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Quel plaisir de retrouver cette série !

Un an après le tome précédent, Honor se remet de ses blessures. La femme officier supérieure du Royaume de Manticore ne rêve que d'une chose : reprendre le service.

Manticore, regroupant plusieurs planètes, s'attend à ce que la République du Havre déclenche la guerre, aussi Honor est rappelée et affectée au commandement du croiseur de bataille HMS Victoire. Cette nomination prestigieuse marque une nouvelle étape dans sa carrière. En effet, Honor est de plus en plus reconnue comme talentueuse et stratège, sa réputation se répand… même si certains restent suspicieux sur son comportement.

Pour la première fois, nous voyons Honor intégrée dans une escadre, avec des chefs présents au-dessus d'elle : elle n'est plus isolée au fin fond de la galaxie, à devoir diriger seule son vaisseau. le lecteur va suivre un détachement d'armée en mouvement, et non plus uniquement un navire spatial.

Parlons de la situation politique : la République du Havre, calquée sur la France de la Révolution, est dans une fuite en avant de conquêtes. Elle a besoin de piller de nouvelles ressources pour son peuple dont la majorité ne travaille plus et dépend des subsides de l'État. Après s'être emparé de petites planètes, sa cible est le Royaume de Manticore qui maîtrise le noeud central des vers (les vers permettent de voyager au-delà de la vitesse de la lumière). Manticore est non seulement un objectif stratégique en raison de sa géographie, mais aussi riche grâce aux routes commerciales. Inspirée de l'Empire britannique, Manticore a une armée calquée sur la Royal Navy, jusque dans son fonctionnement hiérarchique et l'influence de la noblesse, même si une officier douée comme Honor est reconnue et gravit les échelons. Les poids du protocole et de l'ancienneté ont des conséquences jusque dans les chaînes de commandements ou les promotions, et c'est intéressant d'en voir les impacts.

Le Havre possède plus de bâtiments, Manticore une technologie plus avancée : les asymétries entre les adversaires sont un des enjeux de la série. Dans ce contexte, la course aux nouvelles techniques et aux tactiques innovantes (qu'Honor excelle à inventer) fait bouger les équilibres. À ce propos, rappelons que l'auteur s'est très fortement inspiré des batailles navales d'antan, et ça se sent.

Revenons à l'intrigue : Manticore sait que la guerre est imminente car Havre en a besoin. Elle se prépare, imagine des scénarios, surveille son ennemi… Ennemi qui fait de même. Un des sels du récit est le décalage d'informations entre chaque adversaire, et même entre les différentes composantes d'un adversaire : la distance entraîne de longues durées pour la transmission d'informations, mais aussi pour se déplacer. Les stratégies se comptent en semaines. La plus grande partie du roman est l'avant-guerre, et c'est passionnant car l'humain en est le rouage majeur : parfois la composante clef, parfois la faille. Chaque ennemi essaie de manipuler l'autre. David Weber sait dresser des portraits crédibles et fouillés, et la complexité des relations entre les officiers donne une profondeur à l'intrigue. Honor elle-même, héroïne presque sans défauts et capable de retourner le cours d'une bataille, dévoile un peu de sa faiblesse en privé, en c'est tant mieux car elle était proche de devenir une Mary Sue.

Quant au Havre, même si moins de chapitres sont consacrés à sa situation interne, son évolution préserve le suspens. Quelques personnages dont le nom fleure bon la Terreur (de la Révolution française, oui oui ! Avec Robert S. Pierre et Saint-Just) sont de fins politiques et conspirateurs. le destin de la République du Havre sera sans doute une des choses qui m'intéressera le plus dans les tomes suivants.

Et maintenant, je connais le schéma de l'auteur : une bataille finale époustouflante, où les réactions humaines comptent autant que les prouesses technologiques.

Un roman que j'ai eu beaucoup de plaisir à lire, riche et passionnant.

