En voiture, Simone !

Jacques et Martine, ensemble depuis 40 ans, reçoivent chez eux pour les fêtes de fin d'années leurs trois fils ainsi que leurs belles-filles et leurs deux petits-enfants. Antoinette, la grand-mère est aussi de la partie.
Mais avant même qu'ils franchissent la porte d'entrée, l'ambiance est déjà électrique. L'une de leur belle-fille est végétarienne. Martine n'a rien prévu pour elle, alors elle fouille dans ses placards à la recherche d'une malheureuse boîte de conserve, car le plat principal c'est du gibier...
Bref, vous l'aurez compris, les gros mots et vacheries fusent. Et lorsque tout le monde repart chez soi, chacun est content de retrouver le calme.
Mais, Martine n'en peut plus de ce climat, il faut que ça change, elle prévient son mari qu'il va devoir faire des efforts. Oui, mais est-ce si facile de mettre de l'eau dans son vin ?

Une lecture mitigée, dans la première partie du roman j'ai eu quelques difficultés à adhérer à l'histoire. J'ai trouvé un peu too much les scènes d'engueulades entre la famille. J'ai eu plus l'impression de lire un scénario pour un téléfilm. Mais bon, j'ai continué à lire jusqu'à la fin. Alors ce ne sera sans doute pas mon coup de coeur de l'année, mais j'ai quand même passé un agréable moment en compagnie de cette famille bretonne.

En voiture, Simone ! Aurélie Valognes nous embarque dans une folle comédie familiale, aux côtés de la famille le Guennec, plus déjantée que jamais. Au menu : Martine, la maman active, mariée depuis plus de quarante ans avec Jacques, un mari devenu pantouflard et ennuyant. Ensemble, ils ont eu trois garçons : Mathieu, Nicolas et Alexandre, chacun ayant ramené une belle-fille à la maison familiale. Mais les belles-filles s'avèrent délicieusement insupportables pour les beaux-parents… à moins que ce ne soit l'inverse ? le cas est que la tempête fait rage lors des réunions de famille des le Guennec, chacun y allant de ses commentaires et remarques, souvent malavisées.

J'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir cette comédie familiale. C'est un texte léger, sans prise de tête, avec des scènes très courtes, qui se lisent très facilement, en quelques heures à peine. Les scènes d'humour sont omniprésentes, parfois atrocement réalistes, souvent caricaturées, mais horripilantes. Ce n'est certes pas de la grande littérature, le tout manque cruellement de matière et de fond consistant, mais on prend plaisir à découvrir puis suivre ces personnages haut en couleurs dans leur vie quotidienne mouvementée.

La famille le Guennec au grand complet, comme la plupart des familles dans le monde, se retrouve tous ensemble essentiellement lors des vacances scolaires, ou pour des événements particuliers – anniversaire, Noël. Forcément, les crises familiales sont de la partie, tout comme les situations cocasses, drôles, mais souvent réalistes. Certains devraient pouvoir facilement s'identifier à certains personnages, ou reconnaître, parmi les héros de ce livre, les traits – largement grossis – de personnes de leur entourage qui leur sont familières.

En revanche, petit bémol pour le titre du livre, assez incongru, puisque je n'ai pas tellement trouvé de cohérence avec le récit : En voiture, Simone ! me faisait davantage penser à une épopée familiale, un genre de road-trip, de voyage burlesque, un peu décalé. En revanche, le titre initial, Nos belles-filles adorées, colle parfaitement avec le texte. Je me demande quel a été le motif de changement. Sans doute l'ancien titre était-il trop commun, alors que le nouveau est plus dynamique, voire plus vendeur.

Une comédie familiale hilarante, qui donne une histoire légère, sans prise de tête, qui se lit rapidement.
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Il y a quelques jours j'ai partagé un avis quelque peu « nuancé » sur un roman « feel good ».
Curieuse, j'ai voulu retenter l'expérience, avec une autre autrice… pas pour moi non plus, je le crains.

Pas évident d'écrire à contre-courant des commentaires élogieux voire dithyrambiques suscités par ce roman, et de l'engouement autour de cette autrice.

Il se trouve que je lis vite (et beaucoup !), mais j'ai souvent envie de savourer, de me délecter de chaque phrase, de chaque choix de mot, et de me laisser submerger par les émotions suscitées par une plume, une situation, une ambiance.
Pas là.
J'ai lu les dernier chapitres « en diagonale », hâte de passer à autre chose.

