Mémé dans les orties

Voici le deuxième livre d'Aurélie Valognes que je lis, et si "en voiture, Simone" n'avait pas été un coup de coeur pour moi, "mémé dans les orties" a été une lecture que j'ai beaucoup apprécié… Ce vieil homme plein de rancoeur, aigri, qui change et découvre l'amitié et l'amour de façon très touchante et à la fois plein d'humour… Bref, vous aurez compris que je le recommande chaudement…!!!

Je ressors mitigé de cette lecture. L'idée est bonne, les descriptions de l'auteur sont génialissimes, tout repose sur les détails qui rendent ces personnages attachants. Mais cette histoire laisse, chez moi, un goût d'inachevé. A la fin du livre, je me suis demandé si il ne me manquait pas des pages, tellement je trouvais cette fin trop ouverte.

Cependant, Aurélie Valognes a réussi à me faire sourire et à me faire serrer la gorge dans le même livre et déjà ça c'est pas mal !
Lien : http://leslivresdenoemie.blo..

Ah, le vieux grincheux d'en face, la concierge qui surveille tout et qui n'économise pas sa médisance, les nouveaux venus, que personne n'aime, évidemment. Bienvenue en résidence.
Tous les coups bas sont permis, surtout si le petit et fameux grincheux, Ferdinand, est un potentiel serial killer, du moins, ce que aiment en penser ses voisines ennemies.
Le tableau peut paraître simplissime et stéréotypé. Et pourtant, avouez que le voisinage, quelque soit sa génération, peut se peindre de la sorte.
Quand on jacte sur les autres, c'est que votre vie commence à devenir moins intéressante, non ?
Critiquer, c'est juger. Souvent sur ce qu'on n'a pas réussi nous-même à réaliser.
ll semblerait que la nouvelle petite voisine, Juliette, bien en avance sur son âge, l'ait bien compris et veuille l'enseigner à sa manière.
Aurélie Valognes a l'humour pinçant et affectueux.
Mémé dans les orties nous rappelle que l'amour et le respect transgénérationnels sont possibles, suffit de ravaler sa fierté.
Qu'il n'est jamais trop tard pour se rattraper du temps perdu, et en faire un nouveau, tout neuf.
Qu'il n'y a pas d'âge pour aimer.
Merci Aurélie Valognes.

Je ne connaissais pas Aurélie Valognes avant de lire ce livre. L'auteur a un style simple mais moderne.
Le titre "Mémé dans les orties" m'a forcément rappelé un dicton populaire. Ce titre, combiné à la couverture à petits carreaux, est une promesse de vintage.
J'ai aimé retrouvé à chaque chapitre un dicton à l'image du titre. C'est que le personnage principal- Ferdinand Brun- a ses idées! Il tient à sa routine et croit qu'il ne va plus changer à son âge. Cela est sans compter sur la vie, qui est toujours pleine de surprises. Ses prises de tête avec Mme Suarez, la concierge; puis sa rencontre avec Juliette, Madeleine puis Béatrice changeront son regard sur les choses.
Je ne me suis pas du tout ennuyée! Voilà un texte rafraîchissant, drôle et parfois décapant. Je me suis surprise à reconnaître parmi ses pages des personnes croisées dans ma propre vie: des têtus, des attendrissants, des énervants... !!!

Mon avis : J'aime la Chik-Lit drôle, un brin décalée et complètement déjantée. Il m'a manqué quelque chose avec ce roman basé sur la solitude et la vieillesse mais j'ai quand même passé un bon moment avec ce grand-père ronchon, une tatie Danielle au masculin.

Ferdinand, 83 ans, habite l'appartement de sa fille dans un immeuble et son loisir favori est de déranger les voisins. Un brin acariâtre, râleur, profondément sale, Il fait tout en dépit du bon sens et est constamment en conflit avec Mme Suarez la concierge.

La mort de sa chienne Daisy le plonge dans le désespoir et il tente de se suicider. Quand les faits remontent aux oreilles de sa fille qui vit maintenant au Japon, elle le menace de la maison de retraite. Pour le surveiller, elle demande à Mme Suarez sa pire ennemie de lui faire un rapport toutes les semaines.

