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Baron Rouge tome 1 sur 3
EAN : 9782361180478
48 pages
Zéphyr BD (19/04/2012)
3.53/5   15 notes
Résumé :
La vie romancée de Manfred Von Richtohfen.

Le Baron Rouge est un tueur né. Elevé dans la tradition militaire, il rêve de passer les ennemis de l'Allemagne au fil de l'épée. L'aviation va lui permettre de réaliser ses ambitions. Le jeune homme va devenir un as et décimer les rangs des aviateurs alliés.
Ses débuts coïncident avec les premiers combats aériens de l'histoire. Ce sont de véritables batailles de dinosaures volants que vont se livrer c... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Ce tome est le premier d'une trilogie formant une histoire complète indépendante de toute autre. Il est paru en 2012. le scénario est de Pierre Veys, et les dessins ainsi que les couleurs de Carlos Puerta.

Quelque part à la campagne, dans un endroit éloigné des lignes du front de la guerre de 14-18, un oiseau prend son envol, au-dessus d'un moulin à vent désaffecté, au-dessus de la cime des arbres, haut dans le ciel. Il est pris par surprise et effrayé par la survenance brusque de 2 biplans, un Albatros D.II peint en rouge pourchassant un SPAD S.VII portant une cocarde tricolore. le Baron Rouge a réussi à isoler un pilote français et il le pourchasse sans répit. le pilote français tente une manoeuvre d'esquive en passant entre piles d'un pont, mais c'est peine perdue. Manfred Albrecht von Richthofen (1892-1918) l'a dans son viseur, il tire juste après le pont et le biplan français se pose sur un champ. le Baron Rouge pose son avion à proximité, en descend et va confirmer la mort du pilote, ainsi que prendre un trophée. Il prend plaisir à avoir regardé le pilote mourir.

10 ans plutôt à Berlin, le jeune Manfred Richthofen se rendait à l'académie militaire, en tramway, en compagnie de son copain Willy. Ce dernier lui conseille de faire des moins bons scores que Friederich, un autre élève. Manfred Richthofen se donne quand même à fond et finit premier du concours de gymnastique. Dans les vestiaires Friderich et 2 de ses camarades viennent le trouver afin de le remettre à sa place par la force. Manfred traverse une expérience troublante car il est capable d'anticiper chaque mouvement, chaque attaque, comme s'il en avait conscience juste avant que son opposant ne le fasse. Il leur met une sévère raclée, et ils partent sans demander leur reste. Seul dans la rue, il éprouve un sentiment d'exaltation. Quand il en parle plus tard avec Willy à la bibliothèque, ce dernier pense qu'il affabule. le lendemain Manfred provoque sciemment Friderich à la cantine, ce dernier préfère esquiver et ne pas l'affronter. Pour avoir le coeur net sur ses capacités, Manfred Richthofen décide de se rendre dans un quartier dangereux de Berlin, à la nuit tombante.

Encore une BD d'aviation, encore une BD sur le Baron Rouge, et cependant la couverture attire l'oeil pour sa représentation soignée d'une ville de Belgique. le lecteur éprouve l'agréable surprise de découvrir que les dessins à l'intérieur présentent le même niveau de qualité que celui de couverture. le lecteur n'a pas de doute sur la qualité de la reconstitution historique visuelle, et ayant identifié l'avion piloté par Richthofen, il en déduit que le début du récit se déroule fin 1916, ou début 1917, avant que ce pilote ne vole sur le triplan Fokker Dr.I. Cette bande dessinée se lit très vite, en un quart d'heure en prenant le temps d'apprécier les dessins. Cela tient au fait qu'il y a 20 pages de consacrées à deux combats aériens (8 pages pour le premier, 12 pages pour le second), quasiment dépourvues de texte. Cela tient également au fait de la qualité de la narration visuelle qui est d'une clarté exemplaire, y compris pour les duels aériens, alors que ces derniers peuvent constituer un vrai casse-tête pour rendre compte de la position relative de chaque avion, et de leurs évolutions aériennes.

L'intrigue n'est pas très complexe. Elle commence par ce duel aérien fin 1916, début 1917, puis effectue un retour en arrière sur la fin de la période scolaire de Manfred Richthofen, et passe ensuite à la première mission aérienne de Richthofen en tant que mitrailleur, avec un pilote. L'originalité du récit tient au fait que le scénariste attribue un don surnaturel à Manfred Richthofen : il est capable de percevoir un mouvement chez un agresseur avant que celui-ci ne l'ait effectué. le récit laisse le choix au lecteur de prendre cette capacité de manière littérale, à savoir un don surnaturel sans aucune explication sur sa provenance ou sur son fonctionnement. Il peut aussi y voir une forme de métaphore sur la capacité bien réelle du Baron Rouge à se montrer plus malin que ses ennemis. de ce point de vue, ce don est l'incarnation de cette capacité bien réelle qui lui a permis d'accumuler 80 victoires avant de succomber dans une mission aérienne le 21 avril 1918. Il est vraisemblable que le lecteur apprécie plus ce premier tome s'il est déjà familier avec la réputation du Baron Rouge, une connaissance superficielle suffit et elle peut être acquise rapidement en consultant une encyclopédie en ligne.

