La plage de la mariée

Zoé, la trentaine, part en Bretagne à la recherche de son père. Avant de mourir, sa mère lui a annoncé que son père n'est pas son vrai père.
Arrivée en Bretagne, elle trouve un travail de serveuse à la Cupcakerie et y rencontre pleins de personnes aussi étonnantes qu'attachantes.
J'aime beaucoup les livres de l'auteure…d'habitude.
Là je n'ai pas vraiment accroché. Alors c'est sympa à lire, c'est drôle par moment, Zoé m'a fait penser à Bridget Jones mais ça s'arrête là.
C'est un de ses premiers livres (peut-être même son premier) et je préfère les plus récents, surtout ceux en double temporalité.
Donc voilà, une lecture sympa mais sans plus.

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Zoé, une jeune trentenaire, vit à Nice lorsque que sa famille s'écroule : ses parents meurent dans un terrible accident de la route et dans un dernier souffle sa mère lui avoue que celui qui l'a élevé n'est pas son père.
La jeune femme plaque tout pour aller débusquer la vérité sur sa famille et sa naissance... Un périple qui sera semé d'embûches, mais aussi d'amitié et des beaucoup d'amour...

C'est un joli roman de plages ou à lire en train, en avion. Il détend et les personnages, bien qu'un peu cliché parfois, sont plutôt attachants.
Sans être un Sherlock Holmes chevronné, l'intrigue quant à elle ne vous surprendra qu'assez peu, on devine relativement vite qui, quoi, comment...

Je découvre Clarisse SABARD avec ce roman. C'est léger, facile à lire mais bien écrit, juste ce qu'il faut de fleur bleue. On se voit bien lire un tel roman, l'été au bord de la piscine.
On suit Zoé 30 ans, qui perd ses parents dans un accident de moto. Avant de décéder sa mère lui fait une révélation qui va changer la vie de Zoé.
Les personnages sont attachants et le dénouement inattendu.
J'ai apprécié cette lecture qui me donne envie de découvrir d'autres romans de Clarisse SABARD.

Oui c'est un livre qui se lit rapidement, qui est agréablement écrit, qui est parsemé de douceurs culinaires au point qu'on se demande où notre héroïne peut bien emmagasiner tout cela sans faire une once de sport, à part interroger tous les gens du coin qui refusent de lui révéler quoique ce soit sur le mystère entourant la jeunesse de sa mère, lequel mystère nous est finalement révélé en quelques pages et à vrai dire, cela ne méritait pas plus car vraiment, pas de quoi casser trois pattes à un canard. Non j'attends décidément autre chose d'un livre, sans faire de brainstorming, je recherche un peu plus de profondeur, de beauté, d'émotion, un je ne sais quoi qui fait juste la différence et qu'ici il n'y a pas.

J'ai directement aimé le prologue. le côté mystique, la légende. Cette femme en blanc qu'on voit sur la falaise. J'adore !

Par contre, j'au beauuucoup moins accroché dans la suite. Zoé cherche son vrai père dans le village natal de sa mère. Jusque là, ok. Mais... Ca prends milles ans à avancer. J'aime assez quand les personnages se retrouvent seul et qu'ils pensent à leur situation. Mais ici, ce n'est presque que ca, il y a pas beaucoup de recherches et quand elle trouve enfin quelqu'un, elle a des réactions d'enfants parce que les personnes ne veulent rien lui dire...

Dooonnccc, je suis clairement mitigée parce que la plume est jolie !