Ferdinand voit rouge mais c'est compter sans l'arrivée de Juliette, une fillette de 10 ans qui va tout doucement le métamorphoser.

Une lecture sympathique avec des personnages attachants, une happy end un peu convenue mais une lecture idéale pour l'été.
Lien : http://lisalor.loulou.over-b..

C'est la 694e critique de ce livre, alors si vous la lisez mettez un pouce / like, ou un commentaire, pour me dire que vous êtes passé par là ?
C'est aussi le 1er Aurélie Valognes que je lis, si c'est pas une honte ! Sachant que c'est l'autrice n°1 en France, et la 4e la plus vendue en ce moment ! Bref : mea culpa, je rattrape mon retard. Je ne la lisais pas, à cause des couvertures hyper commerciales et des titres super bateau (à mon snob avis). Mais j'ai beaucoup aimé cette histoire, ce vieux bougon et la petite voisine rigolote qui le secoue, toute cette atmosphère de voisinage.
Un bon moment.
J'ai hâte de rencontrer Aurélie Valognes le 7 mars grâce à Babelio ! (si vous avez des questions à lui poser, je peux être votre relai, dites moi !)

Un agréable roman de détente. Les personnages sont attachants et l'histoire réconfortante. On suit Ferdinand qui, suite au décès de sa chienne, doit changer sa vie: découvrir ses voisines dont Juliette la collegienne à la langue bien pendue ou Béatrice la voisine séduisante et moderne, redécouvrir sa fille et son petit fils... Un bon roman feel good.

J'ai beaucoup aimé ce livre.
Au début je le trouvais un peu long mais petit à petit il est devenu intéressant.
C'est histoire de Ferdinand, nonagénaire, divorcé depuis quelques années.
Sa femme l'a quitté pour le facteur.
Il a toujours eu un caractère difficile et cela s'accentue depuis son divorce. Sa fille habite à Singapour. elle apprend que Ferdinand a essayé de se suicider, elle décide de lui donner une dernière chance avant la maison de retraite. elle va demander à Madame Suarez la concierge qui déteste Ferdinand de voir ses agissements. Mme Suarez à un côté très méchant et va jusqu'à lui enlever sa chienne qu'il affectionne tant. Plein de péripéties mais pour une très belle fin où Ferdinand a complètement changé. Il s'ouvre aux autres, fait des rencontres, est souriant.
Pour Noël, toute sa famille sera là au complet !

C'était une bonne lecture, feel-good et sans prise de tête.

On suit Ferdinand, un homme de quatre-vingt trois ans bougon, râleur, teigneux, sans amis et sans joie de vivre, si ce n'est sa chienne Daisy. Il n'est pas proche de sa fille et encore moins de son petit-fils, qui constituent pourtant sa seule famille. Et surtout, il déteste les voisins de son immeuble, en particulier la concierge, qui le lui rend bien.

Et pourtant, des événements vont survenir et le faire changer progressivement, malgré son grand-âge, malgré le fait qu'il n'y croyait plus !

C'était intéressant et j'ai plusieurs fois souri pendant ma lecture. J'ai parfois pouffé, sans pour autant rire aux éclats.

Les personnages sont imparfaits, ils ont des défauts qui les rendent attachants, même si parfois on aimerait faire bouffer le sexisme d'un tel, les manies d'un autre.

Même si certains noeuds se résolvent de manière presque surréaliste, j'ai globalement apprécié ce roman, et je compte bien lire les autres oeuvres d'Aurélie Valognes !

Petite chronique sociale et humoristique. La vie d'un petit immeuble où les résidents doivent subie la mauvaise humeur et la méchanceté de Ferdinand brun, octogénaire solitaire, qui n'a d'affection que pour sa chienne, Daisy. Lorsque celle-ci disparait, son monde s'écroule et la vie du vieux grincheux va basculer. Drôle et sympathique petit roman mais un sentiment de déjà lu