Milarepa

Un magnifique conte, une très belle découverte. L'écriture et la poésie sont magnifiques, mis en garde pour ceux qui aurait cru lire un roman. Nous sommes réellement sur un conte basé sur le bouddhisme, malgré son synopsis développé et très alléchant. Ce voyage onirique n'aura pas assez poussé sur les songes et leur magie de l'irréel. Les rêves restent trop réaliste et en perdent de leur magie.

Un petit ouvrage très intéressant qui laisse entrevoir les contours d'une religion qui m'est inconnue. Une religion, plutôt une philosophie de vie, qui place l'homme au centre.
L'entretien qui suit avec l'auteur est d'autant plus enrichissant dans la perspective de compréhension de sa démarche, de sa vision et de son positionnement quant au bouddhisme.

Bof bof bof... Voilà voilà voilà... Encore un livre de cet auteur lu pour pouvoir dire "Je connais, j'en ai lus" mais bon... heureusement que le livre est fin et se lit vite car il n'y a ni style ni histoire intéressante. A se demander comment cet auteur fait pour se faire éditer. Bref, vous l'aurez compris, je suis passée totalement à côté de ce livre... Circulez, il n'y a rien à voir...
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un tout petit livre, presque une nouvelle qui se lit très vite et s'oublie aussi vite. le narrateur vit dans ses rêves une vie en parallèle, une vie antérieure qu'il doit dépasser lié à l'enseignement bouddhique. Intéressant à la lecture néanmoins je n'en ai pas retenu grand chose

À travers ce très court roman, Éric-Emmanuel Schmitt fait une fois de plus la démonstration de son immense talent.
À mi-chemin entre le roman, la nouvelle ou encore le monologue théâtral, ce texte mêlant rêve et réel, réalité et surnaturel, nous initie au conte bouddhiste tibétain. L'auteur parvient à ébranler nos convictions et nous pousse à nous interroger : la réalité existe-t-elle en dehors de la perception que nous en avons?…

Heureusement que je n'ai pas découvert Éric Emmanuel Schmitt par ce livre, car je n'aurais sans doute pas lu ses autres livres. Je l'ai trouvé un peu maladroit, avec trop de personnages au début , et les trois "moi" qui embrouillent le lecteur. Vous l'aurez compris, je n'ai pas été emballée. L'entretien final avec Éric Emmanuel Schmitt m'a toutefois bien éclairée et comme j'avais l'impression d'être passée complètement à côté (et que le livre est très court), je l'ai relu, et j'ai déjà mieux apprécié. Même si je pense qu'on peut trouver mieux en guise d'introduction au bouddhisme

J'ai trouvé le début du livre très barbant puis après quelques pages j'y ai trouvé un certain intérêt avant de le trouver barbant à nouveau.
Donc je ne recommande pas cette lecture mais j'ai lu d'autres romans de l'auteur que j'avais aimé (Oscar et la dame rose notamment !... Formidable).

J'ai eu beaucoup de mal à me plonger dans ce livre. J'étais pourtant très impatiente de débuter le cycle de l'invisible.

C'est très bien écrit, j'ai aimé la réincarnation de cet homme. Mais je n'ai pas accroché à l'histoire des personnages. S'il y avait un message philosophique, spirituel, je ne l'ai vraiment pas reçu. J'ai compris que les thèmes comme la souffrance et la vengeance faisaient la force de ce compte, mais cela ne m'a pas du tout poussé à la réflexion.

J'ai fais deux voyages, il y a des années, sac à dos sur le dos et le routard comme seul guide, à la découverte de la Thaïlande et du Cambodge. J'y avais adoré la philosophie de leur religion, leurs temples, leurs us et coutumes. Mais là, Milarepa, ça ne l'a vraiment pas fait, et j'en suis la première sincèrement désolée.

Je tenterais de nouveau cette lecture dans quelques années, elle me touchera peut-être différemment.
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J'ai bien aimé ce court récit même si ce n'est pas mon préféré de l'auteur.
Il se lit bien, rapidement, et est très intéressant.
J'apprécie beaucoup la façon d'écrire de cet auteur, cette fois ci encore il arrive à m'entraîner avec lui.
Je donne quatre étoiles à Milarepa :)

_Grand Lama,je me repens.Donne moi ton enseignement.
Marpa se frotta la nuque.Des qu'il voyait Milarepa,il ne pouvait s'empècher de se gratter.
_Plus tard,plus tard....Je ne te sens pas mur.Le mal est plus aisé à faire que le bien,le mal est rapide,sans effort,mais c'est une glu dont on ne se dégage pas si vite.....