Bon, note pour moi-même, il ne faut pas que je lise les romans de Clarisse Sabard les uns à la suite des autres. Parce que ils se ressemblent assez et, quand on les enchaîne, on a l'impression de retrouver des personnages familiers.
Comme dans Les lettres de Rose, ou Ceux qui voulaient voir la mer, l'héroïne quitte sa région. Ici, encore une fois, elle le fait parce qu'elle part à la recherche de ce que pourrait être l'histoire de sa famille. Et comme dans les précédents romans, l'héroïne a toujours quelqu'un de familier, réconfortant, de bons conseils à appeler.
Déjà, là, je me suis demandée si je n'allais pas arrêter ma lecture pour la reprendre plus tard. Mais j'étais intriguée par ce que pouvait découvrir Zoé en Bretagne (et puis j'adore la Bretagne) alors je n'ai pas pu résister.
Sauf que si Les lettres de Rose m'a embarquée, si Ceux qui voulaient voir la mer m'a plu, ce roman m'a plutôt fait lever les yeux au ciel. Les simplicités scénaristiques en sont devenues un peu trop mièvres, voire incohérentes pour moi.
Non, mais qui, sérieusement, de nos jours, arrivent à sympathiser avec autant de mondes en si peu de temps ou, mieux, déniche un boulot sans même le demander ?
Je veux le secret de Zoé.
Certes, sa vie n'était pas très rose jusque là, mais tout de même, j'ai trouvé ça trop facile. Et la suite, et bien, ça n'a pas fonctionné pour moi. Je comprends que l'histoire plaise, mais je ne me suis pas emballée pour le dénouement qui m'a, à peine, surprise. Peut-être que l'histoire était un peu trop longue ? Même l'histoire d'amour, prévisible à des kilomètres, ne m'a rien fait ressentir.
Rendez-vous manqué donc, mais uniquement pour ma part. L'auteure à une très belle plume, c'est une magnifique conteuse, donc je lirai ces autres livres tout de même.

Enfin, plus tard ;o)

On retrouve les classiques des thèmes traités par Clarisse Sabard à savoir les secrets de famille, le manque de communication et l'amour familial.
C'est pas mon livre préféré mais comme toujours , l'auteur sait créer une atmosphère agréable qui nous tient tout au long du livre.

La plage de la mariée est un roman féminin signé Clarisse Sabard, qui nous transporte de la Côte d'Azur à la Bretagne. Zoé, juste avant la mort de sa mère, apprend de sa bouche que Zoran, l'homme qui l'a élevée, n'est pas son père biologique. Avec pour seul indice « la plage de la mariée », elle quitte Nice pour le petit village de Saoz, à l'autre bout de la France.

Je vais être franche : je n'ai pas aimé ce livre. Je peux néanmoins comprendre qu'il plaise à certains, parce qu'il n'est pas mauvais. C'est juste que pour moi, ça ne passe pas. Il est trop gentil, trop mièvre, trop... Si c'était un bonbon, je crois que je le décrirais comme étant archi-sucré et plein d'édulcorants. le genre qui donne tout de suite envie de se brosser les dents.

Même si j'ai une préférence pour les histoires sombres qui finissent mal, il n'est pas rare que je lise – et apprécie – des romans plus joyeux, mais là, ça va clairement trop loin dans la bonne humeur, et surtout, les évènements qui se succèdent dans la vie de Zoé m'ont paru difficilement crédibles.

Arrivée dans une région qu'elle ne connaît pas, dans un village qu'elle connaît encore moins, elle sympathise dès le premier soir avec le propriétaire du kebab local. le lendemain, elle décroche un travail à Saoz, dans la Cupcakerie d'une femme adorable, qui sera bien plus une amie qu'une patronne, et qui lui permettra presque de se concentrer davantage sur sa vie privée que sur son poste de serveuse...

Évidemment, les clients sont tous gentils, bienveillants, prévenants, les enfants sont très matures pour leur âge... Il n'y a qu'une personne que Zoé ne classe pas dans la catégorie « gens trop sympas qui font presque office de nouvelle famille », aussi quand on apprend que la soeur de sa mère a été assassinée et qu'elle a déjà rencontré le meurtrier, en dépit des efforts de l'auteur pour garder le suspens, je vous laisse deviner de qui il peut bien s'agir...

