Backdraft : ou si vous préférez "Retour de flamme "est un roman de Kirk Mitchell.
Roman qui est basé sur le scénario du film de Ron Howard . Il est moins connu que ce film qui a paru sur les grands écrans au début des années quatre-vingt dix avec Kurt Russel,William Baldwin et quelques pointures du genre De Niro et Donald Sutherland.
Et le livre me direz vous ? Il reste evidemment fidèle au film ( ce qui est un peu normal, vu qu'il s'est inspiré du scénario ) à part quelques petites différences qui n'ont aucune importance au niveau du déroulé de l’histoire.
Ce livre met en scène deux frères pompiers, très différents de caractère, qui ont perdu leur père ( lui-même pompier ) dans des circonstances dramatiques.
Ils vont se retrouver mêlés à une enquête sur de mystérieux incendies criminels. Stephen, l'ainé, lieutenant de sa caserne, courageux jusqu'à l’inconscience et son jeune frère Brian, tourmenté, manquant d'assurance.
Une galerie de personnages secondaires gravite autour des deux personnages principaux :
On découvre une tranche de la vie de ces hommes pas comme les autres et qui risquent leur vie pour sauver celle des autres.
Mais le véritable heros de cette histoire, c'est indéniablement le feu : il a une personnalité propre à lui, il change les destinées des gens, il peut être caché, sournois et peut surprendre même les personnes qui pensent le connaitre...
lecture sympathique, d'autant plus que la qualité de narrateur de Kirk Mitchell est bien réelle.
3.5/5 en réalité
Challenge ABC 2015/2016
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Bien que pompier moi-même, le récit des incendies est très hollywoodien car trop irréaliste malheureusement. La trame est pas mal mais trop clichée et trop irréaliste, ce qui gâche tout je trouve. Dommage pour ce côté irréaliste et trop joué pour y croire et coller à la réalité.
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La plupart des pyromanes n'ont pas plus d'imagination qu'un grille-pain.
Regarder à travers le pare-brise givré, c'était un peu comme s'il portait une visière intégrale couverte de cendres dans un corridor enfumé.
Ici, seul un uniforme vous conférait une identité. Les civils étaient des esprits invisibles d'une terre étrangère et d'un monde inférieur.
Il était excellent juge de la nature humaine. Mais les putes et les mendigots le sont aussi.