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Comme j'ai aimé ce livre! Un très gros coup de coeur! Il m'a fallu attendre un peu avant d'en parler, tellement l'émotion qu'il provoque reste imprimée en moi après la lecture...

Sabine a onze ans; petite blonde effacée, elle est en 5ème, ses résultats sont désastreux, alors qu'elle était brillante à l'école primaire. Elle rêve en classe et n'arrive pas à s'intéresser aux cours.Sabine s'envole, voit la beauté du monde dans chaque rai de soleil, loin , loin de sa prof de français, de ce poème qu'elle n'écoute pas.

Elle ose se montrer rebelle face aux réprimandes de la prof, et voilà que celle-ci décide de convoquer sa mère. Pour Sabine, c'est inconcevable. Sa grosse mère déjà usée par son travail de femme de ménage , elle l'aime mais elle en a honte.Elle appartient à un autre monde, incompatible avec celui de ce collège où sa mère a voulu qu'elle aille, où Sabine ne se sent pas à sa place...Sabine s'angoisse, pense aux choses qui font mal, comme ce père disparu, qui l'a abandonnée, comme cette satanée culture dont les profs se gargarisent et dont elle se sent exclue.

Alors, le lendemain, Sabine décide de faire l'école buissonnière. de cette journée particulière, que je préfère ne pas raconter, j'aimerais que vous la découvriez vous-mêmes, émanera , jaillira une autre Sabine,plus forte, plus confiante en elle, plus mûre aussi.

Une journée magique, pleine de surprises, de joies de chagrins, d'échanges et de découvertes. Une journée révélatrice, unique et déterminante.

Une journée que j'ai passée avec elle, les yeux embués, la gorgé serrée, où la poésie joue un grand rôle, illuminant tout, révélant Sabine aux merveilles des mots et du monde .

Une écriture limpide, tout en nuances et en douceur accompagne ce parcours initiatique, cette traversée inoubliable.

"Forêt. Comme dans le dessin de ses lettres, le mot se charge de mystère. de parfums, d'ombre et de lumière. de murmures. Oui, c'est comme une musique." La musique de Marie Sizun , celle de la petite Sabine, se sont glissées en moi et chantent doucement dans mon coeur bouleversé.




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Qu'est-ce que j'ai aimé ce roman !
L'auteure a un réel talent d'écriture. Elle écrit merveilleusement bien. Tellement bien qu'elle rend tout doux un récit plutôt triste. On se laisse envelopper par l'histoire de la petite Sabine, collégienne. Et pourtant sa vie n'est pas rose, ses sentiments encore moins.
Une mère solo, femme de ménage, dont Sabine a honte. Envoyée dans un collège BCBG, Sabine découvre un fossé culturel entre elle et les autres élèves. Elle se retrouve seule, en difficulté, sans soutien ni de sa mère (à qui elle ne raconte rien), ni des profs. Sabine a honte de sa mère, de son ignorance (à elles deux). Elle va alors faire le choix de sécher le collège et de partir. Mais tout la ramène à ce collège, à sa mère, à sa solitude. Elle découvre progressivement la honte d'avoir honte de sa mère....
Une rencontre va la sauver.
.
Ce récit aborde différentes thématiques (l'école, les classes sociales, la culture...) parfaitement entremêlées. C'est un récit vrai, sincère, touchant. C'est bien simple, j'ai noté le nom de l'auteure et je compte bien découvrir sa bibliographie !
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Avec Marie Sizun je sais que je ne serai pas déçue, elle nous emmène toujours dans un univers, rude certes, où il y a beaucoup d'émotions, beaucoup de tristesse, de difficultés à se faire une place, sa place mais, elle nous enveloppe aussi, avec sa plume, d'amour, de tendresse et de douceur. Dans "Un jour par la forêt" j'ai toutefois été, au début, un peu décontenancée, il y avait beaucoup de similitudes avec Annie Ernaux, ainsi lorsque la petite se retrouve en décalage dans sa classe et qu'elle a honte d'être ce qu'elle est, d'avoir une mère comme la sienne, j'avais vraiment l'impression de lire "la place" ou " les armoires vides". Mais après ces quelques pages, Marie Sizun ne nous lâche plus.
Être à sa place, avoir sa place, faire sa place, voilà tout le sujet de ce roman. Sabine est issue d'un milieu pauvre et se retrouve dans un lycée "bourgeois" dans une classe peuplée d'enfants d'une autre classe sociale que la sienne. Elle le ressent, ça se voit, ça se sent, son enseignante de français est dérangée par ces différences qu'elle ne sait pas appréhender. Sabine le vit inévitablement mal, elle décide de faire l'école buissonnière. On se retrouve au côté de cette petite dans cette journée de "fugue", au côté mais aussi dans sa tête. Et il s'en passe des choses dans une petite tête de 11 ans. Malgré les chagrins, ce roman est résolument optimiste et comme avec tous les romans de Marie Sizun, je ressors émue.
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Je viens de découvrir tout récemment l'écriture et l'univers original de Marie Sizun, avec "La Gouvernante suédoise"...qui m'a enthousiasmée...

