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EAN : 9782749140537
363 pages
Le Cherche midi (16/04/2015)

Note moyenne : /5 (sur 0 notes)
Résumé :
Les laboratoires nous trompentPour la première fois, un haut dirigeant d'une grande firme internationale témoigne de l'intérieur et se révolte. Ce livre criant de vérité se lit comme un roman policier, un roman noir, mais ce n'est pas un roman. Il décrit, pièces en main, la falsification des études cliniques, la dissimulation des accidents mortels aux agences de contrôle, les mensonges systématiques aux généralistes par les visiteurs médicaux et surtout la corruptio... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
De nombreux articles scientifiques et journalistiques sur l"empoisonnement mondial dû aux médicaments et aux psychotropes existent à la fois en France et dans la presse anglo-saxonne et de nombreux lanceurs d'alertes  dans le monde entier essayent désespérément et en vain de déjouer ce fléau qui s'abat sur des cobayes humains tous les jours plus nombreux.

Une page au hasard dans la liste d'effets secondaires dans le livre d'Antoine Béguin et Jean Christophe Bridard " effets secondaires le scandale français " donne le vertige :

- " * Sentiments de Psychose (perte de contact avec la realite )
*Vision ou bruit des choses qui n'existent pas  (hallucinations )
( ... )

Lariam peut entrainer d'autres effets indésirables potentielle
ment graves. Si vous ressentez un des effets suivants, vous devez
consulter immédiatement un médecin:
• Une réaction allergique à Lariam ou à l'un de ses composants
grave (anaphylaxie) avec des symptômes comme une diff-
culté à respirer, un gonflement de la langue, un oedème, des démangeaisons et une éruption cutanée importante.
• Une crise d'épilepsie ou des convulsions.
• Des problèmes cardiaques, comme des troubles du rythmecardiaque, incluant des palpitations (sensations que le coeur bat très vite) ou un pouls irrégulier.

• Une éruption cutanée ou rougeur étendue accompagnée de
cloques ou d'un décollement de la peau (desquamation), plus particulièrement autour de la bouche, dans la gorge, du nez, des parties génitales (ulcères) ou des yeux (conjonctivites) et potentiellement associée à des symptômes pseudo-grippaux incluant de la fièvre. Ces signes peuvent être évocateurs d'une
affection potentiellement grave appelée syndrome de Stevens Johnson

• Une inflammation des poumons se manifestant par une difficulté à respirer, une toux, généralement associés à une fièvre ou des frissons et potentiellement des maux de tête. Il pourrait s'agir d'une inflammation des poumons potentiellement d'origine allergique grave et potentiellement mortelle.

• Un foie sensible, dur ou augmenté de volume, un ictère (jaunissement de la peau/des yeux), des urines foncées, des selles
décolorées et des démangeaisons généralisées. Ces symptômes peuvent potentiellement traduire un grave problème au foie.

• Dysfonctionnement, insuffisance ou inflammation du rein
révélé généralement lors d'un examen sanguin et pouvant éventuellement se traduire par une diminution du volume des urines, une altération de l'état général, une tension artérielle
anormale ou encore des douleurs abdominales ou lombaires.

• Une pancréatite (inflammation du pancréas) pouvant se manifester par des symptômes tels que des douleurs à l'estomac
ou des douleurs abdominales que des fourmillements

• Une neuropathie avec des signes ou des picotements, un engourdissement, une douleur, une sensation de brûlure, une faiblesse musculaire, l'apparition ou
l'aggravation de troubles de l'équilibre ou de tremblements
au niveau des mains et des doigts.

Tels :

• Un trouble visuel.

• Si vous prenez ce médicament pour traiter une crise de paludisme et que vous observez une aggravation des signes
de la maladie.

