de
Judith Schlanger «
La mémoire des oeuvres » (2008, Verdier, 192 p), dans lequel elle décrivait son approche de la lecture. En recherchant ce que l'on en dit, j'ai trouvé ce bel exemple de critique franco-français (à traduire néanmoins) « JS analyse la notion des préfiguration comme catégorie permettant d'interroger l'existence des oeuvres culturelles dans le temps ». Et c'est avec cela que les libraires vont trouver des lecteurs….