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3,07

sur 391 notes
Philip Bowman rentre tout juste de la seconde guerre mondiale qu'il a passé sur un porte-avion au large du Japon. Il commence une nouvelle vie à New York avec un nouveau travail dans une maison d'édition. Rapidement il rencontre une jolie jeune femme qu'il épouse, puis ils divorcent. Plus l'âge avance plus sa vie est vivante, entourée de grands écrivains, de grands éditeurs et surtout de belles femmes. Il butine en croyant que chacune d'elle sera la bonne et pourtant il fini toujours seul. Alors il se pose de nombreuses questions, qu'est vraiment le bonheur ? Pourquoi sa vie professionnelle et sociale est-elle si foisonnante au détriment de sa vie amoureuse ? Va-t-il enfin trouver une femme qui restera à ses côtés jusqu'à la fin de sa vie ?

Bon clairement je n'ai rien compris à sa structure, ni au style qui est pour moi très froid. Les anecdotes s'enchaînent de manière incohérente. Il y a une foule de personnages, je me suis souvent demandée quels liens ont-ils les uns avec les autres. D'où sortent-ils ? le regard sur les femmes ne m'a pas plût non plus, soit elles sont belles mais futiles soit fortes mais au physique ingrat. de plus le personnage principal n'est pas particulièrement attachant, je ne comprends pas où l'auteur veut nous mener avec lui. J'ai voulu découvrir un grand auteur américain, mais j'ai malheureusement été déçue... J'esserai peut-être avec un autre titre...
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Je découvre James Salter avec ce roman et après en avoir lu une élogieuse critique dans la revue Page des Libraires.
Je ne sais pas trop quoi en penser. Je suis partagée entre mon engouement pour certains passages, notamment la bataille au Japon et le courage, voir l'héroïsme, le sacrifice des combattants japonais, les relations entre Bowman et sa maman Béatrice, son coup de foudre avec Vivian, sa relation amoureuse avec Christine et la virée parisienne avec Anet et mon désintérêt total pour certains chapitres entiers où il était question de personnages annexes.
J'ai eu beaucoup de mal à suivre l'histoire et je dois dire que je me suis parfois ennuyée.
Je n'ai éprouvé aucune empathie pour les personnages. Je pensais que le monde de l'édition m'intéresserait. La manière dont l'auteur l'a traité ne m'a pas convaincue. Je ne pense pas poursuivre ma découverte de cet auteur.

N'eut été la présentation au groupe Lire ensemble, je l'aurais sans doute abandonné en cours de lecture car j'en ai beaucoup d'autres à lire.
J'espère que les 3 derniers (Autour du monde de Laurent Mauvignier, Orphelins de Dieu de Marc Biancarelli et un livre d'une auteure italienne) qu'il me reste à découvrir dans le cadre du Prix des Libraires en Seine m'intéresseront davantage.
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Un roman gâché par d'abord par une traduction approximative: beaucoup d'erreurs irritantes dans le premier chapitre (Guerre du Pacifique) et ensuite par des phrases filandreuses et des anachronismes lexicaux.

Les portraits de people et de sous-people s'enchaînent, les situations se succèdent, dans une complaisance mondaine, faisandée où le voyeurisme est le seul recul. Les rapports humains sont réduits à des pulsions, encadrées par des convenances sociales.

Rien sur la littérature et l'édition new-yorkaise des années 1950-70 qui servent pourtant de cadre-prétexte à l'auteur, une exception cependant: on y apprend que les agents sont de grossiers personnages, les éditeurs des hypocrites, les critiques et les jurys soumis à de nombreuses influences. A part cela, RAS...

Le résultat relève davantage de la compilation que de l'oeuvre romanesque. Assembler des matériaux épars ne suffit pas, même pour faire simplement une belle construction.
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Quarante ans de la vie de Philip Bowman, éditeur new-yorkais, amoureux des livres, de la littérature et des auteurs, en quête de bonheur et d'amour. Garçon issu de la middle-class, il est élevé par sa mère avant de partir à la guerre (seconde guerre mondiale) puis d'en revenir, la tête remplie de rêves et de désirs mais sa vie ne sera qu'une suite de désillusions amoureuses.

Difficile de parler de ce livre que j'ai eu un mal fou à terminer. Un livre sur le temps qui passe, les illusions perdues, la passion, l'amour, la guerre. Un livre avec beaucoup de charme certes, un côté doux-amer mais un livre sans intrigue, sans rythme.

Alors j'ai aimé : les scènes d'amour décrites avec un rare finesse et énormément d'élégance, la fluidité de l'écriture, l'émotion qui s'en dégage et le désenchantement du principal protagoniste.

Mais j'ai beaucoup mois aimé : le côté décousu, cette succession d'anecdotes au détriment d'un réel fil conducteur, la fin qui n'en n'est pas une … mais ce qui est normal au vu de la construction choisie.