Dans mon élan , je poursuis avec deux écrits antérieurs... dont ce roman tout à fait pathétique, prenant ... qui met en scène une petite fille vivant dans son quotidien et sa tête un véritable séisme: d'une élève tout à fait prometteuse, sans histoires dans le primaire, se retrouve littéralement au bord du gouffre... les difficultés familiales surgissent, la violence d'un papa adoré, le divorce des parents, une maman aimante, mais se laissant aller...

La maman, simple femme de ménage, veut le meilleur pour sa "merveille", sa petite fille, la change d'école et l'inscrit dans un lycée plus "chic" près de la Porte de Vincennes, où Sabine ne parvient pas à s'habituer, où elle est en manque de ses anciens camarades de Montreuil, issus du même milieu populaire...Un nouveau professeur de français , une femme trop rigide, méprisant plus ou moins volontairement ses élèves,par son incompréhension pour les enfants de milieu dit "défavorisé"

Entre les chagrins familiaux... cette petite fille, Sabine n'écoute plus les cours, s'évade dans ses songes, dans la contemplation de la nature; elle ne se sent bien qu'en cours de dessin , où elle se montre douée et encouragée par son professeur, Mlle Senlis....qui est la seule à lui manifester "écoute et gentillesse"; un einième incident avec la rébarbative prof de français, à propos d'un poème de Victor Hugo, qu'elle connaît et aime... Mais en classe, elle perd tous "ses moyens", se sent paralysée et en panique...
Cette prof... exige de voir au plus vite la mère de Sabine pour exprimer son mécontentement et songe même à une réorientation de cette élève... sans vouloir comprendre plus avant !

L'enfant, tétanisée, est terrifiée par cette convocation: à la fois, car elle éprouve quelque honte vis à vis de l'apparence négligée de sa mère ainsi que son travail peu valorisant... sans oublier son propre sentiment d'infériorité, sa conviction d'être différente et bête !!!

"Ce long trajet à pied du lycée à la maison, d'habitude, Sabine l'aime bien. Elle aime ce moment de solitude, de retrait, où elle a le sentiment, loin du collège et pas encore dans l'appartement, d'être libre, de n'avoir à rendre de comptes à personne. Et puis, c'est un peu, chaque fois, comme un voyage: dans la rue, on regarde, on voit ce qu'on ne voit ni à la maison, ni à l'école.
On voit la vraie vie. On devine déjà un peu du monde. (...)
Et alors on pense, on se demande un tas de choses, on a l'impression qu'on est intelligente, tandis qu'en classe on est l'imbécile..."(p. 42)

Et voilà , l'exclusion sociale, et la mise en échec scolaire, mises en place dans toute sa gravité et sa tragédie...

Sabine se ronge les sangs toute la nuit; et le lendemain, où la convocation maternelle par la prof doit avoir lieu le soir, décide de fuguer et de ne pas se rendre à l'école... elle débutera ses heures buissonnières par la forêt... puis se rendra en métro à Paris, pour revoir Notre-Dame, dont elle avait un heureux souvenir....

Adviendra une rencontre "miraculeuse" avec un jeune couple de touristes anglais, qui sentira spontanément le désarroi et chagrin absolus de cette petite fille...
Quelques heures de lumière , de gentillesse, d'écoute, de dialogues...de découvertes, dont une immersion au marché de la Poésie... où cette jeune lycéenne, dite "mauvaise élève, avec des moyens limités"....se révèle
d'une attention, d'une sensibilité extrêmes quant aux couleurs, à la magie des mots...ainsi qu'à tout ce qui l'entoure...

Quelques heures qui vont lui montrer combien la Vie peut être belle, et qu'APPRENDRE , est un des trésors des plus précieux dans cette existence...et que cela lui permettra de construire sa toute jeune vie, en début de devenir...

Je n'en dis pas plus...si ce n'est que ce roman est bouleversant, enveloppant, par le style, la finesse psychologique de l'auteure décrivant le désespoir total d'une enfant , en perdition, qui se sent rejetée du système scolaire, où elle ne trouve pas sa place, qui en arrive à songer même à disparaître...
Heureusement, Sabine se rebelle, fugue une journée... et des mains tendues... vont la remettre dans le chemin de l'espoir et surtout avec enfin ,l'envie de retrouver sa mère, sans honte et la faim d'APPRENDRE... de vivre et grandir !

