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3,65

sur 5419 notes
Ferdinand Brun a 83 ans. Il vit très seul dans un immeuble avec sa chienne Daisy qu'il adore. Sa femme l'a quitté voici quelques années, sa fille est partie habiter très loin.
Il ne voit aucun de ses voisins d'un bon oeil , la concierge est extrêmement désagréable avec lui et réciproquement.
Heureusement pour nous lecteurs, les choses vont changer petit à petit et ce vieux monsieur aigri va tout doucement changer.
C'est une lecture très agréable. L'auteure, Aurélie Valognes a une observation très fine des personnages et un style très agréable. Elle mérite tout le succès qu'elle a récolté.
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Je ne m'étendrai pas à commenter ce livre vu le nombre incroyable de critiques que je n'ai pas pris le temps de lire.

C'est un ouvrage simple, drôle et trés facile à lire , sans prétention, plaisant , " Un pépé dans les orties" , quoi!
Les phrases sont simples, les chapitres très courts, les titres un peu caricaturaux , pétris de maximes populaires , à l'humour rafraîchissant, à lire pendant les vacances ....
Bon pour le moral, bof, comme l'indiquent les éditeurs......je n'en suis pas certaine .....
Il m'a été recommandé par une amie travaillant à la médiathéque .
Elle ne l'a pas lu, car très demandé il sort sans cesse ....
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Pépé dans les orties serait plus juste car le personnage principal est Ferdinand Brun, 83 ans, qui, au début du roman en fait voir de toutes les couleurs à la concierge et à ses voisins de l'immeuble où il réside. Il vit seul avec sa chienne Daisy dans l'appartement de sa fille, héritière de son ex-femme décédée. Sa fille Marion qui vit avec son fils à Singapour a chargé la concierge de veiller à ce que Ferdinand entretienne bien l'appartement ; elle ignore les horribles agissements de Mme Suarez envers son père. Mais lorsque Juliette, jeune fillette précoce apparaît, la vie de Ferdinand en sera totalement bouleversée. Un livre pas toujours drôle qui met en avant la vie des seniors esseulés.
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Voici une petite lecture que l'on nomme "bon pour le moral"... sans vraiment révolutionner mon moral, j'ai passé un bon moment.
Je l'ai plus appréciée que les livres de la même catégorie où "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil", et où ça dégouline de sucre et de miel. Ici, c'est un peu le contraire, Ferdinand est vieux et pas gentil et il y a quelques spécialistes de coups tordus.
L'histoire finit forcément bien, mais je suis déjà satisfaite qu'elle ait provoqué quelques sourires, je n'en demandais pas plus.
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Ferdinand, vieux monsieur grincheux, emménage dans un immeuble et sème la pagaille. Il fait tout pour être rejeté, c'est sa façon à lui de préserver sa solitude. Organiser sa journée à sa guise, ne pas avoir de comptes à rendre, rester autonome, ne pas s'éparpiller en sentiments, à part pour Daisy, sa chienne si fidèle. Il ne fait surtout pas semblant d'être aimable. Il veut juste qu'on lui fiche la paix. Finalement ses frasques créent de l'ambiance dans l'immeuble, ce qui n'est pas pour déplaire aux habitantes désœuvrées friandes de cancans.

Mais un jour une gamine futée vient chambouler ses habitudes. L'occasion d'un nouveau départ pour celui qui pensait finir sa vie tranquillement, sans embrouilles. Juliette l'aidera à affronter la perte de sa chienne Daisy ainsi que la terrible madame Suarez, la concierge de l'immeuble, "pas foncièrement méchante, juste un peu braquée parfois", comme le dira son mari.
Une petite étincelle de joie dans sa vie qui réveillera son envie de vivre avec les autres, de partager, d'aimer. Après tout il en est capable. Il suffisait d'essayer, de se secouer un peu, de se remettre en question.