Les effets indésirables peuvent survenir pendant le traitement mais aussi après que vous avez arrêté de prendre Lariam, parfois
même plusieurs mois après l'arrêt. Chez quelques patients, il rapporte que les troubles neuropsychiatriques tels qu'une des vertiges ou encore des pertes d'équilibre
.... "

Moi même je suis autiste-asperger , me demandant un jour pourquoi j'étais tout le temps malade et si c'était dû aux psychotoropes que je prenais je me demandais quel était le rôle des Centres Médico Psychologiques ( les cmp ) et des psychiatres vis à vis des milliards de l'industrie pharmaceutique : un jour je lis  le témoignage boulversant d'une femme qui témoigne sur un forum et elle me mets sur la voie :

Bonjour;
Je vous écris car je suis en incomprehension suite à ma consultation avec mon psychiatre.
Je me sens mieux psychologiquement pour ma part je suis sortie de ma dépression de 8 années.
Je reprends gout a la vie, je cuisine, je m'occupe de la maison, des papiers et surtout l'arrivée de mon enfant, je prépare mon avenir professionnel en appelant les organismes concernés, je sors dans la nature , j'ai des passions...
Certes le COVD 19, nous a mis financièrement dans le rouge, j'ai été voir une assistante sociale qui m'a conseillée pour nous en sortir, C'est la première année qu'ont la vie cela !
Je suis une personne redevenue " NORMAL'
Lors de la consultation, DR a préféré me dire que j'étais en phase maniaque et quil faut remonter le dosage malgré ma grossesse en cours ...
Je me suis opposée contre cette prise de médicament.
Il me dit que mes projets etais irréalisable, ma perte de poids pas normal et que je dors peu.
Que si je ne prends pas son traitement, il irait plus loin pour lui je suis en danger, hospitalisation forcée et mise sous curatelle.
Je finis par céder et accepter son traitement malgré que je trouve cela abusée.
Je ne comprends pas quand 20 minutes de consultation il peut diagnostiquer un compte rendu sachant qu'il ne vit pas avec c'est patient.
Pour moi, j'ai subi un harcèlement moral, humiliation et intimidation
JE NE SUIS PAS MAITRE DE Moi-même.... "

Ce témoignage m'a boulversé et angoissé , je me suis mis dans la tête de cette femme et j'étais révolté , horrifié pour elle : bref je ne pouvais pas supporter qu'on fasse quelque-chose de pareil à une femme sous couvert de fausse expertise médicale...

Toujours est il que sur le forum juridique une ordure infâme lui réponds très pompeusement :

" Bonjour,

Vous dites que dans votre relation thérapeutique avec ce psychiatre " JE NE SUIS PAS MAITRE DE Moi-même..." ce qui est vrai car il y a une réelle privation de liberté, ou du moins la perspective d'en être privée lorsqu'un médecin envisage pour vous des soins sans consentement.

Impossible ici, sur un forum à vocation juridique, de porter un avis sur la position de votre médecin. Ce que l'on peut dire est que cette position met en balance d'un côté un devoir de protection vis-à-vis du patient, et de l'autre côté le respect de sa liberté.

Avant que d'en arriver à cette privation de liberté que représente une mesure de soins sans consentement il existe plusieurs conditions : que le trouble psychiatrique nécessite bien sûr des soins; que ces soins soient d'une nécessité immédiate, on ne saurait les différer sans exposer le patient à un risque, et qu'ils fassent l'objet d'un suivi rapproché (constant ou du moins régulier); enfin, condition essentielle, qu'il y ait impossibilité pour le patient de consentir.

La faculté de consentir peut être considérée comme compromise dans certains troubles jugés sévères, et notamment les troubles que l'on appelle bipolaires parce qu'ils alternent des périodes de profonde dépression et des phases dites maniaques. Lors de ces versants maniaques l'on peut se sentir extrêmement bien, avec la tentation d'arrêter des traitements dont on n'éprouve plus le besoin, on se sent à nouveau capable de plein de choses et il est exact, comme l'a remarqué votre psychiatre, que cet état s'accompagne de peu de sommeil tellement on se sent dynamisé(e).

Je pense que vous avez fait le bon choix en consentant, même à reculons, à la poursuite et à l'adaptation du traitement prescrit. Certes, j'ai bien compris que c'est en quelque sorte une négociation en échange de ne pas subir, sous la demande d'un tiers, une hospitalisation pour instituer un programme de soins sans consentement.

Aussi vous y gagnez d'éviter cette procédure pénible, et votre médecin pareillement car ce n'est jamais de gaieté de coeur qu'il lui aurait fallu se résoudre peut-être à engager cette procédure.

S'agissant de l'aspect juridique je vous indique le lien vers le Code de la santé publique, article L3212-1, en cliquant ici ... "

Ma colère monte...

