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Distopiary tome 1 sur 5
EAN : 9782811634476
212 pages
Pika Edition (05/04/2017)
3.11/5   22 notes
Résumé :
Un héros n'est rien sans ses compagnons...
Combattant, mage onirique, cuisinier, pilote, alchimiste, fruitier, mage nasal…
Dans cet univers, les classes sont déterminées dès la naissance. Celle d’exterminateur comporte les plus puissants et les pires héros.
L’heure est venue pour ces exterminateurs de partir en expédition afin de rassembler des “compagnons” qui leur permettront d’abattre le 23e roi du Mal…
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
Voilà un livre qui sait mettre du suspens !

Tout est dans les détails... Il faut être attentif...

L'univers est comme une sorte de grand jeu RPG ou la technologie et la magie cohabitent. Ainsi, les guerriers cotoyent des mages, de la même façon que les armes à feu rivalisent avec les haches de combat télescopiques, des champignons explosifs, du mucus magique, des écrans holographiques et des forêts remplies de monstres comme des lézards bleus ou des gluants !
La notion de Rôle Playing Game ou jeu de rôle est patente avec les niveaux indiqués des protagonistes et ceux des monstres ou encore les capacités spéciales recensées par personnage. Mais le plus évident se trouve dans la présentation des personnages sous forme de graphe en toile d'araignée de leur caractéristiques comme la force, l'intelligence, la vitalité, le charisme, la dextérité, la force mentale, l'agilité et un facteur inconnu.
Tolza, le héros nous est présenté comme faisant partie de la caste des exterminateurs devant rallier un grand nombre d'acolytes afin d'éradiquer les forces du mal qui doivent se réincarner sous peu puisque cela fait déjà 4 ans que le précédent Roi du Mal s'est fait occire.
Le discours promulgué par une sorte de militaire en tenue ostensible de dictateur d'opérette est suivi d'un leitmotiv qui prend tout son sens en fin d'ouvrage.
Tolza engage donc des compagnons mais les perd à chaque combat quelque soit les dons dont chaque combattant dispose. Finalement, le 23ème Roi du Mal s'incarne sur la strate 3 où notre héros sévit.

L'univers nous est présenté en fin de tome comme une fleur dont la tige comporte 7 niveaux pyramidaux appelés des strates.
Les personnages et des explications apparaissent en fin d'ouvrage afin de nous permettre d'appréhender l'univers abscons dans lequel évolue ce manga. Bon... Bien sûr, c'est une distopie... Alors... Abscons, c'est le minimum... surtout au début !

J'ai apprécié les références comme les lys de sang qui naissent sur chaque cadavre comme dans le manga "The promised Neverland", ou la phrase du coordinateur "Que le sort des armes vous soit favorable" à la manière de "Hunger games" ou encore l'ambiance D&D ( Donjons and Dragons) que l'on retrouve dans le manga "Goblin slayer".

Sans en dire trop, j'ajouterai juste que la façon dont est présenté le récit créé le besoin de connaître la suite puisque les factions sont en place, les faiblesses (malédiction !) du héros sont connues mais il reste à découvrir les règles qui régissent ce monde ainsi que leurs dirigeants et leurs motivations.

Hypothèse : Et si tout n'était qu'un jeu ?

Cela nous laisse 4 tomes pour le savoir.
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Série terminée en 5 tomes, Il s'agit d'une dystopie totale. Gore à souhait, je vous conseille de ne vous attacher à aucun personnage !

ᴛᴏʟᴢᴀ ᴇsᴛ ᴜɴ ᴇxᴛᴇʀᴍɪɴᴀᴛᴇᴜʀ ᴀᴠᴇᴄ ᴜɴ ʟᴏᴜʀᴅ ғᴀʀᴅᴇᴀᴜ à ᴘᴏʀᴛᴇʀ : ɪʟ ᴇsᴛ ᴠᴏᴜé à ᴠᴏɪʀ ᴛᴏᴜs sᴇs ᴄᴏᴍᴘᴀɢɴᴏɴs ᴍᴏᴜʀɪʀ ᴅᴇ sᴀ ᴍᴀɪɴ ᴀғɪɴ ᴅᴇ ᴘᴏᴜᴠᴏɪʀ ᴀʙᴀᴛᴛʀᴇ sᴇs ᴇɴɴᴇᴍɪs. ᴘᴏᴜʀ ʟᴇ ᴄᴏᴜᴘ, ʟᴇ sᴄéɴᴀʀɪsᴛᴇ ᴀ ᴘʀɪs ᴀᴜ ᴘɪᴇᴅ ᴅᴇ ʟᴀ ʟᴇᴛᴛʀᴇ ʟ'ᴇxᴘʀᴇssɪᴏɴ “ᴜɴ ʜéʀᴏs ɴ'ᴇsᴛ ʀɪᴇɴ sᴀɴs sᴇs ᴄᴏᴍᴘᴀɢɴᴏɴs”
ᴘᴇʀᴘéᴛᴜᴇʟʟᴇᴍᴇɴᴛ ʙʟᴏǫᴜé ᴀᴜ ɴɪᴠᴇᴀᴜ 𝟷, ɪʟ s'ᴇsᴛ ᴘᴏᴜʀᴛᴀɴᴛ ʀésɪɢɴé à sᴏɴ ᴅᴇsᴛɪɴ ᴇᴛ ᴇsᴛ ᴅéᴛᴇʀᴍɪɴé à ʀᴇᴍᴘʟɪʀ sᴏɴ ʀôʟᴇ ᴅ'ᴇxᴛᴇʀᴍɪɴᴀᴛᴇᴜʀ ᴅᴇ ʀᴏɪ ᴅᴜ ᴍᴀʟ ᴊᴜsǫᴜ'ᴀᴜ ʙᴏᴜᴛ.

