En 2013, une équipe du laboratoire américain d'Angonne a étudié les pigments (du tableau de Picasso : Le Fauteuil rouge) à l'aide d'un microscope à rayons X doté d'une sensibilité spatiale (30 nm) inédite. « Nous avons identifié la présence d'impuretés de fer et pu remonter ainsi à la nature de la peinture initiale : de la peinture murale, type Ripolin) », précise le chercheur Volker Rose. Mieux : Picasso serait l'un des premiers artistes (peut-être même le tout premier) à avoir utilisé ce type de peinture pour ses tableaux.
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