"S'ils pouvaient deviner, tous ces professeurs, combien elle a maintenant envie d'apprendre. Envie d'apprendre ! C'était ce dont, avant, elle n'avait pas même idée." (p. 266)

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- " Ca ne va pas du tout Sabine. Vos résultats sont trop faibles. Vous avez vu le dernier bulletin : " Elève en danger ! Aucune note au dessus de la moyenne sauf en dessin. Il va falloir que je rencontre votre mère."

Sabine sent la panique s'emparer d'elle en songeant à cette rencontre imminente entre sa professeure et sa mère. Parceque la mère de Sabine n'est pas une femme comme il faut. Sa mère est justement une femme comme il ne faut pas! Une mère obèse, informe, parlant mal, vêtue chichement. Aussi Sabine a honte, tellement honte de cette mère immonde, pas montrable. Honte aussi des deux pièces minables qu'elles occupent, respirant autant de pauvreté que d'insalubrité.
Le lendemain, jour de l'entretien, la fillette n'a trouvé qu'une seule issue: S'absenter des cours. Durant cette journée d'école buissonnière qu'elle s'octroie, arpentant les rues de la capitale, sa rencontre avec un jeune couple britannique, feru de poésies et de peintures va lui ouvrir les portes d'un savoir insoupçonné. Grâce à eux, Sabine apprend à penser et à voir différemmnent, à s'épanouir malgré ses blessures, à porter un nouveau regard sur le monde qui l'entoure.

En voilà une belle découverte. Je ne connaissais pas Marie Sizun et J'ai adoré cette histoire fluide, aérienne, dans laquelle on devine combien la poésie tient une grande place dans la vie de l'auteure. Un roman court mais riche émotionnellement. Les mots glissent subtils et délicats et qui, mine de rien apportent au lecteur une belle leçon de sagesse et d'humanité à se livrer et se libérer grâce à la poésie et la peinture nous permettant de voyager, de penser et de voir différemment, de nous rendre sensible aux êtres et aux choses de la vie, tout comme le décrit si bien Marie sizun dans Un jour par la forêt.

