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3,98

sur 2122 notes
Comment écrire quelque chose de nouveau sur ce livre quand celui-ci bénéficie d'ors et déjà de 86 critiques au moment ou j'écris ces lignes ?

Sensation particulière que celle du manque, à peine ce livre définitivement fermé. En effet, malgré toutes ces scènes d'horreurs, répugnantes et abjectes, L'absence d'Anthony, de Marion, des personnages secondaires mais hauts en couleurs, et même de l'infâme Alpha va laisser un vide. Car c'est là le réel tour de force de l'auteur. Au delà d'une trame narrative intéressante (bien qu'assez classique) sous forme d'enquête de de chasse à l'homme, c'est surtout par la qualité et le développement de ses personnages que le livre nous marque. Au fil des pages, l'enquête avance, et on en apprend d'avantage sur ces personnages au passé tourmenté, si bien que je me suis surpris à d'avantage me passionner par la découverte du passé des protagonistes que par leur futur.

Une énorme réussite donc. Si vous voulez un thriller classique, passez votre chemin. Si par contre vous désirez ouvrir une fenêtre sur les tréfonds de l'âme humaine, alors ce livre est fait pour vous.
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Roman découvert en furetant sur youtube. le titre m'a paru étrange, j'ai voulu découvrir ce qu'il cachait. L'auteur est totalement inconnu pour moi.

Le narrateur étant omniscient, on suit aussi bien les flics chargés de l'enquête, les criminels que les victimes. En l'occurrence, cela se passe dans l'univers des violeurs et de leurs perversions. Comme d'habitude avec les thrillers psychologiques, je n'ai ressenti aucune empathie tout au long de ma lecture et quelque soit les personnages. Au final, même l'enquête n'arrivait plus à m'intéresser, c'est uniquement le secret du flic principal, la poire, qui m'intriguait. D'ailleurs, même ce surnom ne nous est pas expliqué. D'où lui vient-il ? Finalement, l'enquête n'est pas si importante que ça dans ce roman, c'est plutôt le passé des protagonistes principaux qui en est le sujet. Plus on avance dans l'histoire et plus je la trouvais nauséabonde, de part son sujet et de part le style de l'auteur. Plus j'en lis et moins je supporte les thrillers psychologiques (ou domestiques), quelque soit l'auteur(e) ou son style d'écriture. Ils choisissent toujours des sujets qui me mettent mal à l'aise car souvent dirigés contre les femmes et sur les différents sévices qu'elles peuvent subir suivant le bon gré des hommes… de plus, l'auteur alterne passé et présent, sans trop nous informer des changements d'époques. le seul moment où j'ai eu de l'empathie pour un personnage n'a été qu'à la fin du roman quand Louisa se rend compte du monstre qu'est devenu son fils. Mis à part ça, j'ai trouvé l'ensemble très malsain et brouillon. Je ne sais même pas si on peut classer ce roman en thriller, l'auteur passe son temps (ou presque) sur les personnages, leurs psychologies et leurs passés (qu'ils soient « gentils » ou « méchants »).

Comme vous l'aurez compris, ce roman n'a pas été une bonne découverte, plutôt une grosse déception et j'aurais finalement pu l'abandonner car à part quelques évènements, il ne se passe pas grand-chose dans cette histoire. On navigue trop dans les passés morbides de ces personnages. Je vous conseille néanmoins de le découvrir pour vous en faire votre propre avis. Pour ma part, je n'en tenterai pas de nouveau de cet auteur et je vais essayer de me trouver une lecture plus distrayante que celle-ci.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Alpha