Sous réserve que le lecteur ne soit pas opposé à une relecture de la vie de ce pilote et ne soit pas réfractaire à une fibre surnaturelle, il peut alors plonger dans une reconstitution à la consistance épatante. Les planches de Carlos Puerta se révèlent très déconcertantes, donnant tantôt l'impression de peinture directe s'appuyant sur des traits de contour très fins et très discrets qui ne sont pas systématiques, tantôt sur une utilisation complexe de l'infographie pour réaliser une reconstitution historique de Berlin la plus fidèle possible. Ainsi en page 11, le lecteur a l'impression de contempler une carte postale d'époque pour la case du haut de la largeur de la page, qui aurait été reprise à l'infographie pour ajouter des couleurs et pour travailler sur le niveau de détails pour accentuer la profondeur de champ. Il en va de même pour la vue de la façade de l'école militaire (page 12), d'une vue générale d'une grande place de Berlin (page 19), du front de mer d'Ostende (page 31) ou des différentes vue de Bruges lors de l'affrontement aérien de la dernière scène du tome. Quelle que soit la technique réellement employée, la reconstitution historique est impressionnante de finesse te de justesse, et ces éléments de décors se fondent parfaitement au reste du récit. Il n'y a pas de solution de continuité entre ces environnements et les personnages ou les avions.

Le lecteur prend donc un grand plaisir à pouvoir ainsi se projeter dans chaque endroit, à effectuer ce qui s'apparente à du tourisme historique, justifié par la nature du récit et intégré de manière naturelle. Il se rend compte également que les autres environnements sont représentés avec le même rendu final ce qui assure l'unité visuelle de la narration. La première page montrant le vol d'un oiseau au-dessus d'un paysage de campagne comprend le même soin pour représenter le moulin, ou la flore. L'utilisation de la couleur est très impressionnante pour rendre compte aussi bien des teintes de ce qui est représenté, des variations de nuances en fonction des fluctuations de la luminosité, que de la texture de chaque élément. Dans les pages suivantes, le lecteur éprouve l'impression de pouvoir passer la main sur les pierres du pont et d'en sentir la granulosité, les aspérités, ainsi que les lichens qui y sont accrochés. Ainsi au fil des séquences, il admire la brillance du dallage de l'école militaire, la densité de livres dans les rayonnages de l'imposante bibliothèque, la luminosité du réfectoire, le pavage terne des rues, les façades de Bruges, et l'écoulement de l'eau dans les canaux de Bruges.

Carlos Puerta se montre tout aussi habile à donner vie aux différents personnages, en prenant soin de les représenter avec une morphologie normale, dans des tenues vestimentaires d'époque, avec des postures naturelles. Manfred Richthofen est un adolescent élancé, avec une musculature bien dessinée, ce qui est cohérent avec ses capacités de gymnaste. À plusieurs reprises, le dessinateur utilise une case pour faire un gros plan sur son regard qui reste indéchiffrable. Il montre l'impassibilité du personnage, qu'il vienne de tuer un autre pilote (dans la scène d'ouverture) ou qu'il vienne de massacrer les voyous de rue qu'il a provoqué, avec encore le sang de l'un d'eux qui macule son visage. le récit repose sur plusieurs séquences d'action, certaines aériennes, d'autres d'affrontement physique à main nue. Dans la scène dans les vestiaires, le lecteur apprécie l'approche naturaliste de l'artiste qui ne cherche pas à donner une vision romantique de la bagarre, et qui a composé un plan de prises de vue permettant de suivre le déplacement de chacun des adolescents, ainsi que les coups portés. Dans la seconde bagarre, le lecteur se retrouve estomaqué par la sauvagerie de Manfred Richthofen, par la brutalité, la précision et la cruauté des coups portés. Les dessins rendent admirablement compte de la vivacité des mouvements et de l'absence de retenue de Richthofen.

