Je persiste sur mon 1er avis mitigé...et ici, les actions permettent de s'accrocher un peu plus à l'histoire. Cependant, l'agencement est vraiment perturbant, on saute du coq à l'âne double page après double page, c'est à perdre la tête. Alors que les graphismes sont toujours aussi attrayants, j'ai de plus en plus de mal à m'accrocher à cette trilogie que je vais m'empresser de terminer.
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Pour Alison Walker, la nouvelle vie prometteuse qu'elle était occupée de se façonner à la surface vient d'en prendre un sacré coup.
Ses origines de sorcière de L'Under York viennent de se rappeler à son bon souvenir, par son frère d'une part, et par un danger qui menace toute l'humanité d'autre part, d'où la réapparition des esprits malins en plein jour.
Toutes les familles de sorciers sont impactées et doivent faire face à Marduk, qui dans sa glorieuse époque n'avait fait rien de moins que réduire Babylone en cendres...
Ce dernier ne met pas longtemps à comprendre que le monde des humains a bien changé, mais il a déjà trouver où et comment recruter ses nouveaux généraux, soldats, et de quelle manière il pourrait asservir cette humanité une fois pour toutes.
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Suite directe du précédent tome, Alison et son frère doivent s'occuper du démon Marbouk qui s'est réincarné dans leur jeune frère et tient leurs parents en otage. Déterminé à prendre le pouvoir de New York, le démon cherche à se faire de l'argent (il fait travailler des traders pour lui) et à avoir une maison digne de lui (il s'installe au nouveau Trade Center).
Dessin vif.
Même si l'univers crée (Under New york, les familles représentant chacun un continent et un type de sorcellerie) est plutôt sympa, l'intrigue reste classique.
A voir.
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Les humains sont des animaux grégaires, et pourtant, ils ne savent pas se comporter autrement que comme des prédateurs entre eux. Ils ne sont pas faits pour vivre libres. La liberté, pour l'humanité... C'est la mort assurée pour son espèce.
(...) pour devenir sorcier, on n'intègre pas d'école. On ne se retrouve pas au milieu d'autres élèves dans des bâtiments immenses, avec des professeurs charismatiques à se divertir sur des balais volants dans des tournois de sports improbables. Non. Et il faut arrêter avec ces histoires de balais, d'ailleurs. Jamais cet objet n'a eu une quelconque utilité en lien avec la magie.
La richesse matérielle n'indique jamais la pureté d'une âme, c'est évident, mais il en va de même avec la misère. Etre pauvre n'empêche pas, éventuellement, d'être aussi une belle ordure.