Quand je l'ai lu dans le journal, je me suis dit " Ma parole, c'est lui qui a fait ça ? " J'ai relu deux ou trois fois l'article, pour être sûre. Cette sale vermine. Jamais je ne lui pardonnerai. Il était évident que ça tournerait mal, un jour. Je me disais : " Tu verras, un de ces quatre matins, il cessera d'avoir la baraka et alors là, tu m'as comprise... " Il était venu à la banque quémander un cré... >Voir plus