Un roman à l'écriture fluide, aux personnages attachants, dont les défauts sont comme des boucliers. Une fois qu'on frotte un peu, on trouve de belles choses sous la carapace.

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Reçu en cadeau l'an dernier, le livre à la couverture Vichy et moi nous regardions de travers à chaque station devant mes étagères. le genre "feel good book" n'est vraiment pas ma tasse de thé. Il a une fâcheuse tendance à m'énerver plus qu'autre chose par son caractère trop gentillet voire ses niaiseries. Mémé dans les orties a confirmé mon allergie aux livres ainsi estampillés.

Cette réussite commerciale fut certainement une très grande joie pour Amélie Valognes qui semble être une jeune femme tout à fait sympathique. Pourtant, force m'est d'admettre que je ne comprends pas la raison de ce succès.

L'histoire est un patchwork de clichés et de caricatures saupoudré de bons sentiments. Ou comment métamorphoser un Tatie Danielle masculin en papy gâteau par la grâce de l'amitié miraculeusement entrée dans sa vie de vieux grincheux... Thème déjà vu, lu, débattu, rabattu. Un faux-air de L'élégance du hérisson avec l'irruption d'une Paloma déguisée en Juliette.

Pour ce qui est de l'écriture, puisque l'auteure aime les expressions toutes faites et imagées, je dirai que ça ne casse pas trois pattes à un canard. le style est plat. Quant aux effets humoristiques, j'ai dû passer à côté...

Je reconnais toutefois un atout à ce livre: il ne s'étale pas sur 500 pages. La moitié fut déjà une quasi corvée à lire.

Petit papa Noël, puisque la date approche à grands pas, s'il te plaît, ne mets pas les autres titres d'Aurélie Valognes dans mes petits souliers!!!!
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Voilà typiquement le genre de livre qui n'est pas pour moi...
Je vous entends déjà dire : mais pourquoi l'a-t-elle lu alors ? J'ai sans doute cru à la quatrième de couverture qui me promettait "un livre drôle et rafraîchissant, bon pour le moral et une véritable cure de bonne humeur !" et puis... le titre était marrant.

Peut-être que parfois, au cours de la lecture, j'ai souri, rarement, mais en aucun cas, je n'ai ri aux éclats. Il faut croire que les contes de fées ce n'est plus pour moi, mais la transformation de cet homme infect, aigri, qui a été méchant toute sa vie, en ange de bonté et pilier de la famille, et bien je n'y ai pas cru. J'ai trouvé l'histoire complétement invraisemblable, le point d'orgue étant à la fin . Les personnages sont de vraies caricatures : la fillette très mature pour son âge, la mamie qui s'improvise avocate, la concierge diabolique. Quant au papy acariâtre, j'ai déjà dit ce que j'en pensais. N'allez pas croire que j'ai une dent contre les "personnes âgées" (ah les grincheux, peut-être que si finalement) car j'avais adoré le pétillant livre de Barbara Constantine "A Mélie, sans mélo".