Bien sûr dans ce genre de récit, le lecteur s'attend à des combats aériens spectaculaires et intelligibles. Avec ce tome, ses attentes sont satisfaites au-delà de toutes ses espérances. Carlos Puerta rend compte des voltiges et de la stratégie des pilotes avec une aisance confondante. le lecteur assiste à la première course-poursuite en voyant les manoeuvres, en pouvant suivre les positions respectives des 2 avions à chaque instant, en constatant comment ils essayent de tourner à leur avantage les caractéristiques du terrain. À l'opposé d'acrobaties aériennes déconnectées de leur environnement, ou de mouvements incompréhensibles dans le ciel, l'artiste décrit avec brio les différentes phases de cette course-poursuite mortelle, avec un naturel inouï. Il réitère ce tour de force lors de la dernière scène de ce tome, pendant 12 pages d'une intensité rare, d'une lisibilité exemplaire, et d'une grande beauté. Un exploit narratif !

Le lecteur plonge dans ce premier tome en se demandant si les auteurs seront à la hauteur du sujet qu'ils abordent. Il comprend vite que leur objectif n'est pas de réaliser une biographie de Manfred Albrecht von Richthofen, mais de donner leur interprétation personnelle de cet individu devenu une légende. le scénariste plonge le lecteur dans le vif du sujet avec une course poursuite aérienne, puis il revient 10 ans en arrière. Il propose une explication personnelle de la longévité de Manfred Richthofen au cours des combats aériens, et reprend un cours chronologique avec l'un des premiers affrontements en 1915. Cette histoire linéaire et simple est servie par des planches exceptionnelles nourrissant le récit par une narration visuelle extraordinaire et incroyable. La reconstitution historique plonge le lecteur à cette époque, dans les différents lieux, et la représentation des affrontements est aussi limpide que spectaculaire.
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Un dessin somptueux qui renvoie à l'idée que l'on se fait des premiers tirages photographiques en couleurs pour les pages de combat aérien, avec pour les autres planches des traits pour l'illustration qui rappellent ceux de certains dessinateurs américains comme Howard Pyle, N.C Wyeth ou Norman Rockwell. Un récit qui conte une partie de la vie du plus célèbre pilote de guerre de l'aviation allemande durant la Première guerre mondiale. Comme il est signalé il s'agit d'une bibliographie romancée ; le goût pour le héros de donner la mort et la capacité à deviner les actions à venir des adversaires appartiennent au domaine fictionnel sans aucun doute. Toutefois cette complaisance pour la violence reflète bien l'esprit de certains combattants embrigadés dans le conflit en question. le premier tome évoque les années que Manfred von Richthofen passe à l'académie militaire de Berlin à la Belle Époque et ses premiers pas comme pilote d'avion militaire dans les Flandres belges. Ce n'est qu'ultérieurement (on nous l'expliquera vraisemblablement dans les tomes suivants) qu'il gagne son surnom de "Baron rouge" sans avoir besoin de peindre, comme le veut la légende, pour des raisons tactiques son célèbre triplan Fokker car celui-ci était livré de cette couleur. Dans ce premier tome c'est aux commandes d'un bombardier allemand l'AEG G 4 que la couverture nous le fait découvrir. La propension à utiliser des vignettes sans aucun texte pour les affrontements renforce la puissance de l'intensité dramatique.
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J'aime bien le travail que font Pierre Veys et Carlos Puerta. Leur association fonctionne à merveille comme l'a prouvé l'excellente série Adamson. Cependant, les lecteurs ont été furieux d'apprendre l'arrêt de cette dernière série au profit de celle-ci chez un autre éditeur, il est vrai. Je ne conseillerais pas l'achat tant que la série ne sera pas terminée car je n'ai plus trop confiance. Ces séries qui commencent en fanfare et que l'on voit abandonnée en cours de route.

Le baron rouge est l'évocation de la vie romancée de l'as de l'aviation allemande à savoir Manfred von Richthofen. J'ai rarement vu d'aussi belles images en bande dessinée. C'est presque une oeuvre d'art photographique. Je dois dire que leur technique de reconstitution est réellement bien au point. On va survoler la campagne et les villes prussienne durant cette Première Guerre Mondiale à travers des planches magnifiques. C'est un vrai régal pour les yeux. Et c'est surtout quelque chose d'unique dans la bande dessinée. Ils sont précurseurs de quelque chose qui se vulgarisera avec le temps.

Le scénario est un peu moins mystérieux que la fameuse série Adamson car elle s'inscrit dans une réalité historique bien précise. Toutefois, il y aura tout de même une introduction du fantastique avec le fameux don de voyance qu'acquiert notre futur baron rouge. Cette prédisposition l'aidera incontestablement dans ses victoires aériennes futures. Un bon début mais qui se lit malheureusement trop vite à cause de scènes trop descriptives à moins de s'attarder sur la qualité des images. Bref, le baron rouge nous entraîne très vite vers le 7ème ciel !