Autant dire que je compte bien me pencher sur ses autres écrits dont une partie patiente sagement en attendant de me séduire.
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« Elle pleure pour tout le malheur du monde, pour sa grosse maman pas montrable, pour son père parti, pour ses amis qui vont s'en aller. Elle pleure pour sa solitude et pour le mal d'être petite dans un monde incompréhensible ».
Sabine, n'en peut plus de tout ce malheur pour ces frêles épaules.
Marre de cette école et de ces profs qui ne la comprennent pas et disent qu'elle a des « moyens limités ».
Marre de cette maman obèse et moche qui lui fait honte et qui dit tout le temps : « on n'a pas les moyens ».
Marre de ce papa parti vers une autre vie.
Marre de ces poésies de Victor Hugo qu'elle ne comprend pas.
Marre de sa solitude au milieu des autres écoliers qui sont si différents.
Un beau jour, elle dit stop et au lieu du chemin de l'école, elle choisit de prendre le métro et part à l'aventure dans Paris.
Au grès de belles rencontres, et avec l'aide d'amis de passage elle prendra conscience que pour peu que l'on s'en donne la peine, il y a plein de belles choses dans la vie.
La poésie peut-être et surtout l'amour d'une maman qui est toujours la plus belle du monde.
Comme à chacun de ses romans, Marie Sizun sait trouver les mots justes pour raconter des histoires simples comme le bonheur.
J'ai adoré cette petite Sabine !
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Je poursuis la découverte de Marie Sizun par la lecture de « Un jour par la forêt ».
Sabine a onze ans, élève en classe de cinquième, elle a des difficultés scolaires, un manque de moyens qualifiés par ses professeurs. Les seules matières qui trouvent crédit à ses yeux sont le dessin et l'anglais où là, elle a du talent !
En revanche, le professeur de français, Madame Lemagre se plaint de son attitude désintéressée voire insolente. Elle convoque la mère de Sabine pour mettre les choses au point. Ce rendez-vous fait basculer les choses pour la fillette car cette rencontre va mettre en lumière sa vie misérable auprès d'une maman dont elle a honte. Rien ne colle avec les apparences de ce lycée. Et pourtant, la maman de Sabine a voulu le meilleur pour sa fille adorée.
La fuite sera la solution la plus simple que Sabine ait trouvée, elle ne se rendra pas au lycée ce fameux jour.
Sans connaitre Paris, elle se lance cartable sur le dos à la conquête de l'inconnu. Elle va tenter de retrouver son père qui les a lâchement abandonnées elle et sa mère pour recommencer une nouvelle vie. Déçue par sa tentative qui se solde par un échec, elle continue sa traversée et tombe par hasard sur un jeune couple d'anglais. Très vite l'intérêt est réciproque et de cette rencontre, Sabine va être bouleversée.
Je n'en dirai pas plus sur l'histoire et m'étendrai désormais sur mon ressenti.
Ce roman était classé dans la bibliothèque de ma ville dans la section « lecture pour adolescents » ! Je me dis que ce livre peut convenir à tous les âges et je le classerais plutôt dans la rubrique des contes modernes car bien sûr les personnages sont légèrement caricaturés qu'il s'agisse du couple ou de la maman ou encore du professeur. Chacun de ces personnages a sa valeur et son rôle à jouer dans la morale de cette histoire si joliment contée.
Faire un arrêt sur image, sortir de sa zone de pensées spontanées et trouver la voie de l'empathie envers l'autre peut tout changer. J'ai trouvé en cela l'attitude du proviseur exemplaire.
Si le métier d'enseignant n'est pas simple, le rôle d'élève ne l'est pas non plus. Hormis le fait d'apprendre et de s'enrichir, il faut s'adapter aux camarades, aux exigences et entrer dans un moule qui n'est pas forcément taillé aux bonnes dimensions. Dans ce roman, l'auteur nous place dans le champ de vision de toutes les parties et en soi cela est riche et nous permet de mieux comprendre les réactions des uns et des autres.
L'écriture de Marie Sizun est vraiment agréable, je suis séduite par cette auteure.
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Sabine
Pauvre petite Sabine perdue dans ce grand collège trop chic pour elle
Perdue dans les cours desquels elle décroche
Désorientée par la sévérité de sa prof de français qui convoque sa mère
Honteuse de sa mère trop grosse, trop simple
Sabine qui ce matin n'ira pas en cours et errera dans Paris.
Quelle belle histoire
Elle est touchante cette petite Sabine si sensible, si seule
Elle est cruelle cette société et ses différences de classes.
Je suis très sensible à l'écriture de Marie Sizun.
J'apprécie sa manière d'appréhender ses personnages
C'est toujours délicat, sensible.
L'art et la poésie illuminent ce récit
L'espoir est là malgré la noirceur qui a envahi Sabine.
Le hasard des rencontres.
Un regard, un sourire.
Malgré les difficultés, c'est plein de tendresse et de douceur.
Un livre touchant.
Une journée pas comme les autres qui va transformer la vie de cette petite fille.
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Sabine, onze ans, est mortifiée. Mme Lemagre, son professeur de français, a pris rendez-vous avec sa mère pour parler de ses résultats désastreux et de son impertinence. Avec virulence, elle s'apprête à anéantir la fierté de cette mère, femme de ménage issue d'un milieu populaire, en lui parlant des faibles capacités intellectuelles de sa fille… Alors, plutôt que d'assister à cette scène humiliante, Sabine décide de fuguer. Elle fuit la honte que lui inspire cette mère pataude et peu instruite, elle fuit sa déception à venir et un lycée dans lequel elle ne trouve pas sa place. Ses pas la conduiront à Paris, vers ce père qui a refait sa vie sans elle, mais qu'elle ne reverra pas. A la place, elle fera une rencontre fortuite avec un couple d'étrangers anglais qui lui permettra de se révéler à elle-même et de trouver son chemin…

Avec son nouveau roman, Marie Sizun nous offre un texte tout en émotion, plein de douceur et de fragilité. C'est le joli portrait d'une fillette en plein décrochage scolaire, qui a perdu confiance en elle et prend tout juste conscience du regard des autres, souvent cruel et sans concessions. Sabine est une petite héroïne qui ne demande qu'à apprendre, qui aimerait être comprise et que l'on a envie de prendre sous son aile, de protéger et de rassurer. « Un jour par la forêt » est un portrait, plein de délicatesse, d'amour et de tendresse ainsi qu'un récit introspectif plein de justesse, qui nous plonge dans le quotidien d'une jeune fille tourmentée qui a besoin d'être guidée. Par ailleurs, l'auteur nous offre une réflexion pertinente et censée sur les chances liées au milieu d'où l'on vient. Un bien joli texte quand on cherche un moment de douceur et d'émotion !
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Sabine a 11 ans, elle fréquente un collège, en classe de 5ème ( Pourquoi Marie Sizun parle-t-elle de lycée?) et vit seule avec sa mère, avec laquelle les rapports sont très limités. Son père est parti. A la suite d'une remontrance de sa prof de français" La petite" va connaître une journée décisive dans sa vie d'adolescente.
C'est une jolie histoire, dans laquelle le lecteur découvre une petite fille imaginative et artiste. Pour moi, ce roman s'adresse aux jeunes lecteurs.
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