Grazie. Ecco perché senza gli immigrati saremmo perduti

Grazie. Ecco perchè senza gli immigrati saremmo perduti de Riccardo Staglianò

Enquête journalistique sur l'immigration très participative en termes de conditions de vie,
d'exploitation des salaires et des droits syndicaux des travailleurs.
L'auteur fait un reportage de 24 heures et raconte pour chaque heure de la journée une catégorie de travailleurs sur la base de considérations économiques, tels que le risque de déstabilisation sociale auquel il est exposé notre Pays caractérisé par un faible pourcentage de la population active que la moyenne des l'Union européenne et par les lourds investissements sur l'immigration qui est en fait le dernier maillon de la chaîne professionnelle en citant les mots de l'ancien ministre de l'Intérieur Giuseppe Pisanu. L'auteur accuse l'attitude xénophobe en traitant, entre autres, les cas de travailleurs étrangers qui ne déclarent pas un niveau élevé d'éducation, par peur de ne pas obtenir des affectations qui sont rejetés par les Italiens.
D'après les témoignages recueillis ressorte prosaïquement la vie des personnages raconté en style pittoresque quoique difficile à lire.
Lors de la réunion avec les lecteurs ont été proposé trois chapitres particulièrement efficaces: les travailleurs de la volaille, l'emploi le plus atroce, aussi décrite par Tony Horwitz dans le Wall Street Journal en remportant le prix Pulitzer en 1995; l'un sur les soignants, un travail de la plus haute humanité qui les a graciés de la délit d'immigration clandestine en les faisant paraître par des privilégiées et enfin le chapitre sur les stations d'essence, le plus amusant et digne de la meilleure épique romaine.
Il s'agit d'une essai sur un thème d'actualité sociale encore ouverts, dont sont présentés en ton provocateur seulement les aspects positifs, méritent pour la recherche journalistique et pour la dénonce aux opinion publique.
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