C'est un livre pour ceux qui aiment se laisser porter au gré des vagues, mais un peu ennuyeux à mon goût ... déception !
Lien : http://www.instantanesfutile..
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J ai mis deux étoiles a ce roman car il est très bien écrit. La moitié de l histoire ma intéressé, par contre la seconde moitié du livre m a déconcerté.
Dommage car ma lecture avait bien débuté, mais tous ces personnages, ces amours....bref ça a tout gâchés .
Donc je n ai pas accroché désolée.
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Déçue.
Une lecture quelconque, à mon grand regret.
A me demander si je ne devrais pas relire "Un bonheur parfait" du même James Salter pour m'assurer que je n'ai pas idéalisé ce roman qui figure en bonne place de mes romans préférés de tous les temps !

Revenons-en à "Et rien d'autre" : j'en retiens tout de même un petit arrière-goût de l'Amérique à la Scott Fitzgerald, alors que nous ne sommes pourtant pas du tout dans la même époque. Mais c'est un des points positifs du roman, la description de la vie dans une certaine sphère de la société new-yorkaise, mondaine, superficielle, "creuse"...

L'histoire sur quarante ans d'un homme, Philip Bowman, qui a fait la guerre du Pacifique (long 1er chapitre sur ce thème à tel point que j'ai cru que le livre serait un roman de guerre), qui a fait Harvard, qui a décroché assez aisément un poste d'éditeur à New York. Tout cela sans appartenir à la caste des privilégiés.
Et cet homme a ceci de particulier que les plus belles femmes tombent comme des mouches dans ses bras. D'abord Vivian, jeune femme de la haute société, mais de la Gentry, à la campagne, qu'il a épousée assez facilement. Puis Enid, aristocrate anglaise grâce à laquelle nous aurons droit à un petit aperçu sur les courses de lévriers. Puis Christine, néo-grecque superbe, agent immobilier grâce à qui nous visiterons de jolies maisons en banlieue de NY (certaines scènes dans de petites villes côtières m'ont fait penser à la scénographie de "La vérité sur l'affaire Harry Québert"). Et non, Christine ne sera pas le grand amour, alors on passe à Katherine. Puis à Anet, la fille de Christine (vengeance !). Pour finir avec Ann, une collègue éditrice...
A chaque nouvelle liaison, son lot de scènes de sexe : c'est le moteur de la vie de Philip Bowman. le soir pourtant il apprécie de pouvoir lire un livre un verre à la main. Mais on le voit rarement à l"oeuvre sur ce registre.
Voilà, et rien d'autre.

Grosse déception. C'est bien écrit, mais l'histoire n'est tout simplement pas intéressante. Et rien d'autre.
Lien : http://coquelicoquillages.bl..
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Ce livre nous conte la vie de Philip Bowman, ancien marine, qui travaille dans l'édition. Vie très active (voyages, rencontres avec des gens célèbres du monde de l'édition, conquêtes féminines) mais il ne lui arrive rien d'exceptionnel ou d'original. Et Salter ne se livre guère à des analyses psychologiques: son héros est un être froid, plutôt amoral, qui observe les autres sans les juger, qui baise les femmes sans les aimer vraiment.
Pas de quoi donc en faire un roman? A aucun moment pourtant je n'ai eu envie d'abandonner cette lecture. C'est que Salter écrit encore fort bien à 88 ans! Son style concis mais non dénué de chaleur entraîne le lecteur à s'intéresser à Bowman mais aussi à ses nombreuses connaissances, à qui l'auteur consacre souvent plusieurs pages voire un chapitre pour raconter leur parcours...assez banal.
Quelques courts passages érotiques (Salter est obsédé par les femmes et la recherche de l'amour), une plongée permanente dans le monde de l'édition (dont les membres ne semblent pas préoccupés par les fins de mois difficiles): c'est peu pour faire un grand roman.
Rien d'autre: et pourtant...
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Bien écrit. C'est le mieux que l'on puisse dire. Tres superficiel on à du mal à s'intéresser aux personages
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Après avoir entendu de nombreux éloges, je me suis empressée d'acheter ce livre : quelle déception ! Nous suivons péniblement les anecdotes sans intérêt qui ponctuent la vie de Bowman , héros n'ayant rien d'attachant, son côté mondain et misogyne le rendent même antipathique.
C'est une fresque de la vie américaine sur une trentaine d'années. On y croise une foule de personnages sans trop savoir si on doit s'en souvenir ou pas pour la suite, on s' y perd souvent !!!
Un livre futile sur le temps qui défile, sur la solitude et les désillusions de la vie.
Point positif : l'écriture est fluide, élégante, raffinée même.
Je suis allée au bout par acquis de conscience mais que j'étais soulagée en voyant enfin arriver la dernière page !!!
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L'un des grands succès de cette rentrée littéraire. J'ai découvert également cet auteur. Je n'ai pas lu "Un bonheur parfait".

J'ai beaucoup apprécié cette lecture. La vie de Philip Bowman se raconte au fil des pages. La finesse d'un homme, doublée d'un peu de naïveté, le porte d'un bout à l'autre de sa vie. Amateur de littérature et de femmes, il se laisse porter par les évènements, essayant de conjuguer ses deux passions.

Ce roman m'a fait un peu penser à "Une vie française" de JP Dubois.

Lorsque ma pile de livres en souffrance aura diminuer, je lirai avec plaisir "Un bonheur parfait".
Lien : http://caromleslivres.canalb..
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