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4,11

sur 1114 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Ce polar présente la particularité de se dérouler à une époque et en un lieu inhabituels pour ce genre. Par ailleurs, l'histoire qui peut sembler alambiquée au départ se dénoue d'elle même dans les derniers chapitres. Bravo pour le premier roman de l'auteur !

Nous sommes dans une tranche de l'Histoire où n'importe qui peut être déclaré coupable de n'importe quoi ; où tout le monde peut dénoncer le premier venu par intérêt ou sous la torture. Et, étant donné que le régime politique au pouvoir ne saurait se tromper, personne n'est jamais innocenté dès lors qu'il a été soupçonné. La vérité n'a aucune importance devant le juge. L'action d'un policier qui veut vraiment faire son travail dans un tel cadre est assez ardue et le récit n'en est que plus intéressant. J'ai trouvé cette idée originale ; ça change des habituels bas-fonds et des méchants/gentils stéréotypés.

Le début du livre plante le décor avec la description d'un épisode horrible de l'histoire soviétique, si horrible qu'il y a très peu de temps que les occidentaux y croient. Elle est décrite de façon concrète, montrant bien l'état d'esprit de personnes sans espoir.

Le langage est agréable ; il faut en remercier la traductrice France Camus-Pichon.
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Enfant 44 de Tom Rob Smith est un excellent roman policier qui se passe dans l'URSS des années 50, à la mort de Staline.
Mais l'ouvrage n'est pas seulement un polar, c'est aussi un intéressant essai historico–politique et le récit d'une formidable épopée.
Un polar : Des dizaines enfants sont assassinés de façon barbare, dans des localités, le long de la ligne de chemin de fer qui mène à Moscou. Or, dans l'URSS de l'époque, le crime, présenté comme la perversion de la société occidentale, n'existe pas. Il faut donc étouffer les affaires, les attribuer à des fous ou à des ivrognes asociaux, quand ce n'est pas à de simples accidents, mais surtout, il ne faut pas y voir un seul et même assassin : un meurtrier en série. le personnage principal, Léo Demidov, doit se battre contre la pesanteur du système et de l'idéologie pour retrouver le monstre coupable de ces crimes sauvages. Pour cela, il va bénéficier de l'aide de sa femme, Raïssa et de quelques autres, un général de la milice, des prisonniers déportés, des villageois... Pour atteindre son but, Léo devra supporter l'exil, l'emprisonnement, les tortures et déjouer les tentatives d'assassinat, orchestrées par son ex–subordonné, Vassili Nikitin. Car, Léo, avant d'être le policier qui veut arrêter le monstre, fut l'exécutant des basses oeuvres du régime, en tant qu'officier du MGB, les services de renseignements soviétiques. Tom Rob Smith fait preuve d'un grand réalisme. Son personnage n'est pas un héros magnifique. Il a pris sa part dans ce système, qu'il défend même, au non de l'intérêt de la patrie, avant de s'en éloigner petit à petit. C'est à cette occasion qu'il s'oppose à Vassili Nikitin et s'en fait un ennemi mortel.
Essai historico–politique car le roman décrit le système policier et judiciaire de l'URSS stalinienne. Il restitue fidèlement l'atmosphère de suspicion et de peur qui tenaille la population, qui vit sans cesse dans la crainte d'être arrêtée sur de fausses accusations et envoyée au goulag. Léo fait partie du service de renseignement et connaît bien tous les rouages de l'administration répressive : les surveillances, les dénonciations, les arrestations, les tortures, les aveux, qui conduisent aux dénonciations, aux arrestations et ainsi de suite. le roman commence, vingt ans plus tôt, par une scène illustrant la terrible famine qui a frappé l'Ukraine dans les années 30. Cette scène introductive est d'ailleurs fondamentale – on s'en aperçoit plus tard – et doit être lue avec attention. Les descriptions sont terribles, mais ô combien fidèles à l'histoire de ce que les Ukrainiens ont appelé Holodomor, l'extermination par la faim. En outre, Tom Rob Smith s'inspire du cas du premier tueur en série soviétique, Andreï Tchikatilo, surnommé l'éventreur de Rostov, à qui l'on attribue un cinquantaine de meurtres sauvages de jeunes garçons et filles, dans les années 80.
Enfin, le parcours de Léo et Raïssa, pourchassés par les miliciens, à travers une partie de la Russie, jusqu'à Rostov est digne d'une épopée. Les descriptions sont très précises.
La fin du roman, avec la confrontation entre Léo et l'assassin, est prodigieuse.
Enfant 44 est à lire absolument. Nul doute que je me plonge rapidement dans Kolyma, le roman suivant de Tom Rob Smith.
Lien : http://www.polardesglaces.com/
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Très bon thriller mais aussi bon roman historique. J'ai sué, couru, pleuré avec les personnages de ce roman. Je ne vais pas faire une longue critique car il y en a déjà un certain nombre ici. Je recommande vivement !
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Enfant 44 est un thriller haletant, un excellent polar qui décrit de manière spectaculaire la très difficile traque d'un tueur en série soviétique. Mais ce livre est bien plus que cela. Parce qu'il a lu Soljenitsyne « et des récits d'un certain nombre d'auteurs », Tom Rob Smith décrit exactement la chape de plomb sous laquelle vit la société soviétique, l'horreur des arrestations arbitraires, de la torture pour arracher des aveux, car si l'État vous a arrêté, vous êtes forcément coupable…
Il y a plusieurs chemins pour arriver à la vérité sur ce qu'est vraiment le communisme, on peut lire Julius Margolin, Varlam Chalamov, Alexandre Soljenitsyne, Viktor Kravchenko, Gustaw Herling, et d'autres témoignages, des histoires vraies. Ou bien on peut passer par le roman, fiction qui se base sur le réel comme le livre de Tom Rob Smith. le tout est d'arriver à se dessiller et des livres comme « Enfant 44 » peuvent contribuer à cette prise de conscience de ce qu'est véritablement ce régime. Contrairement à ce qui s'est passé pour le nazisme, il n'y a pas eu, pas encore, de « Nuremberg du communisme ». Ou plutôt si, il y a eu une tentative effectuée par David Rousset en 1951, lors du procès en diffamation qu'il intenta contre le journal communiste « Les lettres françaises ». Procès au cours duquel des « négationnistes du communisme » comme Pierre Daix ou Virgile Barel viendront traiter Rousset de menteur, de falsificateur. Mais Rousset l'emportera, en partie grâce au témoignage de Julius Margolin venu témoigner de la réalité de l'enfer concentrationnaire soviétique. Malgré tout, cette réalité est méconnue, occultée, c'est presque un tabou. Des intellectuels se sont employés à nier les faits. Il ne pourrait pas exister aujourd'hui de parti politique ayant dans son nom le mot « nazi », comme « parti nazi français », la justice pourrait y mettre rapidement bon ordre… Je ne comprends donc pas pourquoi il existe aujourd'hui en toute légalité un « parti communiste français » !
Bref, « Enfant 44 » est non seulement un thriller-polar de haute volée, mais c'est une lecture salutaire qui peut dévoiler l'envers du décor à ceux qui ne sauraient pas encore…
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Si vous souhaitez comprendre la parano de l'époque stalinienne, les idéalismes et leur déchéance,.
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On pourrait dire que cette histoire a commencé avec un chien qui s'est blessé au coussinet et que son maître, diplomate étranger, a emmené chez un vétérinaire consciencieux.