J'aime les lectures drôles, les situations loufoques, l'humour décapant. Comme au cinéma, il me semble que l'humour en littérature est assez difficile à manier. En commençant ce roman je m'attendais (au minimum) à sourire… et : non ! La magie n'a pas opéré, et c'est un euphémisme. Tout m'a agacée, jusqu'aux titres des chapitres, empruntés à des expressions populaires.
Un roman vite lu, encore plus vite oublié.

J'espère que vous n'y verrez aucune acrimonie, mais je reste stupéfaite par l'engouement provoqué par certains titres ou autour de certain(e)s auteur(e)s, alors que certaines pépites restent absolument confidentielles.

un livre qui met de bonne humeur !
L'histoire d'une famille déjantée tout d'abord la grand-mère (non on ne joue pas aux 7 familles puisqu'il n'y en a qu'une) Antoinette, qui, malgré son grand âge est la personne la plus équilibrée de la famille. Vient ensuite son fils, Jacques, égocentrique maladroit, marié depuis 40 ans à Martine qui a maintenant du mal à supporter Jacques et le lui fait remarquer. Ce couple a 3 fils Mathieu époux de Stéphanie, Alexandre et sa compagne Laure puis Nicolas et sa nouvelle compagne Jeanne.
Ils se réunissent tous à Noël, Pâques et passent une partie des grandes vacances ensemble. Bien sûr Jacques, brut de décoffrage, multiplie les bourdes vis à vis de ses belles filles qui ont du mal à le supporter jusqu'au jour où ..........
Elle m'a encore fait passer un bon moment Aurélie Valognes, c'est vivant, marrant, un peu réaliste (je suis sûre que certains peuvent se reconnaître dans un des personnages). En tous cas si vous avez un coup de blues, si vous avez une petite envie de vous divertir facilement alors n'hésitez pas, lisez-le.

Alors que j'avais adoré Au petit bonheur, la chance, je suis restée plus de marbre devant ce roman d'Aurélie Valognes En voiture, Simone !
L'écriture d'Aurélie Valognes est vraiment très agréable, ses personnages tous aussi plaisants les uns que les autres, même si quelques claques se perdent de temps en temps, mais il m'a manqué le petit quelque chose qui fait que j'aurais davantage adhéré à cette lecture. J'ai trouvé l'histoire trop banale et trop quelconque, ce qui a créé une petite lassitude de ma part.
J'aurais aimé des événements un peu plus palpitants, j'ai presque eu le sentiment de connaître déjà l'histoire tant les scènes étaient prévisibles, mais Ne restons pas fâchés (Aurélie Valognes adore ces petites phrases du quotidien qui titrent chacun de ses chapitres) et comptant ouvrir très rapidement Mémé dans les orties, j'espère être un peu plus séduite par ma lecture et sinon Cerise sur le gâteau, il me restera son dernier roman à lire qui est déjà dans ma PAL.

Une plongée au coeur d'une famille bretonne un peu particulière : un père dans le rôle du dictateur de la famille, un mère en pleine crise d'adolescence, 3 frères, le rêveur, le macho et l'ado et pour finir 3 belles-filles, la stressée, la vegan et la nouvelle !
Et toute cette joyeux bande se retrouve pour quelques jours et quelques diners ! tout cela sur fond de désaccords familiaux, de vieilles rancoeurs et de rengaines encore plus obsolètes !

En lisant la quatrième de couverture, je m'étais dit : "Chouette, un roman sur une famille lambda ! Ca peut être désopilant !"
Je n'ai pas ri... J'ai trouvé cette famille infecte, les traits ont voulu être grossi, mais l'effet ne marche pas car c'est trop !
Tout est trop ! le père est trop insupportable, les belle-filles trop cruches, les fils trop tout !

Autant j'ai beaucoup aimé Mémé dans les orties, autant celui-ci ne restera pas dans ma mémoire très longtemps...

