AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,65

sur 95 notes
5
12 avis
4
10 avis
3
8 avis
2
3 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Comme j'ai aimé ce livre! Un très gros coup de coeur! Il m'a fallu attendre un peu avant d'en parler, tellement l'émotion qu'il provoque reste imprimée en moi après la lecture...

Sabine a onze ans; petite blonde effacée, elle est en 5ème, ses résultats sont désastreux, alors qu'elle était brillante à l'école primaire. Elle rêve en classe et n'arrive pas à s'intéresser aux cours.Sabine s'envole, voit la beauté du monde dans chaque rai de soleil, loin , loin de sa prof de français, de ce poème qu'elle n'écoute pas.

Elle ose se montrer rebelle face aux réprimandes de la prof, et voilà que celle-ci décide de convoquer sa mère. Pour Sabine, c'est inconcevable. Sa grosse mère déjà usée par son travail de femme de ménage , elle l'aime mais elle en a honte.Elle appartient à un autre monde, incompatible avec celui de ce collège où sa mère a voulu qu'elle aille, où Sabine ne se sent pas à sa place...Sabine s'angoisse, pense aux choses qui font mal, comme ce père disparu, qui l'a abandonnée, comme cette satanée culture dont les profs se gargarisent et dont elle se sent exclue.

Alors, le lendemain, Sabine décide de faire l'école buissonnière. de cette journée particulière, que je préfère ne pas raconter, j'aimerais que vous la découvriez vous-mêmes, émanera , jaillira une autre Sabine,plus forte, plus confiante en elle, plus mûre aussi.

Une journée magique, pleine de surprises, de joies de chagrins, d'échanges et de découvertes. Une journée révélatrice, unique et déterminante.

Une journée que j'ai passée avec elle, les yeux embués, la gorgé serrée, où la poésie joue un grand rôle, illuminant tout, révélant Sabine aux merveilles des mots et du monde .

Une écriture limpide, tout en nuances et en douceur accompagne ce parcours initiatique, cette traversée inoubliable.

"Forêt. Comme dans le dessin de ses lettres, le mot se charge de mystère. de parfums, d'ombre et de lumière. de murmures. Oui, c'est comme une musique." La musique de Marie Sizun , celle de la petite Sabine, se sont glissées en moi et chantent doucement dans mon coeur bouleversé.




Commenter  J’apprécie          434
Qu'est-ce que j'ai aimé ce roman !
L'auteure a un réel talent d'écriture. Elle écrit merveilleusement bien. Tellement bien qu'elle rend tout doux un récit plutôt triste. On se laisse envelopper par l'histoire de la petite Sabine, collégienne. Et pourtant sa vie n'est pas rose, ses sentiments encore moins.
Une mère solo, femme de ménage, dont Sabine a honte. Envoyée dans un collège BCBG, Sabine découvre un fossé culturel entre elle et les autres élèves. Elle se retrouve seule, en difficulté, sans soutien ni de sa mère (à qui elle ne raconte rien), ni des profs. Sabine a honte de sa mère, de son ignorance (à elles deux). Elle va alors faire le choix de sécher le collège et de partir. Mais tout la ramène à ce collège, à sa mère, à sa solitude. Elle découvre progressivement la honte d'avoir honte de sa mère....
Une rencontre va la sauver.
.
Ce récit aborde différentes thématiques (l'école, les classes sociales, la culture...) parfaitement entremêlées. C'est un récit vrai, sincère, touchant. C'est bien simple, j'ai noté le nom de l'auteure et je compte bien découvrir sa bibliographie !
Commenter  J’apprécie          385
Avec Marie Sizun je sais que je ne serai pas déçue, elle nous emmène toujours dans un univers, rude certes, où il y a beaucoup d'émotions, beaucoup de tristesse, de difficultés à se faire une place, sa place mais, elle nous enveloppe aussi, avec sa plume, d'amour, de tendresse et de douceur. Dans "Un jour par la forêt" j'ai toutefois été, au début, un peu décontenancée, il y avait beaucoup de similitudes avec Annie Ernaux, ainsi lorsque la petite se retrouve en décalage dans sa classe et qu'elle a honte d'être ce qu'elle est, d'avoir une mère comme la sienne, j'avais vraiment l'impression de lire "la place" ou " les armoires vides". Mais après ces quelques pages, Marie Sizun ne nous lâche plus.
Être à sa place, avoir sa place, faire sa place, voilà tout le sujet de ce roman. Sabine est issue d'un milieu pauvre et se retrouve dans un lycée "bourgeois" dans une classe peuplée d'enfants d'une autre classe sociale que la sienne. Elle le ressent, ça se voit, ça se sent, son enseignante de français est dérangée par ces différences qu'elle ne sait pas appréhender. Sabine le vit inévitablement mal, elle décide de faire l'école buissonnière. On se retrouve au côté de cette petite dans cette journée de "fugue", au côté mais aussi dans sa tête. Et il s'en passe des choses dans une petite tête de 11 ans. Malgré les chagrins, ce roman est résolument optimiste et comme avec tous les romans de Marie Sizun, je ressors émue.
Commenter  J’apprécie          362
Je viens de découvrir tout récemment l'écriture et l'univers original de Marie Sizun, avec "La Gouvernante suédoise"...qui m'a enthousiasmée...