Beaucoup trop de guimauve, donc, qui fait que j'ai eu énormément de mal à partager les états d'âme de Zoé. Même quand elle traverse des périodes moins joyeuses, qu'elle s'interroge sur les secrets assez noirs qui entourent la mort de sa tante et la fugue de sa mère, je n'ai ressenti aucune détresse, aucune obscurité, parce qu'on rebondit toujours sur quelque chose qui nous sort de la situation dramatique.

Ou, à l'inverse, des situations dramatiques sont créées pour rien, mais avant d'en parler, il faut que j'évoque Nicolas. le beau, le magnifique, le parfait Nicolas, qui arrive un jour au volant de sa Porsche, après avoir fui sa vie de riche banquier et sa fiancée top model fille d'un ex-champion de F1 pour revenir à une vie plus saine dans un patelin de Bretagne.

Là, Zoé a fini de m'agacer, d'abord avec ses « Non, je refuse d'admettre qu'il me plaît, même s'il me plaît quand même », puis ses « J'ai envie de l'embrasser, mais en fait non, parce qu'il se passe trop de trucs dans ma vie, mais en fait oui »... Sa relation tourne en carré avec Nicolas, et quand elle progresse enfin, évidemment, il faut que Zoé casse tout (car que serait une romance sans sa dose de drama ?). Et on en arrive au sms, qui ne dit absolument rien, mais qui est interprété le plus odieusement possible par Zoé et sa meilleure amie Elsa, alors qu'on sent venir la vérité à plus d'un kilomètre (ou de cinquante pages).

Seul point positif que je relèverai dans ce livre, la plume de l'auteur est fluide et les fréquentes touches d'humour qui ponctuent le texte ont réussi à me faire sourire. Néanmoins, j'ai trouvé qu'il y avait également beaucoup de détails superflus, comme la composition détaillée des menus de Zoé ou de chacune de ses tenues (surtout quand il s'agit de mettre une jupe pour participer à une course en sac...).

En conclusion, je dirais que La plage de la mariée n'a tout simplement pas été une lecture pour moi. Je vais sûrement avoir besoin d'une bonne dose de sang, de souffrance et de tragédie pour m'en remettre, mais si vous aimez les histoires mièvres et guimauves, ne vous en privez pas.
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C'est un livre que j'ai acheté car il n'était pas cher et qu'il se passait en Bretagne : ça a été une lecture agréable, sans plus. Les personnages sont attachants, l'histoires est sympa, il y a de l'humour. Mais j'ai trouvé peu crédible que dans un espace temps très court (environ deux semaines) , elle refasse sa vie, trouve de nouveaux meilleurs amis. J'ai trouvé que les relations entre les personnes se développaient trop vite.

Zoé, 30 ans, vit à Nice, en recherche d'un autre emploi car sa boutique de vêtements n'est pas rentable.
Elle apprend que ses parents ont été victimes d'un accident de la route. Un automobiliste les a fauchés alors qu'ils circulaient en moto. le père de Zoé est mort sur le coup et sa maman aura juste le temps de lui révéler que son père n'est pas son père biologique. Elle apprend aussi que sa mère, Juliette, vient de Bretagne, un endroit près de la plage de la mariée où circule une légende lugubre.
Zoé quitte ses amis pour rejoindre la Bretagne où elle est engagée par une tenancière de cupcakerie très accueillante.
Le point fort du roman se situe dans la chaleur des relations humaines.
Heureusement, car on découvrira quand même un ancien meurtre, et une recherche pas très facile du père de Zoé.
j'ai beaucoup apprécié l'ambiance du roman, les expressions bretonnes, les pensées en italiques pleines d'humour de Zoé, la qualité de l'écriture.
J'aurais cependant préféré que l'auteure ne nous balade pas pendant autant de pages car après la moitié du livre, les évènements traînent un peu. On voudrait en savoir plus et plus vite. C'est que je suis une lectrice curieuse qui aime le mouvement et à ce moment, il en manquait.

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