Le second tome m'a un peu moins emballé dans la mesure où l'action est plutôt longue en se concentrant uniquement sur la première victoire de ce fameux baron qui commence à avoir les crocs et surtout le goût du sang. le dessin est toujours aussi sublime. On va poursuivre l'aventure.
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Voici une approche originale d'un personnage qui compte parmi les pilotes les plus connus de la Première Guerre mondiale, tous pays confondus. Son tragique destin est lié à un village au nord-est d'Amiens où il connut la mort à la fin avril 1918. Toutefois ce premier tome n'aborde ni ce point, ni les raisons du surnom de "Baron rouge" qui fut attribué à Manfred von Richtohfen. le scénario ne cache pas qu'il prend des aspects romanesques ; il livre une dimension psychologique originale du personnage. Si l'on connaît un peu la brutalisation que connut rapidement le conflit, on se dit que la fiction sert convenablement à rendre une réalité historique où la violence ne fut pas seulement acceptée mais revendiquée par nombre de combattants sur le moment.

Pour bien rentrer dans le récit, le jeune lecteur devra avoir entendu parler de la Première Guerre mondiale. le dessin est d'une rare originalité, il peut faire penser par certains côtés à des tableaux historiques de Goya qui appartiennent à la culture du dessinateur Carlos Puerta, d'origine madrilène. La ville de Bruges bénéficie d'un magnifique traitement en huit pages à la fin de l'album.

Le scénariste Pierre Veys, originaire de Cambrai, avait déjà travaillé avec ce dessinateur pour une série en cours (Adamson) mettant en scène des prémisses de l'entrée en conflit ouvert des bâtiments allemands et germaniques dans les environs du Pôle nord où s'ouvrirait la possibilité de passer dans un monde surnaturel. La série est prévue en trois tomes.
Lien : http://crdp.ac-amiens.fr/cdd..
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Ce Rouge ne suit pas les règles

Je ne suis pas féru d'aviation, mais ces temps ci il est difficile d'échapper à l'escadrille qui survole la BD. Je me suis laissé tenté par ce Baron Rouge, en raison de l'étonnant coup de crayon de Carlos Puerta.

Ici, nous assistons à la découverte par le jeune Manfred Richthofen, d'un don de prescience qui lui permet de connaître à l'avance, les mouvements de son adversaire. Reconnaissons avec lui, que c'est plutôt pratique !
S'il se rend compte de ce don à l'occasion d'une petite bagarre entre "amis", il teste très vite ses possibilités dans une bagarre de rue, où il peut laisser libre cours à son goût du sang.

Attiré initialement par la cavalerie, il se retrouve pourtant pour ses débuts, comme tirailleur, dans la carlingue d'un AEG (qui ne pourra pas trop aider comme un Fokker), poursuivi par un Farman britannique. L'aventure du Baron -pas encore- Rouge, débute.

Le récit s'achève un peu en empennage de poisson et une suite rapide s'impose.

Mais l'intérêt principal de cette BD réside dans le somptueux dessin qui n'est pas sans rappeler celui de Jean-Claude Clayes pour les couvertures de la défunte collection NEO. le trait est parfois un peu figé, quelques perspectives hasardeuses (le cadavre à ses pieds p 29 !), mais dans l'ensemble, c'est remarquable.

Je doute que L Histoire y trouve son compte, mais cette série s'annonce quand même bougrement prometteuse.
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Georg n'a pas anticipé la manœuvre de l'anglais et tourne trop tard. De toute façon, notre AEG est moins agile que leur Farman. Je ne peux pas tirer vers l'arrière. Nous sommes sans défense. Il va nous massacrer.
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Il y a déjà près de dix minutes que je poursuis ce Spad. Jusqu'ici, il s'en est bien tiré, manœuvrant habilement. Mais maintenant il a compris qu'il n'arrivera jamais à me décrocher. Il s'affole et tente n'importe quoi à l'instinct. Là il m'entraîne vers ce pont espérant naïvement que j'irai m'écraser dessus en voulant le suivre. Il est aux abois. Il ne peut plus penser. La partie se termine. C'est fini…
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Ils sont sûrs d'eux. Ils ne prennent aucune précaution : je suis une proie facile. Au dernier moment, ils ont quand même une hésitation : mon attitude n'est pas naturelle. D'abord, je ne devrais pas être là, et ensuite je devrais mourir de peur. Je devrais supplier à genoux de les épargner. Au lieu de cela, je les regarder avec un petit sourire. C'est étonnant : je leur fais peur maintenant !
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Au lieu de cela, il a pris une balle et je le regarde mourir Et pour moi, ce spectacle est un plaisir ineffable. Je ne connais rien de meilleur au monde. La guerre est une chose fantastique !
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Le courage est le prix que la vie exige pour accorder la paix.
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