Lien : https://feygirl.home.blog/20..
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Honor, qui grimpe dans la hiérarchie, plus déterminée que jamais à en sortir avec…les honneurs.
Magnifique 3 ème opus mettant en exergue les dérives de la République du Havre embourbée dans une politique de Sécurité Sociale semblant "exégérée", un gouvernement typé « français » ou belge donc à l'opposé de la société Manticorienne : à l'instar de la monarchie (anglaise ou française 18 ème siècle).
Superbe.
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Salut les Babelionautes
Dans ma troisième ou quatrième lecture de cette Saga j'en suis au tome 1 de "La disparue de l'enfer" mais je fais un break pour donnés mon avis sur ce super Space-Opéra.
Donc nous retrouvons Honor Harrington, devenue comtesse Harrington dans le Royaume de Manticore et Seigneur sur la planète de Grayson, suite aux événements qui l'ont vus les défendre et les sauvés des extrémistes religieux de Masada.
Cette fois-ci l'amirauté lui a confié le croiseur de combat "Victoire", même ci il n'est pas le plus gros vaisseau de la Flotte Manticorienne il porte un nom qui est une légende, celui du Vaisseau d'Edouard Saganami, fondateur de de la Flotte Royale.
Les explications données en fin d'ouvrage permettent de mieux comprendre le rapport de force entre les deux belligérant.
Elle sera encore en bute a son principal ennemi au sein de la Flotte, Pavel Young, mais encore une fois elle va, grâce a la confiance de ses équipages, vaincre.
Mais ce ne sera pas facile et elle devra faire appel a toutes son intelligence pour y arriver.
de plus David Weber nous montre la face caché d'Honor Harrington, car jusqu'ici, sa vie sentimentale ressemblait a un désert.
Bref!! toujours aussi bon et superbement traduit par Florence Bury que je tiens a remercier du fond du coeur.
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Honor est de retour, dans ce 3ème volume de ses aventures, mais en petite forme. Dans Pour l'honneur de la Reine, elle s'en est sortie vivante, mais dans une état physique et psychologique assez pitoyable. Après des opérations longues et douloureuses qui lui ont redonné un visage plus humain, elle est donc retournée sur sa planète pour retrouver un équilibre mental nécessaire dans son métier. Et elle va en avoir besoin, car l'ennemi juré de Manticore, la République populaire de Havre est en pleins troubles politiques. La caste dirigeante a du mal à maintenir son pouvoir sur une population qui vit de plus en plus mal. Et certains utiliseraient bien ces circonstances pour faire un coup d'état. Mais tous se retrouvent pour penser que rien ne vaut une bonne guerre pour ressouder le moral d'un peuple. Et qui, sinon Manticore, ferait la cible idéale ?

Une guerre victorieuse et brève ressemble davantage à une tragédie qu'à un thriller, tant tous les éléments semblent écrits d'avance. La citation qui donne son titre à l'ouvrage l'inscrit dans un cadre historique qui donne des sérieux indices quant à l'issue de cette guerre. Mais là n'est pas l'intérêt principal de ce roman réussi.

Ce pourrait être l'évolution du personnage d'Honor Harrington, qui donne son nom à la série. Il est vrai qu'on la voit bien changer : elle doit se remettre en selle après sa précédente victoire, au bilan horriblement meurtrier, entre autres parmi ses amis ou proches. Elle doit aussi s'humaniser. Et vaincre certains de ses plus horribles fantômes, d'autant qu'ils sont faits de chair et de sang. David Weber réussit pleinement cette transformation, permettant d'ouvrir des perspectives plus réjouissantes pour les tomes qui suivants.