C'est l'été à Paris, la nuit il fait encore chaud, aussi pour mieux dormir, vous laissez votre fenêtre entrouverte, après tout, pas de risque d'être cambriolée puisque vous habitez au troisième ou au quatrième étage… Vous êtes endormie, seule ou dans les bras de votre compagnon, tout est calme… Mais un homme est là, au pied de votre lit : il vous regarde, vous observe, bientôt il va passer à l'action et transformer votre vie en cauchemar… Cet homme, c'est Alpha, un prédateur ultra violent, qui viole, torture et humilie ses proies et défie les forces de police, notamment deux capitaines de « la brigade du viol », Anthony Rauch et Marion Mesny. Ce sont eux qui reçoivent les victimes, les accompagnent dans le parcours douloureux de la plainte et des examens médicaux, deux flics exemplaires qui n'ont pas choisi par hasard ce service car tous deux portent en eux des cicatrices indélébiles dont ils ont, l'un et l'autre, fait une force.
Il y a un bon moment que ce livre dort dans ma PAL et je remercie tout particulièrement Pat0212 et BlackIsTheNewLiterature pour l'avoir fait enfin émerger ! J'avais vu passer d'excellents avis, et de moins bons aussi, je ne savais donc pas à quoi m'attendre… Eh bien, fin du suspense, c'est du 5 étoiles !!
Evidemment, c'est un polar mais c'est aussi bien plus qu'un polar. L'enquête tient une part importante et l'auteur nous la fait vivre à 100%. Mais au-delà de cette trame policière, ce sont les personnages qui sont au premier plan. Tour à tour, l'auteur nous fait découvrir Anthony Rauch, dit « La Poire » ; Marion Mesny et Alpha bien sûr, leur enfance, leur adolescence, leurs familles. La psychologie de chacun est disséquée, étudiée, décortiquée afin que le lecteur parvienne à comprendre le personnage à l'âge adulte. Ce sont des passages très durs, mais nécessaires. L'auteur ne nous permet aucune échappatoire et telles les victimes d'Alpha, nous sommes totalement à sa merci… à ceci près que oui, nous parvenons à avoir de l'empathie (ou de la compassion tout au moins) pour chacun d'eux, même pour le pire…
Quant au thème principal, celui du viol, il est traité sans pathos et le propos d'Antoine Renand n'en est que plus fort. Comment se remet-on d'un acte aussi dévastateur quelque soit l'âge auquel on le subit ? Comment reprendre le cours de sa vie ? Comment être écouté, compris ?
C'est sombre, très dur, parfois insoutenable, puissant, poignant…
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Beaucoup ont parlé de terreur. Même la punch line " Vous ne dormirez plus jamais la fenêtre ouverte" ainsi que le quatrième de couv le sous-entendent. Comme souvent, je ne suis pas d'accord avec ces lignes qui argumentent dans le faux sens mais pour une fois, en mieux. Ce récit a, certes, quelque chose de terrifiant mais ce n'est en aucun cas ce que j'en retiens.
J'y ai vu, pour ma part bien plus et c'est ce qui aurait dû être mis en avant.
Un thriller au début que l'on pourrait tout à fait qualifier de classique, standard. Tu te diras même "mouais encore une histoire de violeur en série", sujet vu et revu, utilisé et réutilisé alors que tu te fourreras le doigt dans l'oeil jusqu'à l'omoplate.
L'histoire évolue d'une manière surprenante et même, il faut le dire, de manière brillante.
Au travers d'Alpha, son violeur en série, Antoine Renand aborde une multitude de sujets épineux. le viol, les victimes, le violeur et les conséquences sont abordés sous toutes les coutures, sous toutes les visions qu'elles soient intérieures ou extérieures. Il nous parle aussi au travers d'Alpha de la place de l'homme vis à vis de la femme. Clairement d'actualité et non dénué de sens. le panel d'émotions est infini et ultra percutant.
Les twists sont redoutables mais il est impossible de te l'expliquer tant l'histoire est complexe. Si je t'en parle, je spoile...Je vais donc rester volontairement vague et te laisserai, toi même découvrir cette histoire absolument géniale.
Ce que je peux, par contre, te dire, c'est que les personnages sont eux-mêmes des intrigues. Tu en arrives à chercher sur tous les tableaux et ton cerveau va mouliner sec.
Je peux aussi te dire que Marion et Anthony, les flics, n'ont pas rejoints la brigade du viol par hasard et tu découvriras pourquoi au fur et à mesure du récit.
Que d'habiles indices traînent par-ci, par-là. Il faut être attentif et connaître 2-3 principes mais c'est admirablement bien foutu.
Que l'auteur a habilement donné un caractère, un passé ou une profession à chacun de ses personnages pour pouvoir explorer toutes les différentes visions de la problématique. C'est fortiche !
Qu'Antoine Renand est allé plus loin dans l'atteinte. Il a osé faire mal à ceux qui ne devraient pas et c'est rare. Et moi j'adore 😜
Que la relation avec le cinéma est omniprésente. On sent clairement le côté scénariste de l'auteur et sa capacité à monter une histoire.
Qu'il est difficile de croire qu'il s'agit là d'un premier roman tant il est maitrisé et abouti.
Que c'est, pour moi, un vrai coup de foudre.
Qu'Alpha, son violeur est un tueur redoutable, habilement créé mais qui, pour ma part, a fini par devenir secondaire.
Que j'ai été totalement bluffée par la teneur du récit, de la qualité psychologique des personnages et de la trame.
Que c'est un excellent thriller mais vraiment pas que. J'y ai trouvé une profondeur peu commune, une belle humanité ainsi qu'une rare sensibilité.
Que j'ai tourné la dernière page en éprouvant une sensation bizarre. Comme si je ne savais plus très bien qui était méchant et qui ne l'était pas.
Que mes émotions avaient été clairement mises à mal dans tous les sens du terme.
Que ce qui était effrayant n'était pas la peur de laisser ma fenêtre ouverte mais à l'inverse, de comprendre et c'est là que j'ai vraiment pris une claque.
Mais ce que je peux surtout te dire, c'est qu'il te faut retenir son nom: Antoine Renand.
Il débute supra fort et signe là un livre qui restera dans les annales.
L'empathie, c'est une remontée dans les origines du mal...
L'empathie est peut-être la clé...
L'empathie est sans doute la différence….
Lien : https://sangpages.com/2019/0..
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Antoine Renand nous ouvre
à son univers avec ce premier roman.
Ses personnages sont extraordinaires,
leurs portraits sont soignés et aiguisent
curiosité et une certaine sideration.
Ce récit est débordant de viols et de crimes
qui se succèdent à un rythme un peu trop enlevé.
On a envie de souffler un peu entre
deux abominations. Mais non!
La richesse extravagante des personnalités
vous tient les yeux vissés sur leurs destins.
Antoine Renand fait son entrée
tambour battant dans le roman noir.
Il me semble que les suivants sont
plus sobrement aboutis.
Celui ci, est pourtant déjà un régal absolu
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Voici une lecture pour laquelle il m'est difficile de donner une côte.
Je n'ai rien à reprocher au livre, il est bien écrit, très bien documenté, tiens en haleine et, comme le petit texte sur la couverture l'indique, il pourrait presque pousser les gens à y réfléchir à deux fois avant de laisser la fenêtre ouverte, même au 34e étage.
Bref, pour la forme, rien à redire.
Mais pour le reste, bon sang, que je n'ai pas apprécié cette lecture...heureusement peut-être. Les scènes de pédophilies, très descriptives, m'ont mise terriblement mal à l'aise de même que les scènes de viol et de domination.
Je n'ai pas du tout accroché aux personnages du roman que j'ai trouvé terriblement malsains pour la plupart.
Mais tel est le but de l'auteur, c'est évident.
Alors, je ne peux donner qu'une bonne note, car son but est atteint.
Mais moi, le malaise ne me quitte pas
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Un avis un peu mitigé sur ce thriller.
Anthony Rausch et sa collègue Marion Mesny sont deux collègues policiers qui travaillent auprès des victimes de viol. C'est dans ce contexte qu'ils ont affaire à un violeur redoutable surnommé le lézard car il s'introduit dans les appartements de grands immeubles par les fenêtres, en escaladant les façades. Cet homme, qui s'appelle Alpha, est très très fort physiquement et la police a du mal à l'appréhender. On assiste ensuite à un tête à tête entre le policier Anthony Rausch et Alpha.
La première partie est très réussie je trouve, avec beaucoup de suspense. Les personnages sont très fouillés, voire un peu trop.
L'enquête est parfois elliptique avec des invraisemblances et des longueurs qui concernent le passé des personnages.
Un univers qui met assez mal à l'aise. Un peu déçue mais c'est un premier roman.
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Waouh ! Désolée, c'est le premier mot qui me vient ! Mais en même temps, il résume bien toute l'intensité ressentie durant cette lecture. Je crois que jusqu'ici, seule Karine Giebel avait réussi à me tenir autant en haleine et à me faire poser un livre pour respirer 5 minutes avant de m'y replonger.
Je sais maintenant qu'il faudra compter avec Antoine Renand.
C'est très simple, j'ai dévoré ce livre en une journée. Impossible de m'en détacher et pourtant certaines scènes sont parfois difficiles à lire, même si je suis rompue au genre.
L'empathie nous plonge au coeur de la brigade du viol. Un dangereux prédateur -Alpha- s'introduit chez des couples pour les torturer. Pour le contrer, une équipe de flics déterminée. A leur tête : la Poire. Ce surnom, il le tient de son étrange silhouette. A ses côtés , Marion, une jeune flic qui veut en découdre. Ces deux-là forment un tandem hors pair, peut-être parce qu'ils ont tous les deux une histoire difficile à porter mais aussi parce que ces deux-là ont de l'empathie pour les victimes.
De l'empathie, vous n'en aurez pas pour Alpha. Malgré une enfance plus que cabossée , ce dernier a fait ses choix. Et c'est bien là toute la force de ce livre, celle de montrer que plusieurs chemins sont possibles pour échapper à un certain déterminisme.
Le récit alterne des moments de l'enquête avec des flash-back sur l'histoire de ces principaux protagonistes. Et même si tout s'explique, tout ne se justifie pas.
Un excellent polar, comme souvent dans la série "La bête noire" des éditions Laffont, un label auxquels les amateurs de frissons peuvent faire confiance.
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Avec ce polar de grande qualité, on peine à croire qu'il s'agit d'un premier roman car l'écriture est déjà très aboutie. Il y a beaucoup de suspense et on ne peut lâcher ce livre très prenant.