Ayant déjà lue « Au petit bonheur la chance » que j'ai appréciée, je me lance donc avec ce deuxième roman d'Aurélie Valognes .
Jacques et Martine se préparent afin de recevoir leurs enfants et leurs belles-filles afin de festoyer en famille pour le réveillon de Noël. On ressent une certaine tension pour ces retrouvailles car il faut dire que Jacques est de nature grincheux et assez tyrannique ce qui laisse à désirer pour cette soirée laissant sa femme Martine esseulée et dans une panique grandissante pour leur arrivée…
C'est dans une atmosphère angoissante qu'ils se retrouvent et l'on perçoit l'hostilité de l'une, la colère de l'autre et ainsi de suite sans compter aucun ménagement de Jacques pour détendre l'ambiance en ce jour de fête. Bien au contraire, il balance le tout pour le tout d'une traite blessant ces belles filles et peinant profondément ces enfants et sa femme qui ne compte pas mais alors pas du tout laisser perdurer tout ce remue méninge-ménage venant de son mari qu'elle aime pourtant profondément. On a affaire dans cette histoire à un éclaboussement de vérités dans certains passages parfois amusants ce qu'un engagement familial comporte, disons que certaines règles sont parfois compromettantes celle de devoir endosser couramment sa belle-mère mais là non Aurélie Valognes a choisi le beau-père…
Une histoire simple avec une diversité de personnages contrastés qui se lit d'une traite et vous fera passer un moment plaisant.

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Alors par où commencer , sans blesser personne vu le nombre de critique positive qu'à suscité ce livre ! Donc je m'excuse par avance pour la suite 😉. Mais comme on dit " les goûts et les couleurs ..."
Pour moi , ce livre m'a donnée l'impression de lire un conte pour enfants version adultes bien-sûr !
Je m'explique
1) aucune profondeur que ce soit avec les personnages , leurs vies , leurs sentiments ... C'est du vite fait ! Mal fait !
2) pfff , des phrases mais d'une simplicitée et whaouuu très courte ( presque un sujet , un verbe , un p'tit complément , et le tour est joué ! )
Sinon
Alors on commence avec le sujet principal du livre ! un père impossible , égocentrique , voir même invivable ! Un manque certains de savoir vivre , de respect ... On est d'accord , mais pour vous montrez l'incohérence de ce livre ! par la suite, Jacques se remet très vite en question suite aux menaces faites par sa femme ! Il est même je trouve très attentionné , et je peut même vs dire que si ya une personne à qui j'aurai pu m'attacher ben ce serait lui !
Mais non , personne remarque !
Ah ben si ! Pardon suis-je bête ! Tout le monde fini par l'adorer , l'aimer , bien evidement le jour où il a faillit mourrir ! Sacrée happy end !
Mais d'ailleurs , arrive le plus gros de l'histoire 😕 c'est pas nous prendre pour des imbéciles ! Franchement , mais comment on peut continuer à s'intéresser à cette histoire quand on nous dis qu'on s'étouffe et se retrouve sous respirateur + 5 jrs d'hospitalisations ! Pour une feuille de Roquette !! Svp ! un verre d'eau aurait fait l'affaire entre nous !

Sinon , désolée encore mais à quel moment ce livre est drôle !!! ? Moi il en est même arrivé à m'énerver , m'agacer ... Pour ttes les raisons citées au dessus !
Mais surtout ! c'est cette famille ! Car attention ! L'auteur veut nous faire penser qu'il ya que le père d'ecxécrable !
Mais ohhh que nonnnn !
C'est toute cette famille qui a un sérieux problème de savoir vivre ! D'une impolitesse .., ça fait hirisser le poil !

Du coup comme vous l'imaginez , pour moi cette lecture fût longue et très ennuyeuse ! Mais bien heureuse d'avoir fermer la dernière page !

Probablement un des plus mauvais livres que j'ai lus. Enfin, pas vraiment lu puisque j'ai craqué assez rapidement. Je l'ai acheté avant un voyage en train sur la foi de son succès en me disant qu'un auteur aussi populaire ne pouvait pas être mauvais... Eh bien, j'étais loin du compte !

L'écriture est un peu celle d'un enfant qui s'appliquerait, elle n'a aucun intérêt. Il n'y a aucun style, aucune littérature, aucune image intéressante, aucune invention, rien, juste un mot, un verbe, un complément, tout cela bien expliqué, avec des mots simples, comme si on s'adressait à des gens très vieux, ou très fatigués, ou un peu débiles.