" 𝑉𝑜𝑢𝑠 ê𝑡𝑒𝑠 à 𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑖𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑠 ℎé𝑟𝑜𝑠 !"

ʟᴇ ᴍᴀɴɢᴀ ᴇsᴛ ᴀʀᴛɪᴄᴜʟé à ʟᴀ ᴍᴀɴɪèʀᴇ ᴅ'ᴜɴ ᴊᴇᴜ ᴠɪᴅéᴏ, ᴀᴠᴇᴄ ᴅᴇs ᴍᴏɴsᴛʀᴇs ᴅᴇ ᴄᴇʀᴛᴀɪɴs ɴɪᴠᴇᴀᴜx ᴇᴛ ᴅᴇs ʜéʀᴏs ʟᴇs ᴄᴏᴍʙᴀᴛᴛᴀɴᴛ. ᴛᴏᴜs ʟᴇs 𝟺 ᴀɴs, ᴜɴ ʀᴏɪ ᴅᴜ ᴍᴀʟ éᴄʟᴏs. ᴛᴇʀᴍᴇ ᴠᴀsᴛᴇ ᴄᴀʀ ɪʟ ᴘᴇᴜᴛ s'ᴀɢɪʀ ᴅᴇ ᴛᴏᴜᴛ ᴇᴛ ɴ'ɪᴍᴘᴏʀᴛᴇ ǫᴜᴏɪ (ᴏʙᴊᴇᴛ, ᴄʀéᴀᴛᴜʀᴇ, ʟɪᴇᴜ, ᴄᴏɴᴄᴇᴘᴛ) ᴇᴛ sèᴍᴇ ʟᴀ ᴅᴇsᴛʀᴜᴄᴛɪᴏɴ. À ᴄʜᴀǫᴜᴇ ғᴏɪs, ᴅᴏɴᴄ, ʟᴇs ʜᴀʙɪᴛᴀɴᴛs ᴅᴇs sᴛʀᴀᴛᴇs ғᴏɴᴛ ᴅᴇ ʟᴇᴜʀ ᴍɪᴇᴜx ᴘᴏᴜʀ sᴇ ʙᴀᴛᴛʀᴇ ᴇᴛ ʟ'ᴇxᴛᴇʀᴍɪɴᴇʀ. ᴄᴇᴛᴛᴇ ᴅʏsᴛᴏᴘɪᴇ ɴᴏᴜs ᴇɴᴛʀᴀîɴᴇ ᴅᴏɴᴄ ᴅᴀɴs ᴜɴ ᴍᴏɴᴅᴇ ᴇɴɢᴏɴᴄé ᴅᴀɴs ᴜɴ ᴄᴇʀᴄʟᴇ ᴠɪᴄɪᴇᴜx, ǫᴜɪ sᴇᴍʙʟᴇ s'éǫᴜɪʟɪʙʀᴇʀ ɢʀâᴄᴇ ᴀᴜx ᴍᴏʀᴛs ᴄᴀᴜséᴇs ᴘᴀʀ ᴄᴇs éᴄʟᴏsɪᴏɴs. ᴄᴇᴛᴛᴇ ғᴏɪs-ᴄɪ, ʟᴇ ʀᴏɪ ᴅᴜ ᴍᴀʟ s'ɪɴᴄᴀʀɴᴇ ᴅᴀɴs ᴜɴ ᴄɪʀǫᴜᴇ.

