoup plus explicites que la mienne sur Babelio !
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Je me suis demandé à plusieurs reprises si j'allais réussir à venir à bout de ce roman, même s'il n'était pas question d'abandonner, et surtout pas un thriller quand je sais à quel point les dénouements peuvent être surprenants et/ou explosifs. Donc j'ai lu, j'ai lu, j'ai lu… et, vraiment, cela m'a semblé interminable. Si je ne me suis mis aucune pression, j'avais toutefois en tête la multitude d'avis élogieux que j'avais pu voir passer. Mais, sincèrement, il est impossible pour moi de me joindre à cet élan enthousiaste : lire L'Empathie n'a pas été un plaisir. L'idée de départ est intéressante. Un flic un peu différent qui affronte un grand méchant, pourquoi pas. C'est assez courant maintenant, donc il faut être original dans le choix du personnage du flic et bien cibler ses failles. En cela, on peut dire que L'Empathie est plutôt une réussite mais les analepses sont vraiment trop denses et cassent complètement le rythme du récit. Certaines pensées, certains dialogues sont en outre très répétitifs. Quant au grand méchant, le violeur en série, il est vraiment « too much ». Je ne sais pas d'où il sort mais c'est une sorte de surhomme, un Spiderman aux pulsions exacerbées qui est à mon sens assez peu crédible. Je n'ai pas cru à cette histoire, je n'ai absolument rien éprouvé pour les personnages, je me suis ennuyée.

Lien : http://aperto-libro.over-blo..
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Jury Nouvelles voix du polar 3/4

Difficile de se faire un avis totalement tranché sur L'empathie, de Antoine Renand. Un livre qui m'a fait passer par plusieurs réactions différentes au fil de ma lecture, sans qu'aucune ne s'impose à une autre. Alors certes c'est sombre, souvent glauque et, autant le dire d'emblée, il sera difficile aux âmes trop sensibles de dépasser les premières pages. Mais pourtant, la tournure que prend peu à peu ce polar lui donne un regain d'intérêt qu'on aurait tort de laisser passer.

Dans la première partie, on est immédiatement dans l'action, comme tout bon pageturner qui se respecte, en compagnie d'Anthony et Marion, deux flics de la Brigade du viol lancés aux trousses d'Alpha, agresseur et violeur pervers en série qui s'introduit chez ses victimes par leurs fenêtres, même en étages. C'est rythmé, bien écrit, plutôt crédible et les personnages sont bien travaillés… bref, on embarque illico.

Et puis d'un seul coup, sans prévenir, l'action marque une pause et l'auteur va nous entraîner dans une exploration du passé des protagonistes de ces affaires, détaillant leur histoire et celle de leurs parents. Cette rupture de rythme surprend et aura fait décrocher beaucoup de lecteurs. Dommage. Car passé la surprise, on entre alors dans le coeur du propos d'Antoine Renand.

Avec distance et humanité, en revenant sur ces parcours meurtris, Renand explore ainsi de nombreux thèmes sociétaux : le viol bien sûr sous toutes ses formes, les plus violentes et abjectes ; mais aussi le rôle des ascendants dans ces relations enfants-parents souvent déstructurées ; la quête d'une difficile identité pour les victimes mineures et la reconstruction complexe pour toutes les autres ; ou encore la place de la justice et de celles ou ceux ayant choisi de défendre ceux qui semblent indéfendables.

Dans cette exploration, Antoine Renand - à l'image de Louisa son avocate - prend le parti de relater sans juger, sans excuser, sans tenter de convaincre à tout prix, mais fait le pari de l'intelligence de son lecteur. Il introduit un peu d'humanité là où il en manque tant et permet de voir tel ou tel de ses protagonistes sous un jour différent. Et ça fonctionne, même si c'est parfois un peu long sur la fin : on n'aime pas ses personnages, on ne les excuse en rien, on ne regrette pas de les quitter. Mais notre regard sur eux a changé au fil du livre. C'est peut-être cela, l'empathie
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