Tout sonne faux : les dialogues, les situations. Il n'y a aucune vérité dans aucun des deux. L'action décrit des petits actes du quotidien : la nourriture, les cadeaux, des gens qui se fritent gentiment, rien de plus. Les dialogues sonnent faux de bout en bout, un peu comme dans une mauvaise pièce de boulevard où les acteurs articuleraient trop.

Ce n'est pas drôle du tout. Exemples "d'humour" : une des belle-soeur est végétarienne et ne mange que bio, on la surnomme donc Jose Bové. C'est désopilant.
Ou encore : "Des asperges en boîte pour le réveillon ? Tu n'as pas du Canigou, pendant que tu y es ?". Tordant.

Absence totale de réflexion sociale et, pire, de psychologie. ce n'est pas du tout fouillé, travaillé. Il n'y a pas la moindre ambition dans ce domaine (comme dans les autres). Les personnages sont des espèces de stéréotypes sans personnalité (Ah, si, pardon, Jacques est grognon). Je suis incapable de vous dire à quoi ils ressemblent, physiquement, psychologiquement. C'est un peu embêtant pour une comédie de caractères.

En fait ce livre m'a donné envie de pleurer. J'ai arrêté rapidement pour me replonger dans mon magazine de décoration en me demandant ce que j'allais faire de ce livre neuf (heureusement de poche).

Ressortir d'une lecture qui met de bonne humeur, c'est le souhait de beaucoup d'entre nous. Et pour faire simple, ce livre : Nos adorables Belles-filles est le livre à lire pour retrouver un sourire perdu, se requinquer après les mauvais jours, dans le métro ... mais, une chose est sûre, ce roman va vous faire du bien. Je l'espère en tout cas.

On découvre ici, une famille pas si différente que ça des familles habituelles que l'on peut croiser au fil du temps, dont la nôtre. Du coup, on peut facilement s'identifier aux personnages du roman. Et, d'ailleurs, on retrouve toujours un rebelle, un égocentrique, un jaloux, un râleur, un réservé, un taquin etc... au sein de toutes ces familles. Je suis même la prem's. Et pire encore, certains sont tout à la fois. C'est dingue, n'est-ce pas ?!
Alors quand Martine, sexagénaire, se prépare à vive allure, dans les préparatifs, pour recevoir ses trois fils accompagnés de leurs femmes dont une nouvelle qui débarque pour la première fois, c'est un peu avec la peur au ventre, qu'elle s’exécute dans son travail. Tout doit être parfait. Ne surtout pas décevoir ses belles-filles. Mais avec un Mari comme Jacques, qui, ne cesse d'accumuler les plus grosses bourdes et à chaque repas de famille, svp ; cela ne va pas être évident pour Martine. Vaut mieux le mettre en garde rapidement. Zéro boulette. En clair, Jacques, Tiens toi à carreaux et ne fais surtout pas de gaffe.
Mais pour en faire, il va en faire et c'est là, tout le charme, l'humour de cette histoire.
Qu'est-ce qu'on rigole avec ce monsieur.

Jacques, c'est le papa voire le grand-père gaffeur. Parfois, c'est même trop. On va dire qu'il ne réfléchit pas trop avant de parler, donc, peut vite vexer l'autre.
Par exemple : il confond le nom de la nouvelle venue avec celle de l'ex. Imaginez la tête de la fille.
Jacques est pour ainsi dire, mon gros coup de coeur dans ce roman même si les autres n'en sont pas loin aussi. Il balance des piques, il casse ses belles-filles. (vraiment trop marrant) Même les petits-enfants sont dans sa ligne de mire. Quant à sa femme, ben, elle en a tout simplement marre. Tellement marre de ses vannes, de ses catastrophes, des ses oublis que le ras-le-bol en quarante ans de vie à ses côtés se fait sentir et encore, même là, c'est limite. Je vous assure que le mot est faible.
Cette partie là est intéressante mais j'avoue avoir eu un peu de pitié pour lui, le fait d'être mis de côté.

Quoi qu'il en soit, cette histoire est tellement drôle, attendrissante, rafraîchissante, et délicieusement belle que je vous recommande sans hésitation. La plume de l'auteure que je découvre pour la première fois est totalement addictive et fluide. Elle emporte le lecteur jusqu'à la dernière page sans problème.

Pour ma part, je vais de ce pas, me procurer son premier roman : Mémé dans les orties.