Il est divisé en plusieurs parties. Au début, nous voyons Alpha, un marin entrer dans une maison d'une ville lointaine. Une mère s'occupe de ses enfants à l'étage, l'homme entre dans le salon, fouille la pièce mais surtout se prend en photo sur le téléphone de la mère. Il s'en va sans faire de mal à personne, mais cette intrusion marque le premier pas d'une terrible escalade. A Paris, un motard viole des femmes dans les ascenseurs. Un groupe de policiers spécialisés, surnommé « la brigade du viol » prend l'affaire en charge. Déborah, une des victimes se sent rassurée par la qualité d'écoute de Marion et surtout du capitaine Anthony Rauch dont elle soigne le père en qualité d'infirmière. Anthony est surnommé la Poire à cause de son physique particulier, sur lequel l'auteur insiste. Il a un corps plutôt féminin, rond et de magnifique cheveux blonds, son père est un riche industriel en fin de vie et sa mère une avocate célèbre, mais on sent tout de suite qu'Anthony et Marion cachent de lourds secrets. En plus des viols dans les ascenseurs, une violente agression se produit dans un appartement. L'homme a escaladé un immeuble de trois étages sans matériel et a blessé un couple sans violer la femme. Les autorités sont sur les dents, mais les policiers comprennent rapidement que les agresseurs sont différents. le plus dangereux est Alpha qui se livre désormais à une escalade dans la violence. Il entre par les fenêtres et sème la terreur, se montrant plus violent à chaque nouvelle agression. La première partie du roman raconte le chassé-croisé entre Alpha et les policiers, en particulier Marion et Anthony. On découvre d'abord le secret de la jeune femme, puis Alpha révèle au grand jour celui d'Anthony, que pour ma part j'avais rapidement deviné vu l'insistance de l'auteur sur les courbes peu masculines du capitaine de la brigade. La première partie s'achève sur ce qui semble être la victoire d'Alpha et la fin de la vie du policier.