Dans mon élan , je poursuis avec deux écrits antérieurs... dont ce roman tout à fait pathétique, prenant ... qui met en scène une petite fille vivant dans son quotidien et sa tête un véritable séisme: d'une élève tout à fait prometteuse, sans histoires dans le primaire, se retrouve littéralement au bord du gouffre... les difficultés familiales surgissent, la violence d'un papa adoré, le divorce des parents, une maman aimante, mais se laissant aller...

La maman, simple femme de ménage, veut le meilleur pour sa "merveille", sa petite fille, la change d'école et l'inscrit dans un lycée plus "chic" près de la Porte de Vincennes, où Sabine ne parvient pas à s'habituer, où elle est en manque de ses anciens camarades de Montreuil, issus du même milieu populaire...Un nouveau professeur de français , une femme trop rigide, méprisant plus ou moins volontairement ses élèves,par son incompréhension pour les enfants de milieu dit "défavorisé"

Entre les chagrins familiaux... cette petite fille, Sabine n'écoute plus les cours, s'évade dans ses songes, dans la contemplation de la nature; elle ne se sent bien qu'en cours de dessin , où elle se montre douée et encouragée par son professeur, Mlle Senlis....qui est la seule à lui manifester "écoute et gentillesse"; un einième incident avec la rébarbative prof de français, à propos d'un poème de Victor Hugo, qu'elle connaît et aime... Mais en classe, elle perd tous "ses moyens", se sent paralysée et en panique...
Cette prof... exige de voir au plus vite la mère de Sabine pour exprimer son mécontentement et songe même à une réorientation de cette élève... sans vouloir comprendre plus avant !

L'enfant, tétanisée, est terrifiée par cette convocation: à la fois, car elle éprouve quelque honte vis à vis de l'apparence négligée de sa mère ainsi que son travail peu valorisant... sans oublier son propre sentiment d'infériorité, sa conviction d'être différente et bête !!!

"Ce long trajet à pied du lycée à la maison, d'habitude, Sabine l'aime bien. Elle aime ce moment de solitude, de retrait, où elle a le sentiment, loin du collège et pas encore dans l'appartement, d'être libre, de n'avoir à rendre de comptes à personne. Et puis, c'est un peu, chaque fois, comme un voyage: dans la rue, on regarde, on voit ce qu'on ne voit ni à la maison, ni à l'école.
On voit la vraie vie. On devine déjà un peu du monde. (...)
Et alors on pense, on se demande un tas de choses, on a l'impression qu'on est intelligente, tandis qu'en classe on est l'imbécile..."(p. 42)

Et voilà , l'exclusion sociale, et la mise en échec scolaire, mises en place dans toute sa gravité et sa tragédie...