Comme les antibiotiques manquent cruellement, le véto a dû revoir plusieurs fois le chien et ce fut pour lui le début de la fin : on l'a accusé d'espionnage après l'avoir mis sous surveillance.

Mais ce serait trop simple de mettre tout sur le coussinet du pauvre chien car le responsable de cette horreur, c'est le système et tous ceux qui le font tourner, consciemment ou inconsciemment. Parce qu'ils aiment ça ou parce qu'ils le craignent.

Un système où la présomption d'innocence n'existe pas, où les dossiers se montent très vite, où l'on accuse sans preuve, où l'on condamne sans preuves (ou si peu) et où la dénonciation est encouragée et si vous ne dénoncez pas, on vous dénoncera pour "non-dénonciation". Vous me suivez toujours ?

Bienvenue dans le paradis du communisme, ce système où les inégalités n'existent pas mais où tu feras la file des heures pour un pain tandis que les dirigeants, les membres de la MGB et leur famille, ont accès à des magasins réservés pour eux et fourni en mets fins (vrai chocolat, oranges, citrons,…).

Un paradis où les vols et les crimes n'existent pas puisqu'on a gommé les inégalités (oui, faut le dire vite)… Permettez que je tousse ? le système ment sur les chiffres, transforme des meurtres en accident et ne vous avisez pas de dire le contraire…

La Russie fait partie de mes pays préférés en littérature, ce roman ne pouvait que m'intéresser, malgré tout, il a traîné longtemps sur mes étagères. La lecture m'a fait mal aux tripes, au coeur, partout, non seulement à cause des injustices criantes, mais aussi des accusations et condamnations sans preuves.

Dans nos pays, des avocates sont obligées de faire des tribunes dans les journaux pour nous expliquer que la présomption d'innocence existe, que si X accuse Y d'un crime abject, il doit y avoir une enquête et que le public ne doit pas hurler "au bûcher" sans même vérifier les dires de l'accusateur/trice, sinon, c'est la porte ouverte à n'importe quoi, notamment à ces systèmes de pays où l'Humain n'a aucune valeur.