Ce pourrait être aussi les combats, encore une fois très riches et d'une grande rigueur, sans pour autant être assommants. L'auteur parvient à la prouesse de rendre des listes de chiffres intéressantes et des tonnages passionnants, même pour moi qui ne suis pas un obsédé de la taille du blindage de tel engin, du nombre de lasers ou de la taille de la proue par rapport à la poupe. Par contre, pour les passionnés, à la fin de l'ouvrage, on trouve un appendice très (trop pour moi, mais je ne me suis pas forcé à le lire, je laisse cela à ceux qui y ont du goût) détaillé sur les engins de cet univers, les combats et autres données. Bref, je le répète, même sans être un fou de guerre, j'ai pris un grand plaisir à la description des combats entre les différentes factions et, surtout, des tactiques mises en oeuvre pour piéger l'adversaire. C'est impressionnant !

En fait, ce qui me semble être l'essentiel de ce troisième volume, c'est le côté politique et les déchirements qui traversent la République de Havre. L'auteur pense, c'est évident, à l'ex-U.R.S.S. (voire à la France, car on y trouve La Nouvelle-Paris) et à son système étatique désastreux, machine à broyer l'humain. D'ailleurs, il est amusant de voir qu'il lui oppose le modèle anglais, avec sa hiérarchie rigide et, selon lui, salvatrice et ses écoles d'élite qui valent mieux que les écoles havriennes ouvertes à tous. Idée à laquelle on peut réfléchir et qu'on peut approuver, ou non. Heureusement, il ne se montre pas (trop) manichéen et montre tout de même une faille de ce système manticorien : les familles les plus puissantes s'arrogent des passe-droits qui amènent parfois à des désastres.

Une guerre victorieuse et brève est une réussite car, s'il poursuit dans la lignée des deux précédents, il renouvelle un peu l'intérêt de la série en ne se contentant pas de l'univers guerrier essentiellement parsemé de combats. La psychologie des personnages est toujours bien travaillée et le côté politique est vraiment pris en compte et utilisé comme point central du récit. Cela ne peut que m'inciter à poursuivre la lecture de cette saga.
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Je vais tout de suite reconnaître mes faiblesses : je suis une lopette face au talent de page-turner de ce genre d'auteur. Et qui plus est, je garde des souvenirs émus de ma jeunesse face à Albator et autres Cobra.Voilà sans doute pourquoi j'apprécie ce genre de lecture d'un premier degré affligeant, d'un militarisme dégradant et, surtout, d'un manichéisme tellement dépassé !Mais quels sont les points à sauver de ce troisième tome ?Certainement pas l'appendice qui nous explique l'état de la marine spatiale des deux nations s'affrontant avant le début des combats (alors précisément que ce roman nous parle de ce début ddes combats. Sans doute que cet appendice aurait été plus à sa place dans le second tome ...).Pas non plus les choix technologiques de l'auteur, que je trouve risibles, même si j'approuve complètement l'idée de reproduire dans l'espace des batailles navales napoléoniennes. Des choix risibles ? Oui. Reprenez d'autres space-operas, comme Vorkosigan, ou [b:l'aube de la nuit|2594894|Romain Gary Coffret 4 volumes Chien Blanc ; La promesse de l'aube ; La nuit sera calme ; Pseudo|Romain Gary|http://ecx.images-amazon.com/images/I/41ZZQTDP80L._SL75_.jpg|2616513]. Et vous verrez ce que c'est qu'une vision un peu intelligente du combat spatial. Et pourtant, c'est amusant comme exercice intellectuel, je trouve.Ni la partie politique de l'intrigue qui fait pàle figure à côté d'un Miles Vorkosigan, par exemple.Et pourtant, je suis quasiment fan. Sans doute parce qu'à cause des choix technologiques (ou gràce à eux), notre auteur s'amuse à mettre en place des combats qui ont une élégance certaine. Et je crois bien que c'est pour ces cinquante dernières pages de combat spatial que j'aime les aventures de cette femme capitaine.Je passerai donc sur ces éternelles phases d'auto-apitoiement, mais aussi sur cette vision de la politique qui consiste à considérer (encore une fois) les seuls militaires comme interlocuteurs dignes de ce nom.Bref, rien ne change par rapport au tome précédent. C'est assez limite moralement, mais pourtant très plaisant car bien écrit et plein de bruit et de fureur.Je ne vous conseillerai de le lire que si vous êtes fans de l'idée de voir des montagnes d'acier se précipiter les unes vers les autres à des vitesses quasi-relativistes (ah, tiens, non. Un calcul montre qu'à 500 G, il faut 17 heures pour atteindre la vitesse de la lumière, donc 1,7 pour passer dans le domaine relativiste). Bon bref, c'est bourré de défaut, mais je les aime bien, moi, ces défauts.
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(Chronique commune aux quatre premiers tomes, écrite à l'occasion de la parution des tomes suivants)
Lus il y a six ans (2012-2013) lors de leur parution, j'avais dévoré ces quatre premiers tomes d'une longue saga, avant que J'ai Lu n'arrête de les publier. J'avais ainsi plongé dans l'univers de cette commandante de navire de guerre, avec des séquences dignes de romans de pirates mais transposés dans un futur dans lequel les humains ayant colonisé de nombreuses planètes à travers la galaxie s'affrontent avec des croiseurs et des super-cuirassés de l'espace de plusieurs kilomètres de longs.