ᴀ ᴄʜᴀǫᴜᴇ ᴍᴏʀᴛ, ᴜɴᴇ ғʟᴇᴜʀ éᴄʟᴏᴛ sᴜʀ ʟᴇs ᴄᴏʀᴘs : ʙʟᴀɴᴄʜᴇ ǫᴜᴀɴᴅ ʟᴀ ᴍᴏʀᴛ ᴀ éᴛé ᴘᴀɪsɪʙʟᴇ, ʀᴏᴜɢᴇ ǫᴜᴀɴᴅ ʟᴀ ᴍᴏʀᴛ ᴀ éᴛé ᴠɪᴏʟᴇɴᴛᴇ. ᴊ'ᴀɪ ᴛʀᴏᴜᴠé ᴄᴇʟᴀ ᴘᴏéᴛɪǫᴜᴇ, éᴛᴀɴᴛ ᴅᴏɴɴé ǫᴜ'ᴇʟʟᴇ éᴄʟᴏᴛ ᴀᴜ ᴍɪʟɪᴇᴜ ᴅᴇs ᴠɪsᴄèʀᴇs ʟᴇ ᴘʟᴜs sᴏᴜᴠᴇɴᴛ x)

Riche en rebondissements surprenants dès le départ, j'ai trouvé la fin un peu précipitée et bâclée, bien que j'ai bien aimé le développement de l'histoire et surtout les personnages. Chacun d'entre eux a un design travaillé et pensé en raccord avec sa caste, avec des gothic lolita à tous les coins de rue, et des vêtements magnifiques.
Beaucoup d'entre eux dégagent une certaine mélancolie, forcés de se conformer aux spécificités de leurs castes, comme les observateurs, qui sont condamnés à observer les combats sans pouvoir former de pacte avec l'exterminateur.


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Depuis une vingtaine d'année certains mangas s'inspirent, à différents niveaux, d'un nouveau média et son langage narratif : le jeu vidéo. Il n'est pas question seulement d'adaptation d'un média à l'autre, ce phénomène existe depuis les années 90, conjointement avec l'émergence des jeux-vidéos comme loisir de masse. Désormais, il s'agit d'essayer d'utiliser de nouvelles façons d'exposer une histoire en s'inspirant de la mécanique essentielle des jeux : réussir un objectif selon les règles et les systèmes imposés. Bien évidemment, l'aspect jeu vidéo est souvent superficiel, le but est d'être complaisant avec un lectorat juvénile en le caressant dans le sens du poil avec des références familières et confortables. Cependant, plutôt que de faciliter l'exposition de schémas narratifs déjà reconnus par leur utilisation systématique depuis des dizaines d'années, des oeuvres comme Distopiary utilisent la construction vidéoludique pour délivrer un propos différent.

Première force, l'histoire de Distopiary se développe et se finalise en cinq volumes. Ceci grâce à la caractérisation vidéoludique accélérée de l'univers avec ses systèmes de régions distinctes, de classes de personnages et de menaces revenant de manière cyclique. Avec ce contexte bien posé, le scénario va pouvoir se diriger au delà et à côté du déroulement d'une quête épique et héroïque de longue haleine. En effet, dès les premiers chapitres, les comportements des personnages vont bousculer pas mal de conceptions sur la figure du héros charismatique. Et les puissances en présence vont se révéler être des machines à détourner certaines conventions en suivant une logique globale à la fois déprimante et confortable. le cloisonnement semble diriger le monde dépeint par Distopiary et l'attitude de personnages plus ou moins enfermés dans des rôles préétablis va être le coeur du récit. Pour autant, l'histoire ne s'enferme pas dans le pessimisme et le cynisme verbeux pour dénoncer le déterminisme social. Tout semble a priori se dérouler comme un manga d'aventure et d'action avec ses moments de gloire et de tragédie. Cette ambigüité est aussi entretenue par le dessin. Ce dernier, dans les standards des oeuvres jeunesse, va mêler les inserts de jeux-vidéos à une direction artistique de science-fantasy Japonaise plus classique. Comme par exemple l'alternance étrange entre morts sanglantes pour les humains et disparition pixélisée digne d'un J-RPG (Japanese Role Playing Game) pour les monstruosités. Alternant ainsi le chaud et le froid, le scénario amène son lectorat à s'interroger, voire s'inquiéter, à propos du destin des personnages. Peuvent-ils, ou veulent-ils, vraiment aller au-delà de l'administration des puissances supérieures ? Quel niveau d'hypocrisie acceptent-ils pour exister et s'accepter humainement ? Et d'ailleurs, le lecteur, quel niveau d'hypocrisie s'accorde-t-il lorsqu'il s'agit d'accepter, de dénoncer ou de refuser les « clichés » des fictions en équilibrant prétention culturelle et plaisir personnel de lecture ?