Sabine se ronge les sangs toute la nuit; et le lendemain, où la convocation maternelle par la prof doit avoir lieu le soir, décide de fuguer et de ne pas se rendre à l'école... elle débutera ses heures buissonnières par la forêt... puis se rendra en métro à Paris, pour revoir Notre-Dame, dont elle avait un heureux souvenir....

Adviendra une rencontre "miraculeuse" avec un jeune couple de touristes anglais, qui sentira spontanément le désarroi et chagrin absolus de cette petite fille...
Quelques heures de lumière , de gentillesse, d'écoute, de dialogues...de découvertes, dont une immersion au marché de la Poésie... où cette jeune lycéenne, dite "mauvaise élève, avec des moyens limités"....se révèle
d'une attention, d'une sensibilité extrêmes quant aux couleurs, à la magie des mots...ainsi qu'à tout ce qui l'entoure...

Quelques heures qui vont lui montrer combien la Vie peut être belle, et qu'APPRENDRE , est un des trésors des plus précieux dans cette existence...et que cela lui permettra de construire sa toute jeune vie, en début de devenir...

Je n'en dis pas plus...si ce n'est que ce roman est bouleversant, enveloppant, par le style, la finesse psychologique de l'auteure décrivant le désespoir total d'une enfant , en perdition, qui se sent rejetée du système scolaire, où elle ne trouve pas sa place, qui en arrive à songer même à disparaître...
Heureusement, Sabine se rebelle, fugue une journée... et des mains tendues... vont la remettre dans le chemin de l'espoir et surtout avec enfin ,l'envie de retrouver sa mère, sans honte et la faim d'APPRENDRE... de vivre et grandir !

"S'ils pouvaient deviner, tous ces professeurs, combien elle a maintenant envie d'apprendre. Envie d'apprendre ! C'était ce dont, avant, elle n'avait pas même idée." (p. 266)

Commenter  J’apprécie          362
Je poursuis la découverte de Marie Sizun par la lecture de « Un jour par la forêt ».
Sabine a onze ans, élève en classe de cinquième, elle a des difficultés scolaires, un manque de moyens qualifiés par ses professeurs. Les seules matières qui trouvent crédit à ses yeux sont le dessin et l'anglais où là, elle a du talent !
En revanche, le professeur de français, Madame Lemagre se plaint de son attitude désintéressée voire insolente. Elle convoque la mère de Sabine pour mettre les choses au point. Ce rendez-vous fait basculer les choses pour la fillette car cette rencontre va mettre en lumière sa vie misérable auprès d'une maman dont elle a honte. Rien ne colle avec les apparences de ce lycée. Et pourtant, la maman de Sabine a voulu le meilleur pour sa fille adorée.
La fuite sera la solution la plus simple que Sabine ait trouvée, elle ne se rendra pas au lycée ce fameux jour.
Sans connaitre Paris, elle se lance cartable sur le dos à la conquête de l'inconnu. Elle va tenter de retrouver son père qui les a lâchement abandonnées elle et sa mère pour recommencer une nouvelle vie. Déçue par sa tentative qui se solde par un échec, elle continue sa traversée et tombe par hasard sur un jeune couple d'anglais. Très vite l'intérêt est réciproque et de cette rencontre, Sabine va être bouleversée.
Je n'en dirai pas plus sur l'histoire et m'étendrai désormais sur mon ressenti.
Ce roman était classé dans la bibliothèque de ma ville dans la section « lecture pour adolescents » ! Je me dis que ce livre peut convenir à tous les âges et je le classerais plutôt dans la rubrique des contes modernes car bien sûr les personnages sont légèrement caricaturés qu'il s'agisse du couple ou de la maman ou encore du professeur. Chacun de ces personnages a sa valeur et son rôle à jouer dans la morale de cette histoire si joliment contée.
Faire un arrêt sur image, sortir de sa zone de pensées spontanées et trouver la voie de l'empathie envers l'autre peut tout changer. J'ai trouvé en cela l'attitude du proviseur exemplaire.
Si le métier d'enseignant n'est pas simple, le rôle d'élève ne l'est pas non plus. Hormis le fait d'apprendre et de s'enrichir, il faut s'adapter aux camarades, aux exigences et entrer dans un moule qui n'est pas forcément taillé aux bonnes dimensions. Dans ce roman, l'auteur nous place dans le champ de vision de toutes les parties et en soi cela est riche et nous permet de mieux comprendre les réactions des uns et des autres.
L'écriture de Marie Sizun est vraiment agréable, je suis séduite par cette auteure.
Commenter  J’apprécie          294
A lire la quatrième de couverture, je craignais de lire un "remake" de "Zazie dans le métro". Et bien pas du tout.