Les batailles spatiales y sont épiques, et les aventures de cette femme passionnantes, qui fait face à tant d'adversités. L'auteur prend le temps de développer les tenants et aboutissants des situations géopolitiques de cet univers particulièrement vaste, ça peut un peu trop s'étirer parfois, mais ça donne un ensemble d'une grande richesse qu'on a envie d'explorer encore et encore.
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Un nouveau chapitre de la vie de notre grande Honor Harrington devenue comtesse grâce à ses précédents exploits et sacrifices.

Ce nouveau volet nous permet de mettre en place une nouvelle stratégie politique du côté du camp des Havriens (les grands adversaires de Manticore et donc de notre héroïne). On sent que nous allons partir sur de nouvelles méthodes dans les prochains tomes. En attendant les Havriens sont toujours décidé, malgré leurs précédents échecs, a prendre le contrôle de Manticore et de son secteur.

D'un autre côté nous rentrons plus dans la psychologie d'Honor, dans son passé, dans les raisons qui font d'elle ce qu'elle est aujourd'hui. Une femme sans relations personnelles, qui semble forte et indestructible malgré tout ce qu'elle peut traverser. Elle va retrouver le monstre de l'époque de l'école militaire, Pavel Young un homme qu'elle déteste plus que tout (sûrement même plus que les havriens eux même).

Ce nouveau tome des aventures d'Honor Harrington m'a vraiment fasciné, j'ai vraiment aimé rentré plus dans la vie de notre commandant. La guerre est moins présente, on est d'avantage dans la stratégie et dans la mise en place d'un nouveau cycle je pense. Un bon roman SF Spatial.
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Pour ce troisième tome de Honor Harrington les enjeux montent encore d'un cran. Le tome précédent nous dévoilait ce dont elle était capable au sein d'un détachement de combat, mais cette fois-ci la voila qui se retrouve affectée à un avant-poste qui serait en première ligne en cas de guerre avec la République Populaire du Havre en tant que capitaine de pavillon d'un groupe d'intervention complet ! Ce poste est l'occasion de prouver ce qu'elle vaut au sein d'un dispositif plus grand car elle est placée sous les ordres du très charismatique contre-amiral Mark Sarnow.

Avec cette nouvelle affectation lui vient un nouveau vaisseau: le Victoire, mastodonte d'un kilomètre et demi de long qui lui réserve quelques bonnes surprises comme la présence à bord de sa meilleure amie comme son commandant en second.
Mais Honor fera également de nouvelles rencontres comme le radoubeur Paul Tankesley, le capitaine Ernestine Corell, capitaine d'état-major de Sarnow ou s'attirera l'inimité de Sir Yancey Parks, commandant de l'avant poste Hancock ou elle est affectée ainsi que du capitaine de frégate Houseman.Et de vieux ennemis resurgiront pour la tourmenter.
La galerie de personnages présentée est toujours aussi diverse, solide et attachante ou haïssable en fonction de qui on parle.