Je décide donc de contacter la psy du centre hospitalier qui commence à vouloir me diagnostiquer " schizophrène " :

Bonjour Mme X :


Je ne suis pas malade , mes colères sont saines face aux nombreux abus de ma mère , je me sens heureux et en bonne santé en dehors de ceux ci.


Quand je participe à ces masquarades pseudo-psychiatriques et autres machinations de ma mère c'est pour cesser d'être harcelé par elle et par la psychiatrie aussi , mais maintenant je considère que ça suffit ! 


J'ai déjà Mme X et ma mère sur le dos , à partir de maintenant je ne me laisserai plus intimider ou diffamer par la psychiatrie qu'elle que soit sa forme ! 


Je connais les mécanismes de l'abus des personnes vulnérables et je ne consentirai plus à ceux ci : j'ai trouvé ceci sur un forum juridique plus bas : ces mécanismes que subissent cette femme sont les mêmes que je subis : je considère sérieusement porter plainte contre la psychiatrie si ce harcèlement psychiatrique NE CESSE PAS.


Je suis en bonne santé , heureux , épanoui , et je vais avoir un entretien d'embauche pour un travail en bibliothèque dans le milieu des livres qui me passionne: je sais très bien que vous n'avez pas été honnête avec moi , du tout, je suis venu vous voir pour parler en période de tristesse et de melencholie librement , de mon plein accord et sur ma propre volonté de mes problèmes : vous ne m'avez pas écouté ni même laissé parler et vous avez sortie de nulle part de votre chapeau magique une hypothèse de schizophrénie et hop ! Je n'ai même pas pu parler de mes problèmes mais j'ai répondu en miroir à vos questions orientées en sachant très bien que je suis TSA ( trouble du spectre autistique) qui plus est ...


Je suis allé voir l'assistante sociale du CMP pour lui demander de l'aide pour trouver un logement social et elle a été extraordinairement agressive et à proposée un " bilan d'autonomie " : je sais pertinemment bien que la psychiatrie aime diffamer et enfermer les gens et qu'il y a un plaisir sadique de domination et de pouvoir de la part des professionnels de santé dans celà.

A partir du moment que je vois , dans des cadres très différents , sans rapports directs les uns avec les autres , trois personnes différentes , sursauter à l'idée de m'enfermer la quasi bave aux lèvres et le yeux équarquillés je ne vais pas le prendre bien et celà ne fait pas de moi un " fou " bien au contraire.

Ma mère ne souhaite absolument pas m'enfermer et je sais qu'elle défends mes intérêts et mon père également : j'ai des activités , des amis et des relations sociales qui peuvent attester que je suis fonctionnel et en parfaite bonne santé ...

Je connais l'histoire du jeune homme qui allait parfaitement bien et qui ne pouvait pas sortir de l'hopital et qu'on a enfermé pendant plus de 10 ans malgré la volonté des parents qui faisaient des pieds et des mains pour le libérer : je sais que les origines de la psychiatrie ont trouvée leur essor en pleine première guerre mondiale alors qu'on envoyait de force toute une génération d'hommes se faire tuer sur le front , la psychiatrie , sur les terrains de combats eux mêmes , ramassait les traumatisés de guerre et les enfermait de force , car devenus fous , traumatisés , ou simplement furieux et révoltés qu'on les envoie aux charniers comme du bétail ... vous représentez une corporation, une industrie, et également un control social d'ont les ramifications et la corruption remontent au plus haut sommet de l'état.

Je sais également que l'industrie pharmaceutique représente des milliards d'euros et que vous êtes soumis aux contraintes qui sont celle d'une fonctionnaire de l'économie et de l'industrie de la maladie...

L'excellent Jules Romains dans sa pièce docteur Knock avait déjà annoncé la couleur à travers un médecin de village qui rends malade le village et qui ensuite se crée une fortune en faisant semblant de les soigner avec ses propres traitements.

CEPENDANT je dois vous prévenir qu'en cas d'abus et de négation de mes droits élémentaires et fondamentaux de personne libre et rationnelle,   je suis en capacité de me défendre, j'ai des facultés intellectuelles et cognitives très importantes et une solide culture intellectuelle et littéraire , ma mère et mon père me connaissent mieux que quiconque et pas juste au bout de 10 minutes de bla bla , et je connais de nombreuses personnes , dans des cadres très différents les uns des autres, qui peuvent attester que je suis sain d'esprit et en bonne santé.