Dès la deuxième partie, le roman penche du côté thriller plus que policier et repart de plus belle. On découvre le passé de tous les protagonistes dont la psychologie est très bien travaillée, ce qui les rend tout à fait crédibles et intéressants. Aucun personnage n'est laissé à l'état de caricature. L'intrigue est très prenante, l'écriture très fluide. La thématique du roman est la violence sexuelle, côté bourreau et côté victime, de nombreuses victimes devant bourreaux à leur tour. L'histoire est vraiment très bien construite. On ne peut déplorer que quelques points faibles concernant la vraisemblance de l'histoire: Je doute qu'il soit possible à quiconque d'escalader une tour de plus de trente étages sans matériel, le secret d'Anthony révélé par Alpha est assez évident et on doute que personne parmi ses collègues ne s'en soit rendu compte avant. le final est aussi trop rapide par rapport au reste de l'histoire. Malgré ces petits défauts il s'agit d'un excellent polar que je vous recommande chaleureusement.

Un grand merci à Netgalley et aux Editions Robert Laffont pour ce partenariat très apprécié.
#Lempathie #NetGalleyFrance
Lien : https://patpolar48361071.wor..
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J'ai rencontré Antoine Renan lors d'un salon. Il était accueillant et sympathique et comme j'avais vu passer un grand nombre de chroniques positives le concernant, je me le suis mis dans un coin de la tête. Malheureusement, je n'avais pas trouvé le timing pour m'en occuper, jusqu'à maintenant.

Ce texte est assez original dans sa construction. Il suit tout d'abord le scénario habituel du polar moderne avec la poursuite d'un criminel dangereux. Mais ensuite, il change de trajectoire en développant en profondeur les protagonistes pour nous livrer le tableau complet de son intrigue. Ce mode de narration est surprenant et très réussi.

Attention, je me dois de vous prévenir : Préparez-vous à être chahuter ! Même si c'était son premier roman, il y va fort, très fort. Si vous craignez les histoires de viols et de violence, vous pouvez d'ores et déjà passer votre chemin. En effet, la trame principale et toutes ses ramifications sont imprégnées de sévices sexuels. En plus, aucun détail ne nous est épargné, il faut en être conscient avant de se lancer dans cette aventure !

Cet auteur possède les qualités d'un primo romancier. Il a de grandes ambitions qui lui permettent de ne pas se mettre de limites et de nous offrir un thriller qui dérange. « L'empathie » ne vous laissera pas indifférent. Mais il pêche aussi par certains côtés. Trop de maltraitance a tendance à tuer la maltraitance et je regrette un peu cette surenchère qui imprègne tout le roman.

Malgré ce petit bémol, je suis ravi de m'être enfin décidé à lire cet auteur. Antoine Renan maîtrise sa narration et son histoire, aussi malsaine soit-elle, m'a happé jusqu'à la fin. Convaincu, je vais de ce pas m'intéresser à ses autres oeuvres, pour voir s'il a tenu toutes ses promesses !
Lien : https://leslivresdek79.wordp..
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