Cette Russie communiste, cette Russie de Staline qui broie le peuple est décrite d'une manière qui s'intègre parfaitement bien dans le récit. L'auteur a étudié le pays, ses moeurs, son système, à tel point qu'on penserait le roman écrit par un Russe pure souche de l'époque.

Le personnage de Leo est abject et illustre bien les bénéfices du matraquage d'idées toutes faites et d'aphorismes qui ne servent que ceux qui les pondent. Dans sa tête, il sert la mère patrie, le communisme est sain et son pays magnifique. Il n'y a pas pire aveugle que celui qui souffre de cécité dans ses idées arrêtées et qui met les fautes sur le dos des autres. Pourtant, on peut changer et Leo va ouvrir les yeux…

Un roman sans temps mort, un roman qui vous emporte dans la Russie post-seconde guerre mondiale et qui ne vous laissera aucun répit, surtout du côté de vos tripes, de votre coeur, de votre âme.

J'ai beau connaître le côté obscur de l'Homme, avoir lu des livres sur les horreurs humaines, en avoir abandonnés certains tellement ils étaient effroyables (médecins de la mort dans des camps) et malgré tout, je suis toujours surprise par la perversion humaine, comme si j'étais le lapereau de l'année, la petite fille naïve qui croit toujours aux licornes et aux fées (ok, je connais une fée).

Là, une fois de plus, j'en ai pris plein ma gueule et elle me fait toujours mal.

Lire un roman qui se déroule en Russie est souvent source d'enchantement pour moi, mais j'en paie toujours le prix ensuite car je n'en ressors jamais indemne.

Bianca, qui faisait cette LC avec moi (et qui m'a fait sortir ce super roman qui croupissait dans ma PAL depuis plus de 6 ans) est en tout point d'accord avec moi, même si, tout comme moi, elle a trouvé le mobile un peu léger.

Mais ce n'était pas ça le plus important, c'était tout le reste : le communisme dans toute son inégalité, dans son horreur, le socialisme tel que je le déteste et qui n'avait rien à envier au capitalisme.
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Dans la Russie stalinienne des années 1950, un officier sans états d'âme croit participer à la bonne marche du pays. Pourtant la belle machine va s'enrayer quand il voudra découvrir la vérité
Un suspense inouï qui vous prend à la gorge, le portrait d'un homme en quête de vérité, au péril de sa vie et de celle des siens, la restitution magistrale de cette implacable machine à broyer les hommes que fut le système soviétique.

Le premier roman d'un jeune auteur qui fait une entrée fracassante sur la scène littéraire internationale.

Lien : https://collectifpolar.com/
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Si je devais parler de coup de coeur, ce livre en serait indéniablement un. 5 ans après, sa lecture, les sentiments ressentis sont encore vivaces. L'auteur a su mettre à profit, une histoire dans L Histoire, en alliant d'un côté des meurtres d'enfants, tout en nous entraînant dans une atmosphère glaciale en plein coeur de l'hiver russe. La construction narrative imbrique des éléments les uns aux autres et cela donne un vrai bijou à lire ! Basé sur des faits réels, dans une Russie où il ne se passe rien de mal. La politique au service de l'homme... Il ne se passe rien de mal au paradis... Pourtant, avec ce livre, on aura un aperçu de l'horreur bien présente.
Un livre que je vous recommande fortement.

Lien : https://julitlesmots.com/202..
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Avec "Enfant 44" (éditions Belfond, 396 pages) Tom Rob Smith nous ramène dans une Russie d'après-guerre cauchemardesque, étouffée par la police de Staline. Dans ce pays sans espoir où les sourires sont suspects sévit un tueur d'enfant insaisissable et au mobile indéchiffrable. L'auteur s'est vaguement inspiré d'une histoire vraie récente, celle d'Andréï Chikatilo, monstre ukrainien coupable d'une cinquantaine de meurtres autour de sa ville de Rostov sur le Don dans les années 80. En transposant cette trame trente ans plus tôt, Smith s'attache à décortiquer les rouages d'un système policier dont la première vocation n'est pas de combattre le crime, mais de protéger le régime politique.
La plus brillante idée du livre est de prendre pour héros un serviteur zélé du stalinisme, un jeune flic prêt à envoyer n'importe lequel de ses compatriotes en prison, au goulag ou à la mort, avec le sentiment du devoir accompli. Suivant une mécanique très hollywoodienne, on voit naître le doute dans l'esprit figé par l'obéissance de cet officier-modèle. Tom Rob Smith lui donne de la profondeur en lui opposant un personnage d'épouse forte et habile, qui lui renvoie ses contradictions sans ménagement. Pas étonnant que ce beau couple ait donné des idées de film à Ridley Scott avant même la sortie du roman (il avait acheté les droits à la Foire du Livre de Londres en... 2007), d'autant qu' "Enfant 44" offre assez d'action, de drame et de grands sentiments pour bâtir un scénario attrayant...