Ne me contactez plus s'il vous plaît , ne me harcelez plus sous quelque-forme que ce soit et sachez que je suis suffisamment autonome pour ne pas être dupe du pays lamentable et dégoûtant dans lequel je vis ou les droits élémentaires des français sont régulièrement piétinés et fouillés au pied.


Cordialement , 

X


Non schizophrène 


Autonome


Et sain d'esprit.


J'annule- cette fois ci pour de bon - le rdv. "

Je décide , dans la limite du respect de la personne et du respect de certaines règles élémentaires et de certaines normes , que je vais donc contre le système  " partir à la castagne " ....

La psychiatre reçoit une lettre de ma part :

" Madame ,

Cela va faire 5 ans que je suis suivi au CMP de X , et parfois au X .

Je prends des traitements lourds depuis maintenant 5 ans et mon état ne fait que s'aggraver.

Je vais vous demander de me laisser m'exprimer jusqu'au bout , et d'écouter le plus attentivement possible.

Jusqu'à mes 22 ans j'allais bien , puis j'ai eu une période de dépression.

Nous avons pris contact avec vous , et pourtant aucun traitement donné ne m'a aidé , et au contraire , depuis maintenant 5 ans j'ai les symptômes graves de 9 effets secondaires et je ne me suis jamais senti aussi aussi malheureux ; voici la liste des effets secondaires depuis que je prends des psychotropes :

• -

Des diharées violentes

• -

Des maux de ventre violents

• -

Des évanouissements violents à répétition

• -

Un engourdissement progressif des bras , des jambes , et des épaules

• -

Une paralysie éveillée dans mon lit

• -

Mon coeur qui ne cesse de battre fort , jusqu'à ce que je fasse un électro-cardiogramme

• -

Du sang dans les selles

• -

L'impression d'avoir des toxines dans le corps

• -

Des tremblements violents et incontrôlés

Vous comprendrez donc que je me sens depuis 5 ans en état de siège médical et cela relève, pour moi, d'un acharnement thérapeutique brutal.

Ma mère peut attester , comme témoin de cette catastrophe médicale , que quand je vais vous voir à chaque fois c'est pire.

J'étais heureux dans la dépression à 22 ans , comparé au supplice chimique que je subis depuis maintenant 5 ans , cela a un nom , l'obstination déraisonnable Appelé avant acharnement thérapeutique.

Je vais pour être plus précis , décrire mon supplice médical par étapes : elles ont l'air de correspondre à un calendrier puisqu'elles ont l'air de correspondre à une gradation tous les ans.

La première étape fut ma mise sous FLUOXETINE par Mme X , j'ai développé une colère et une rage incroyable sous ce traitement ; cet effet secondaire est connu , et j'ai vu une amie subir les mêmes effets et changer de personne comme moi.

J'en ai parlé , on m'a donc transféré , pour que ça aille mieux apparemment , vers la MIRTAZAPINE.

Ce fut une catastrophe , je ne pouvais pas m'empêcher de manger , encore et encore de façon obsessionnelle comme si j'avais perdu le contrôle de moi-même , cela a entrainé dans ma famille des moqueries car j'ai pris 10 kilos qui affectaient mon apparence physique et ma confiance en moi.

De plus j'ai eu le sentiment de devenir « Zombie » avec ces effets :

• -

Une Absence d'émotions

• -

Un Sentiment de vide

• -

Une Indifférence à tout

• -

Une Envie de suiscide

De la colère incontrôlée à l'état de vide intérieur et l'envie de mourir ou étais le progrès ?

Ce fût durant cette période que deux nouvelles visses dans mon corps furent enfoncés, deux étiquettes fausses et diffamatoires me furent catalogués , « sentiment de persécution » et « psychose ».

Bizarrement j'ai trouvé le moyen malgré mon état de vous parler du suicide et vous m'avez basculé vers la RISPERIDONE – nouvellement crée pour ma nouvelle maladie dite « psychotique » – et VENLAFAXINE , pour la dépression, sur des doses extrêmement fortes.

Si un psychotrope ne marche pas on ne charcute pas le patient avec 4 nouveaux psychotropes jusqu'à ce que ça marche , j'ai eu l'impression qu'on expérimentait sur moi , ou encore que j'étais le somnambule caricaturé dans certaines couvertures de Némésis Médicale d'Ivan Illich avec un siphon rempli de cachets à ras-bord enfoncé dans la gorge , une fois que j'ai vu cette caricature j'ai hurlé de peur , l'empoisonné et l'emprisonné dans la caricature c'était moi.

