Ce n'est pas parce que c'est un roman jeunesse que je dois m'y ennuyer. Or c'est le cas ici, je ne crois pas qu'il soit réellement adapté à la jeunesse, pas à cause du sujet. Il faut aborder le suicide avec les jeunes. Mais j'ai trouvé les idées de l'auteur fort confuses, pas toujours évident d'arriver à comprendre ce qu'il a voulu dire
Même le message moralisateur de la fin est très mal passé à mes yeux.
Heureuse de l'avoir fini et de savoir qu'il va quitter ma bibliothèque, un de moins à déménager
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Parce que j'ai cru que mes parents étaient des super-héros, j'avais pensé qu'ils étaient comme le Passeur de ce conte japonais, et qu'ils allaient me faire traverser la rivière et m'apprendre à vaincre mon chagrin. Mais je voyais bien à présent qu'il fallait aussi que je sois leur Passeur. Et que je les emmène très loin de leur trou noir personnel.
Soudain, j'entendis la voix de Zombie qui disait: "on essaye de comprendre ce qui se passe et parfois, on comprend trop bien et on se rend compte qu'il n'y a plus d'issue".
Moi, je fais partie du vrai monde, et je sais faire la différence entre la réalité et le mensonge.
Mais j'ai appris que le deux pouvaient dire la vérité.