Excellent roman fédérateur et d'une verve inépuisable, il sera idéal pour les gens qui sont en recherche d'authenticité, de véracité.
Les thèmes abordés sont l'amour, l'injustice, les "identités meurtrières".
Dépeignant avec justesse et lucidité les déboires de l'adolescence entre vertus et tares, tradition et modernité, ce livre, loin des simulacres, plaira aux jeunes ainsi qu'aux plus âgés (les misstmourt) empreints de nostalgie
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D'emblée, l'auteur nous annonce la couleur. Un drame est arrivé, mais nous n'en savons pas plus. L'intrigue se tisse habilement, et tout au long de la lecture, le dialogue initial se défile dans notre esprit. On cherche des indices sur la nature du drame, les spéculations se succèdent, on s'attache aux personnages et parfois on se prend à espérer qu'aucun drame ne soit arrivé…
Les notions du bien et du mal sont presque annihilées. Celui qui était haï au tournant de la page précédante se voit vouer une vive admiration, celui qui était encensé redevient lâche à nos yeux.
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Livre marquant qui décrit une société marocaine avec toutes ses facettes, très captivant.
Totale submersion dans la peau des personnages, aussi intrigant les uns que les autres. L'auteur nous embarque dans un récit poignant, voletant d'un Maroc à un autre. Cette dualité (Maroc pauvre vs Maroc riche) est l'essence même de l'oeuvre et se résume parfaitement par cet extrait du texte « C'était comme si ce Maroc était enclavé dans un autre, plus florissant, et auquel il n'aurait jamais accès »
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« Captivant, cru et incisif !
Ce roman raconte le Maroc des quartiers et des bidonvilles. Des toilettes à ras le sol aux altercations entre profs et élèves, en passant par les faiseurs de médisance, ce roman restitue la société marocaine à proprement parler.
Je recommande vivement !»
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Un récit doux-amer. Les passages sur la maman Marocaine et le poids des mentalités m'ont particulièrement marquée.
Le livre est court et l'histoire progresse de manière intense. Je trouve qu'il résume très bien la psychologie et la complexité du Maroc et des relations entre ses gens.
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Il avait le regard vide, comme s'il fut foudroyé par ce compliment reçu à bout portant. Il ne se souvenait plus de la dernière fois où quelqu'un lui avait adressé des paroles aussi lénifiantes, et songea un instant, que sa vie aurait pu prendre une tournure différente.
"Parfois même, le surplus de galère est une aubaine. Il a la particularité d’être rare et dérive plus facilement vers le rire."
C’était comme si ce Maroc était enclavé dans un autre, plus florissant, et auquel il n’aurait jamais accès.