J'ai eu entre les mains un roman bouleversant sur la journée d'une petite fille perdue, qui fuit son collège (pardon, lycée) où elle ne se sent plus à sa place, persécutée par son professeur de français, Mme Lemagre.

Au cours de son errance lui reviennent en mémoire, indistinctement, les vers du poème de Victor Hugo "Demain, dès l'aube", parsemant son vagabondage d'une pointe de poésie.

Les autres personnages de l'histoire ne sont pas en reste, ainsi suit-on la mère qui fait des ménages et la-dite prof au long de cette journée.

Mais, si le personnage de Sabine est profondément émouvant, en revanche, j'ai trouvé le personnage de la prof quelque peu caricaturale. de même, les anglais que rencontre Sabine sont eux-mêmes professeurs, de quoi donner des boutons aux allergiques à l'institution scolaire.

La quête du père est aussi importante, au moins dans la première partie du roman ; quête qui n'a pu que me toucher personnellement.

Ceci dit, j'ai passé un très agréable moment de lecture, et je me souviendrai longtemps, je pense, de cette élève attachante.

L'image que je retiendrai :

Celle de Sabine à l'intérieur de Notre-Dame-de-Paris, au milieu de cette forêt.
Lien : http://motamots.canalblog.co..
Commenter  J’apprécie          80
« Elle pleure pour sa solitude et pour le mal d'être petite dans un monde incompréhensible. »

« La culture, c'est attraper tout ce qui permet d'être soi- même. »

« Qu'est-ce qu'il penserait ,Hugo, de ces élèves ratés d'aujourd'hui qu'on envoie pas travailler dans les mines, non, mais qu'on laisse sur le bord de la route, qu'on abandonne en cours de scolarité, sans aucun diplôme, livrés à quel avenir ? »


Partons, et faisons l'école buissonnière avec Sabine. Elle n'a pas sa place à l'école, elle décroche ; non pas parce qu'elle n'est pas capable ; non, juste parce qu'il lui faudrait lui présenter la poésie de Victor Hugo autrement, la mettre en confiance, comprendre le milieu dans lequel elle vie ; parce qu'il faudrait la respecter, tout simplement.

Cette journée de relâche, sera la chance de sa vie ; elle y fera une rencontre déterminante, qui lui permettra de grandir, la valoriser. Pour la première fois Sabine se sent écoutée, épaulée. Toutes ces choses qui a l'école lui paraissaient insurmontables, et incompréhensibles deviennent pour elle abordables, et passionnantes. Il suffisait juste d'un peu d'amour, et d'humilité.


Ce texte ciselé, tissé d'amour, et douceur nous montre que chaque élève arrive avec son histoire et son bagage, et qu'il suffit de peu chose pour perdre un enfant en cours de route.

Cette lecture me rappelle que j'ai eu aussi des Edith Lemagre durant ma scolarité ; Fort heureusement, je les rencontrées assez tardivement pour ne pas en être trop affectée.