Pour autant, Distopiary ne semble pas asséner un message ou proposer une révolution narrative. Même si, une fois n'est pas coutume, les références aux jeux vidéo ne sont pas justes cosmétiques. Qui plus est, le cynisme et la mortalité ne sont pas simplement employés comme une maturité de façade. Ce manga met en place son univers et le respecte jusqu'au bout pour faire agir et réfléchir ses protagonistes, ce qui est une expérience réussite en soi dans le domaine de l'imaginaire et de la fantasy.
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Dans un univers étrange où chaque personne appartient à une caste, un « exterminateur » rassemble des compagnons en vue d'éliminer le 23e roi du mal. Il est distant et mystérieux ; on sait seulement que les exterminateurs sont les plus puissants et les pires héros.
Je ne suis pas une grande connaisseuse au sujet des mangas mais celui-ci m'a bien surprise. le premier passage est étonnant et donne tout de suite le ton du livre. Ici il ne faut pas trop s'attacher aux personnages !!! le coté jeu vidéo avec les présentations des personnages et leurs points de vie lors des combats est original et la découverte du pouvoir secret du personnage principal oblige à un retour en arrière qui éclaire tout. J'ai passé un bon moment avec ce manga et je suis intriguée par la suite....
A lire si vous aimez être surpris !!
Merci à Babelio et à Pika editions pour cette étonnante et intéressante lecture.
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Tout d'abord, merci à Pika et Babelio pour ce manga découvert à l'occasion de la dernière masse critique.

J'avais juste lu le résumé et j'ai été très surprise. Je m'attendais à quelque chose de beaucoup plus léger.

C'st l'histoire de Tolza, qui vit dans un monde très différent du nôtre. Tous les quatre ans, un roi du Mal voit le jour et doit être abattu par des exterminateurs et ses compagnons. Personne ne sait en quoi consiste le pourvoir de Tolza et des autres exterminateurs. On va donc le découvrir au cours de l'histoire.

L'histoire débute directement, nous découvrons l'univers au cours des événements, dès le début il y a de l'action. J'ai apprécié dans ce récit que l'on joue sur le cliché des héros deviennent plus fort d'un coup, car ses amis sont en danger, ou en difficulté.

Nous en savons très peu sur Tolza à la fin du tome. Nous avons découvert son pouvoir et que sa mission lui pèse (bien que ,selon moi, ce ne soit pas suffisamment montré). C'est un personnage qui reste encore très flou. Les personnages secondaires sont bien moins présents et pourtant, je les trouve tout autant développés, peut-être même plus pour certains.

J'ai trouvé les dessins bon, bien qu'assez classiques. Cependant, j'ai été étonnée par ce côté très RPG et visuel avec les présentations des personnages avec leur nom, leur classe et leur niveau qui apparaît aussi lors des combats. J'ai eu plus de mal avec les dessins des combats parfois, il m'arrivait d'avoir du mal à comprendre ce qu'il se passait, car trop d'éléments visuels ou des plans trop serrés.

Une histoire intéressante et sombre, pour laquelle j'ai envie de connaître la suite.
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
(Tolza attablé dans une taverne se retrouve allongé au sol après l'explosion d'un champignon lancé par une jeune fille désireuse d'intégrer ses troupes mais ayant essuyé son refus. Tagyu, le tireur d'élite, intervient et blesse très légèrement la jeune fille)

- Ben alors... T'as encore des emmerdes avec une Nana? Tu lui as fait quoi cette fois-ci ?
- Mais rien du tout, je suis qu'une pauvre victime...

p24
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Tolza: J'y pense... je n'avais pas encore répondu à ta question concernant mes critères de sélection. D'abord, j'embauche des faibles, de la chair à canon pour appâter l'ennemi. Ensuite, j'engage ceux qui ont un certain potentiel pour me reposer sur eux. Et enfin, j'évite d'enrôler ceux qui me semblent difficiles à manipuler. Ce monstre est de niveau 50. Il me manque donc encore au moins 20 niveaux pour l'abattre à coup sûr.
Ashe: Non... n'approche pas!
Tolza: Nous, les exterminateurs, nous sommes les "héros" et vous, vous n'êtes que des "figurants".
Ashe: C'est donc comme ça que tu deviens plus fort? En trompant tes compagnons qui ne te servent que de gibier? Pour te hisser jusqu'ici, tu as traité comme des déchets tous ceux qui t'ont suivi par admiration ou attachement, c'est ça?
Tolza: Exact. Et il en sera de même à l'avenir. J'utiliserai mon pouvoir pour battre mes ennemis. Un exterminateur n'a besoin ni d'amitié ni d'effort. La seule chose qui compte, c'est la victoire.
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Que le sort des armes vous soit favorable... Car vous êtes à la fois les plus puissants et les pires des héros !

p11
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"Voilà l'habilité spéciale d'un exterminateur. Il a le pouvoir d'additionner le niveau de ses compagnons au sien!"
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