La guerre entre Manticore et Havre débute bien dans ce tome mais le récit ne s'emballe véritablement que dans les cent dernières pages. Pour en livre qui en fait environ cinq cent c'est peu. Cependant le récit reste intéressant, étant émaillé d'exercices de combat, d'intrigues politiques (que ce soit à Manticore ou Havre) et se penche aussi sur les relations entretenues par Honor. Cette dernière gagne encore en personnalité et en humanité dans ce livre, des événements marquants de sa jeunesse sont dévoilés et nous permettent d'entrer dans son intimité, nous rapprochant encore un peu plus d'elle.

En plus de creuser le personnage principal, ce tome s'intéresse beaucoup à la stratégie et aux équipement en service sur les bâtiments des flottes manticorienne et havrienne. C'est intéressant et malgré l'habituel jargon scientifique qui peut rendre le tout un peu difficile d'accès.

En bref Une guerre victorieuse et brève est dans la droite lignée de ses prédécesseurs. Cependant la construction crescendo des romans commence un peu à se faire sentir et malgré l'incontestable sentiment tension et d'urgence ressenti dans les scènes d'affrontement des les derniers chapitres du livre, il serait de bon ton que les prochains tomes soient un peu plus dynamique plus tôt dans le récit.
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Un tome trois au rythme assez lent, l'auteur prend son temps pour poser le contexte et on a droit à un inventaire détaillé des arcanes de la politique Havrienne accompagné d'une belle description des plans visant à conforter l'emprise du pouvoir en place.
Un plan qui se résume à une formule latine bien connue des amateurs d'histoire : "Si vis pacem, para bellum" !
C'est précis et détaillé si l'on considère que l'action va se dérouler essentiellement dans le dernier tiers du récit, avec un beau suspense (relatif), j'ai apprécié le côté mesuré et sans outrance des scènes d'action et de combat, Honor est là, certes (et bien sûr !), mais elle n'est pas seule et ne va pas tirer la couverture à elle toute seule.
Il s'agit là de "hard SF", c'est donc assez technique et les explications sur la vitesse ou l'armement utilisé pourront en rebuter plus d'un, toujours le souci de précision de l'auteur que j'apprécie pour ma part.
Autre satisfaction, l'aspect psychologique est toujours aussi soigné et les interactions entre les différents protagonistes de l'histoire n'en sont que plus passionnantes à suivre, ça donne une touche d'authenticité assez peu courante dans ce type de littérature, c'est brillant !
Et puis il y a Honor tout simplement, on a appris à l'apprécier dure comme le silex, complexée et assez rigide disons le, on va la découvrir avec plaisir dans un registre plus intime, car elle est très humaine finalement (comme nous en fait !).
C'est donc, selon moi un récit au rythme très atypique, lent, précis, intime et pouvant basculer dans le bruit et la fureur, c'est une expérience de lecture intéressante.
Pour finir il est impossible de ne pas évoquer Nimitz, le chat empathe et âme damnée d'Honor, il fait plus que partie des meubles, il est indispensable !
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Pour résumer, ce troisième tome de la saga Honor Harrington confirme David Weber au panthéon des grands auteurs de hard sf. Il maîtrise toujours aussi bien son sujet et est hyper immersif. Si Une guerre victorieuse et brève contient moins d'action que les tomes précédents, il permet une évolution majeure sur le plan politique ainsi qu'un développement psychologique intéressant pour notre héroïne. Je recommande toujours autant cette saga aux fans de science-fiction mais attention. Ce n'est pas à la portée de n'importe quel lecteur et ce n'est certainement pas une lecture détente. On ne classe pas Honor Harrington dans la hard sf pour rien, vous êtes prévenus.
Lien : https://ombrebones.wordpress..
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