Sans doute pourra-t-on rapprocher à cette histoire une fin idyllique ; c'est rarement comme cela dans la vraie vie. Cela étant, je ne bouderai ni la douceur de ce texte, ni les émotions ressenties ; et peut-être même qu'il pourrait me guider vers Victor Hugo

Marie Sizun confirme avec cet ouvrage les qualités d'écriture qui m'avaient déjà touché avec Un léger déplacement.

Lien : http://leblogdemimipinson.bl..
Commenter  J’apprécie          70
Encore un nouveau texte de Marie Sizun lu avec grand intérêt et grand plaisir.
Cette fois-ci, nous sommes dans la peau de Sabine, une collégienne mal dans ses baskets. Son père a fondé une nouvelle famille. Sa mère ressemble à tout sauf à celles des autres filles de sa classe. Cette dernière veut ce qu'il y a de mieux pour sa fille. Aussi l'a-t-elle inscrite dans un lycée parisien persuadée de lui donner les meilleures chances de s'en sortir. Mais ce n'est pas si simple. Alors qu'elle obtenait de très bons résultats en primaire, elle sombre peu à peu en sa fin de 5ème. Il faut dire qu'elle ne possède pas les codes, ni vestimentaires, ni la langage, ni les vacances, ni les loisirs... On n'a pas les moyens lui répète sans cesse sa mère qui fait ce qu'elle peut. Elle n'a pas de copines, navigue d'un groupe à un autre essayant en vain de faire comme les autres. Alors un jour, en plein cours de français elle craque. La seule personne a lui montrer de l'intérêt et à croire en elle est sa prof de dessin car elle est douée, sensible aux couleurs, aux émotions.
Le temps d'une journée de cours séchée, Sabine va découvrir le pouvoir des mots, le force des émotions, la beauté de Paris, la force des liens tissés avec des inconnus, ses propres ressources. Et si cette journée lui permettait de révéler la vraie Sabine qui sommeille en elle ?
J'ai beaucoup aimé la puissance de ce texte très court. J'ai éprouvé tellement d'empathie pour Sabine et pour sa mère. Marie Sizun nous offre une belle leçon d'optimisme par le biais de cette rencontre entre un jeune couple d'Anglais et de Sabine. Et j'ai envie de croire que ce n'est pas le monde rêvé des bisounours mais bien la manière dont certaines rencontres peuvent nous marquer de manière indélébile.
Un très bon moment de lecture.
Commenter  J’apprécie          50
Un roman sur le passage de l'enfance à l'adolescence. Une histoire servie avec beaucoup de délicatesse mais qui illustre bien différents tourments rencontrés face à un monde d'adultes compliqués.

Je recommande aussi cette lecture pour ce qu'il nous dit de la place de la poésie dans nos vies.

Avec son écriture fluide et simple ce texte rentre aussi bien dans la catégorie "jeune adulte" que "littérature blanche".
Commenter  J’apprécie          30
Sabine en cinquième dans un lycée parisien,n'arrive pas à suivre.Et personne ne peut l'aider:son père est parti,sa mère dont elle a honte,s'échine à faire des ménages.
Elle s'ennuie en classe,ne comprend rien,n'aime que les cours de dessin.
Un rendez vous,demandé à sa mère par son professeur de français ,déclenche en elle une véritable panique.
Elle fait l'école buissonnière,erre dans Paris où va faire une belle rencontre providentielle.
L'histoire de cette petite fille sensible,meurtrie qui retrouve le sourire et l'espoir...quel joli conte
Marie Sizun ,forte de son expérience d'enseignante nous parle avec justesse de l'enfance.
Très joli livre ,bien écrit.
Commenter  J’apprécie          30




Lecteurs (165) Voir plus



Quiz Voir plus

Testez vos connaissances en poésie ! (niveau difficile)

Dans quelle ville Verlaine tira-t-il sur Rimbaud, le blessant légèrement au poignet ?

Paris
Marseille
Bruxelles
Londres

10 questions
1220 lecteurs ont répondu
Thèmes : poésie , poèmes , poètesCréer un quiz sur ce livre

{* *}