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Ajouter une critique...J'ai terminé ce livre cette nuit, profitant de quelques jours de récupération bien mérité au travail pour lire autant que je le désire.
J'ai réfléchi longtemps à ce que j'allais écrire...
Tout d'abord, c'est un excellent thriller, un excellent roman noir, un excellent roman historique car basé sur des faits réels qui se sont passé sous le régime totalitaire du communisme. Pendant des années, j'ai pensé que la théorie de Karl Marx était une belle idée, que le communisme était une belle philosophie, une belle théorie mais que quelque chose avait du mal se passer, et la vérité est que bien souvent, dès que certains êtres humains ont un tout petit peu de pouvoir, peuvent devenir des monstres, des dictateurs, que ce soit sous Staline en ce qui fut l'URSS ou le troisième Reich sous Hitler. J'ai toujours été fascinée par les pays slaves, mon père y a travaillé, en Ukraine fin des années '90, c'est magnifique et on y rencontre des gens touchants, d'une extrême intelligence, avec un goût pour l'art qui m'a touché! Mais j'avais aussi remarqué lors de mes deux visites que nous ne sortions pas beaucoup de ce palais situé dans un quartier extra protégé où l'on ne voyait pas la misère dans laquelle des Ukrainiens dans lequel vivait mon père avec ma belle-mère et leurs enfants sans gardes du corps (il travaillait pour les communautés européennes, rien de spécial! ), cela nous était fortement déconseillé, voire interdit! C'est pour cette raison que malgré son amour pour Kiev, il a demandé à être muté pour ses dernières années en Italie. J'avais l'impression que le temps s'était arrêté et peut-être était-ce le cas après tout ce que ces gens ont enduré!
Ce genre de livres est très intéressant car sous une histoire bien construite, avec une bonne dose de suspense, on apprend aussi énormément sur l'histoire ou en tout cas une partie de l'histoire d'un peuple! Et celle-ci m'a non pas effrayée car je la connaissais mais dans un bon livre bien écrit, on s'attache aux personnages, plus que dans nos anciens bouquins d'histoire et c'est sans doute ce qui fait que l'on est encore plus touché par le sort de ces gens, même si c'est en partie de la fiction.
Inutile de vous raconter l'histoire, elle a déjà été extrêmement bien résumée par un tas d'autres lecteurs sur ce site, je voulais donner mon avis. J'ai beaucoup aimé ce livre, l'écrivain s'est très bien documenté sur l'histoire de l'URSS communiste, la réaction des gens, la peur, mais aussi sur la beauté de ces pays comme les métros de Moscou que j'ai eu la chance de visiter avec mon père lors d'un weekend dans la capitale russe! SI l'histoire est basée sur des faits réels tels que "le monstre de Rostov", Andréï Tchikatilo, n'ayez crainte, l'auteur n'en fait pas un livre à sensations et il s'attarde bien plus sur la vie en général de tous les habitants de ce que devenait "le nouveau monde"!
La fin est tout à fait inattendue, donc c'est aussi un très bon polar.
Je n'ai rien à reprocher à ce livre qui plaira autant aux gens qui aiment les romans historiques, les thrillers, les drames et les romans noirs!
Tout au long de ma lecture, malgré ma sympathie pour ces gens, j'ai eu une chanson de Sting datant de 1985 qui me revenait à l'esprit : "Russians", que je partage avec vous! Je l'écoute en pensant à cette terrible époque, mais aussi à des milliers d'enfants de l'état qui souffrent encore tous les jours, j'ai vu des vidéos lors de mes études en ortho(ped)agogie à Gand, ce sont toujours des femmes de ménage qui essaient de s'occuper d'eux mais les conditions sont toujours épouvantables à notre époque, certains enfants ne marchent jamais car ils sont toujours alités et n'ont pas de kinés, pas d'éducateurs, rien, nada! J'étais sortie du cours en larmes. C'est aussi pour cela que j'avais cette chanson de Sting dans laquelle il dit plusieurs fois qu'il espère que "les russes aiment leurs enfants aussi "en tête pendant cette lecture. Les slaves aiment leurs enfants, ils sont de plus en plus nombreux chez nous en Belgique, surtout dans le quartier où je travaille, et je m'entend très bien avec eux, j'aime beaucoup leurs enfants qui viennent dans le centre où je travaille, ils sont polis, intelligents et c'est grâce à ces enfants slaves qui apprennent nos deux langues principales souvent plus vite que la plupart des belges que nous avons un club d'échec!).
Je ne pense pas avoir écrit une critique très constructive mais ce sont mes sentiments qui parlent et c'est parfois intéressant aussi!

https://www.youtube.com/watch?v=wHylQRVN2Qs
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