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3,77

sur 1326 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Je ne sais plus qui disait que la lecture était une rencontre entre un roman, un lecteur et un auteur … Avec « la porte », j'ai complétement raté le rendez-vous. Pourtant tout semblait bien commencer : j'avais entendu parler de ce roman dans le très beau « Sibir » de Danièle Sallenave et j'avais été ravie de le retrouver sur les étagères de mon libraire préféré, en format poche qui plus est, enserré d'un bordereau reprenant l'éloge de Daniel Pennac

Aussi aujourd'hui ma déception est grande, car il faut bien l'avouer, je ne suis jamais rentrée dans cette histoire. J'ai même, ce qui est extrêmement rare, l'impression d'avoir gâché mon temps. Tout au long du roman, la protagoniste se dépêtre avec sa mauvaise conscience, prétendant être responsable de la mort de sa femme de ménage. Quant à la « victime », je n'ai éprouvé aucune sympathie pour cette femme rustre, brutale, acariâtre et mêle-tout.

Seules les premières pages m'ont semblé valoir la peine. le reste du roman est mou et fade, voire monotone. Mais ce n'est que mon humble avis ...
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Bon j'ai essayé jusqu'à la page 113 mais non, irrémédiablement non. Je n'y suis pas arrivée. Je ne suis pas arrivée à rentrer dans la description du personnage, à aucun moment je n'ai réussir à prendre du plaisir. L'auteur nous décrit le portrait d'Emerence et bien que l'on sente que ce personnage cache quelque chose, qu'il se trame quelque chose, je n'y arrive pas. Que de lenteurs et d'invraisemblances ( notamment avec le chien, relation que je n'ai pas comprise, qui me laisse pantoise)
Je vous laisse donc découvrir ce roman que vous apprécierez peut-être mais moi, j'abandonne ! Je me suis même surprise à souffler en le prenant pour essayer de le lire tellement je me suis ennuyée
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Alléchée par une critique extrêmement élogieuse entendue sur France Inter lors de la dernière émission d'Une bonne tasse d'été, j'ai acheté aussitôt ce roman, où l'éloge était confirmé par le bandeau citant Daniel Pennac ("Quel chef d'oeuvre !"), j'ai inscrit ce roman au programme de mes lectures du mois d'octobre.

Et je me suis prodigieusement ennuyée à la lecture de ces relations entre une écrivain et sa femme de ménage Emerence, cette dernière régentant la vie du quartier et de chacun de ses 'maîtres'.

J'ai tenu jusqu'au bout des très longues 345 pages, espérant un coup de théâtre, une amélioration du rythme ... un miracle !

Mais non !  

Bref ... on ne m'y reprendra pas ! 
Lien : http://les.lectures.de.bill...
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Je me suis lancée, enthousiaste, dans le livre de Magda Szabo : "La Porte". Prix Fémina étranger en 2003, les avis des lecteurs sur internet étaient plutôt bons et l'amie de ma mère qui me l'avais passé ne m'avait jusque là passé que des livres que j'avais beaucoup aimés voire adorés.
Malheureusement, je ne pourrai pas cette fois vous en livrer une critique complète car - et cela ne m'est arrivé que 3 ou 4 fois dans toute ma vie de lectrice, je n'ai pas pu le terminer :-(

J'y ai mis du temps, de l'acharnement, car je sais que c'est le rôle d'un critique de finir le roman pour en livrer un jugement objectif, mais si je n'étais pas passée à autre chose je n'aurai tout simplement plus pris un autre livre à mon avis pour des mois. Pourquoi se torturer ?
Je suis allée jusqu'à la moitié (à coup de 2 pages et je referme le livre pour rêvasser à la fenêtre du train... 2 pages et je vais chercher un album d'Astérix pour me changer les idées. 2 pages et je ne peux pas en lire plus tellement ça m'ennuie...).

Tout ce que je peux vous en dire c'est que ce roman est l'histoire d'une relation d'amitié entre une femme de ménage et sa patronne. Une espèce de froideur, de rigueur se dégage (le côté "pays de l'est" de l'auteur est très marqué. Notamment par l'écriture plutôt abrupte et les personnages plutôt froids).

L'histoire est étrange tout comme la narration. Je n'ai donc pas du tout accroché. Mais comme je vous le disais, ne l'ayant pas terminé, ma critique ne vaut rien.

Promis, la prochaine sera de meilleure qualité !

Me voilà repartie dans un roman palpitant. Ouf !
A bientôt :)
Lien : https://goo.gl/ZNlCzM
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Budapest, deuxième moitié du vingtième siècle.
L'histoire d'une relation entre deux femmes que beaucoup de choses opposent : l'une est écrivain, l'autre est sa femme de ménage, Emerence SZEREDÁS. La première habite un grand appartement. La seconde, une loge de concierge, où elle n'a jamais laissé entrer personne : le nom du roman tire donc son nom de cette porte, que personne n'a pu franchir.
Je n'ai pas pu terminer la lecture de ce roman ; je me suis arrêté à la page 177, très éprouvé par l'énergie que cette lecture m'a demandé, au regard du faible intérêt du récit. Des phrases longues, qui exigent une concentration élevée ; des personnages dont on parle, sans qu'ils aient été présentés correctement ; une succession ininterrompue de faits et de détails insignifiants, qui égarent le lecteur et ne lui permettent pas de prendre prise dans le récit ; une part de fantastique et d'invraisemblance qui déroute (Viola, le chien, qui a des comportements humains), etc. Tout ceci donne au roman un caractère décousu, procure une impression de longueur et explique, une fois n'est pas coutume, que j'ai arrêté ma lecture en cours de route. Aller plus loin dans la lecture était au-delà de ma volonté. A défaut de la lire en entier, j'ai donc pris la porte.
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Cette critique est négative: autant prévenir. Je n'ai pas apprécié cette lecture, mais j'ai au moins la satisfaction personnelle d'être allée jusqu'à la dernière page.

J'ai dû mal à saisir ce qui a justifié les prix attribué à ce livre, mais soit.

Sur le fond: pour moi la personnalité d'Emerence relève plutôt d'un trouble psychiatrique, qui me rappelle un peu trop celui d'une connaissance, et les remous émotionnels qui en ont découlé...

Sur la forme: je ne sais pas si la traduction y est pour quelque chose, mais le style n'est pas agréable à lire.
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Quelle déception. C'est ma première lecture hongroise, je ne m'arrêterai pas sur ce pas de porte, mais terriblement envie de fermer à clé et ne plus en lire. Laborieux. J'ai fait l'effort jusqu'au bout, une amie me l'avait vivement conseillé, un coup de coeur pour elle. Je trouve ce roman lourd, lent, inutile. Les deux femmes sont compliquées, immatures, humaines certes, mais d'esprits torturés. J'adhère à plusieurs critiques négatives, relation malsaine entre les deux; on ne peut pas parler d'amitié ou amour, c'est une relation perverse. Bourreau-victime et c'est encore le bourreau la victime ? Non. Je ressors fatiguée. Emerence m'a épuisée par ses enfantillages tout comme la narratrice. Deux gamines. Zut.
J'ai dû faire le même effort que pour lire "Le Parfum" que je n'ai pas aimé non plus. Lourd, capiteux, fatiguant.
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Aucune empathie pour les personnages décrits ; des invraisemblances avec le chien ; et j'ai abandonné vers la page 80.
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