J'ai acquis l'intime et incassable conviction qu'on expérimentait sur moi – et je le pense toujours – comme si j'étais un cochon d'Inde ou une oie qu'on gave.

En Anglais on appelle ça un blitz , ou un carpet bombing ; c'est-à-dire surenchérir toujours plus loin , toujours plus fort , toujours plus brutalement. C'est littéralement ça la définition d'un acharnement thérapeutique.

Comment je peux , au bout de 5 ans , accepter d'aller pire que quand je suis rentré dans le CMP pour la première fois , je suis censé aller mieux et je ne vais jamais aussi mal.

Un dernier problème a commencé à apparaitre dès les premiers traitements et leur accumulation est un supplice chinois :

• -

un effondrement de mes capacités respiratoires

• -

des bronchites chroniques

• -

Envie permanente de pisser qui peut signifier des problèmes rénaux.

Trop c'est trop !

STOP !

Je tire la sonnette d'alarme !

La dernière fois qu'on s'est vus quelque-chose m'a sauté aux yeux : parmi les problèmes sans fin vous avez commencé , afin de continuer le cauchemar , à émettre l'hypothèse que j'étais « bi-polaire » , là stop ! j'ai dit non , et vous avez eu l'air de ricaner derrière votre masque …

Je suis allé voir Mme X du X qui m'a parlé d'une potentielle schizophrénie , c'est pas la même chose ! faudrait savoir ! Et étrangement je ne me sentais pas concerné par cette nouvelle étiquette car je la savais parfaitement fausse.

C'était presque comme si X s'était trompé d'une étape dans la progression inévitable des maladies , comme un lapsus qui me permettait d'entrevoir un calendrier intentionnel , inévitable et voulu ; mais le sien doublé du votre sur la bi-polarité m'a fait prendre conscience que c'était Mme X et vous Mme X qui me mettiez en danger.

C'est parce-que je le sais que j'ai souhaité que ma mère soit là , ici , je l'espère pour me protéger.

Je ne suis ni « schizophrène » , ni « bipolaire » , et je ne suis certainement pas « psychotique ».

Il est vrai que j'ai eu, à un moment donné , un sentiment un peu paranoïaque de persécution , mais celui-ci a été guéri par mon psychologue qui m'a donné des mécanismes concrets pour lutter contre ces schémas de pensée , et cela a fonctionné.

Le sentiment de persécution paranoïaque a disparu grâce à mes efforts et les conseils de mon psychologue.

Comment je le sais ? Car sous RISPERIDONE , que ce soit 2 ou 4 MG , ils persistaient quand même sur une longue période de temps , jusqu'à ce que je trouve des moyens non chimiques et naturels d'y remédier. « Psychotique » est une diffamation , un mot fourre tout , et un alibi prétexte à ce que je n'aille jamais mieux : un jour vous m'avez dit que je devrais prendre RISPERIDONE toute ma vie à cause des symptômes envahissants , comment se fait il alors que ces symptômes ont diminués ?

Pourquoi êtes vous dans le fatalisme médical et la prédiction du futur ? ( suite de la criti
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L'auteur a été cadre dans une grande entreprise pharmaceutique.
Dans cet essai, qui se lit comme un roman (c'est bien là le problème on a plus de mal à trouver de la crédibilité dans ce qu'il dit!), il nous raconte son parcours. Certes c'est intéressant, mais ce n'est pas le mieux que j'ai lu sur le sujet. Les médecins et experts corrompus, les essais truqués, le lobbying pharmaceutique. . Certes mais ce qui m'a dérangé c'est le ton donné par l'auteur, comme une vengeance (même s'il dit bien que ce n'est pas le cas!).
Bref, il est abordable à lire donc pour s'informer oui, pourquoi pas..
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
[Préface, à propos des ministres français de la santé et de leurs "conseillers"]
Ils ont tous, et toujours, fait preuve d'une méconnaissance renversante, stupéfiante, ahurissante et abyssale de l'aspect médical des dossiers, qui serait risible si les conséquences pour la santé et les finances publiques n'étaient pas si graves.
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