Encore un titre qui surfe sur la vague du "feel-good", beaucoup trop sirupeux pour moi, je ne lui accorde qu'un 6/20. Vivement que je me replonge dans un bon polar...
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Aurélie Valognes signe t'elle avec Mémé dans les orties un roman ? Son mérite est d'avoir réussi à trouver un éditeur papier après avoir fait une première publication numérique et trouvé son public . Après tout c'est là l'essentiel , un auteur qui rencontre des lecteurs et vice et versa .....
L'immeuble du 8 rue Bonaparte, les habitantes toutes d'un certain âge, le vieux grincheux, solitaire , acariâtre, la concierge au caractère bien trempé, la gamine surdouée au grand coeur, tout un monde de "petits vieux" croqué, l'exaspération de ceux qui ne se sentent pas encore concernés par la vieillesse.. Beaucoup de bonnes idées mais à force de vouloir trop bien faire .... Vous l'aurez compris je n'ai pas apprécié cette lecture dommage l'idée était bonne mais trop de clichés , de situations invraisemblables viennent polluer ce texte qui au demeurant aurait pu être plaisant .
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... Je ne sais pas ce qu'il se passe en ce moment mais rahhhh j'ai l'impression de faire ma vieille mégère lorsque je poste mes critiques car ... rien ne me plait , que des déceptions ... et ce livre ne déroge pas à la règle ...
J'ai trouvé que c'était plus que caricatural ( ... ok on peut écrire en reprenant des "archétypes" , le "vieux grincheux", "la concierge acariâtre", etc ... pourquoi pas ce n'est pas interdit certes ... mais alors on a le devoir d'en faire un truc différent , de détourner le truc histoire d'apporter de la nouveauté, de la fraîcheur, de la drôlerie ... ).
J'ai trouvé le style de l'auteur très "plat" ...
Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, rien trouvé de divertissant/amusant ... la lecture m'a semblé interminable alors que le bouquin est court ...
Bref ... le flop.
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Ah, sacré Ferdinand Brun ! On peut dire que vous êtes un fichu misanthrope ! Vous n'aimez personne… Et forcément, personne ne vous aime tellement vous êtes odieux ! Votre femme vous a quitté pour vivre enfin des jours heureux. C'est le facteur qui l'a emportée. Elle est morte. Un stupide accident. Elle a glissé dans la salle de bain et sa tête a heurté la baignoire. Je parie que vous vous en réjouissez.

Votre seule enfant, votre fille, Marion, lassée par votre guéguerre avec votre ex-femme s'est enfuie à l'autre bout de la terre, à Singapour, emmenant avec elle votre petit-fils, Alexandre. Vous n'avez que de très brefs contacts téléphoniques avec elle. Par votre faute…

Mme Suarez, la concierge, rêve de vous virer de « son » immeuble car vous êtes tout ce qu'elle déteste. Surtout que votre grande chienne, Daisy, fait peur à son chihuahua ! Elle va faire tout ce qu'elle peut pour vous pourrir la vie ! Saurez-vous lui résister ?

Juliette, votre nouvelle petite voisine, force votre porte. Malgré son jeune âge elle est d'une intelligence supérieure et sait comment vous appâter… La pâte de fruits… Vous allez succomber ! Pour Juliette, vous êtes un grand-père de substitution. Et puis, vous habitez juste en face de son école primaire, et franchement, la cantine ne vaut pas un clou, c'est pourquoi elle s'invite à manger chez vous. C'est dommage que vous ayez si mal reçu son père, lorsque, animé de sentiments amicaux, le jour de son aménagement, il était venu se présenter pour faire connaissance…

Madame Béatrice Claudel, votre voisine de palier, cette charmante et jolie nonagénaire que vous fuyiez comme la peste va vous aider à trouver une solution à l'inspection que madame Suarez s'apprête à mener afin de rapporter à votre fille Marion l'état de déliquescence de votre appartement… Après ça, sûr que Marion n'aura pas d'autre choix que de vous placer dans un home pour vieux…

Ma critique :

Qui eût cru que cette histoire rapportant la vie d'un vieil octogénaire asocial aurait pu m'intéresser ? Ses petites mesquineries quotidiennes, son manque d'éducation à l'encontre de ses voisines d'immeuble, son égoïsme forcené, autant de petites choses qui ne devraient guère soulever un grand engouement… Pourtant, grâce à la narration d'Aurélie Valognes, je me suis laissé surprendre à éprouver de la sympathie pour ce vieux grincheux, à espérer qu'il l'emporte dans son combat contre l'horrible madame Suarez, concierge gestapiste de son état ! L'arrivée de Juliette dans le récit est un bol d'air frais, tant dans la vie de notre anti-héros, que pour moi, lecteur.

Cette histoire pleine d'humanité ravira encore longtemps des dizaines de milliers de personnes, à n'en pas douter.
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