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Zombie Story tome 1 sur 3

Frédéric Truchaud (Traducteur)
EAN : 9782811203474
416 pages
Milady (11/06/2010)
3.25/5   257 notes
Résumé :
De la chair fraîche dans le monde des zombies !

À la suite d’une catastrophe mondiale les pays les plus développés sont envahis par des hordes de zombies cannibales. Seules quelques enclaves subsistent, en Somalie notamment.
À la recherche d’un remède au virus, un groupe d’adolescentes surarmées, menées par un vétéran, se rend à New York.

Tous se croient préparés au pire. Mais dans l’île de Manhattan en ruine, ils vont bientôt dé... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (55) Voir plus Ajouter une critique
3,25

sur 257 notes
Original mais décevant.

Premier tome d'une série de trois livres sur l'univers Zombie suivi de Zombie Nation et de Zombie planet (Notez la gradation).

L'épidémie a déjà eu lieu et on n'apprendra rien de plus dans ce tome. le monde occidental est tombé et quelques îlots survivent là où la concentration d'armes par habitant était maximale. Bizarrement, pas aux USA (tiens pour une fois) mais dans quelques pays du tiers-monde. Notamment en Somalie.
Dekalb, ancien des nations unies, accepte, pour sauver sa peau et celle de sa fille de 7 ans, de retourner à New York pour aller chercher des médicaments pour lutter contre le VIH dont est atteinte la chef de la République des femmes libres somalienne. Il sera pour ce faire accompagné d'une troupe d'enfants soldats (de sexe féminin bien sûr). Sur place il sera confronté aux morts-vivants par millions et notamment un : Gary un zombie intelligent retors et manipulateur.

Oui, on sort des sentiers battus. de la sempiternelle construction : L'épidémie arrive, un groupe de survivants s'organise et lutte à mort contre des zombies décérébrés, mais est-ce pour autant une bonne idée ?
Cette originalité, au point qu'on passe de la science fiction au fantastique avec momie égyptienne, vieux druide et réseau mental ne m'a pas du tout emballé.
De plus notre héros, aussi charismatique qu'un poulpe mort depuis trois semaines, passe du pleutre au super héros en quelques pages, sans que personne n'y trouve rien à redire où que l'on comprenne pourquoi.

Bref, le roman reste assez peu crédible et est heureusement sauvé du naufrage (selon mon sens et mon goût) par quelques belles scènes d'action, elles, tout à fait classiques.
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Effectivement, original mais décevant. Je retrouve bien l'auteur du cycle fantasy des "Sept Lames" avec ses personnages creux ou têtes à claques et ses backgrounds superficialo-foireux, donc je ne suis pas convaincu…
D'un côté on a un récit horrifique post-apo qui pioche dans les désormais classiques du genre : "World War Z", "The Walking Dead"… D'un autre côté on a un récit horrifique presque fantasy avec des goules, des momies et une liche picte. Il y a une dose de 2e degré assumé, assez plaisante d'ailleurs mais pas sûr que le mélange entre "Le Jour des morts-vivants" de George Romero et "Une nuit au Musée" de Ben Stiller évite l'écueil du mariage de la carpe et du lapin !

OK c'est bien écrit, OK c'est bien construit avec ces 3 parties de 20 chapitres qui alternent le POV de Dekalb à la 1ère personne et le POV de Gary à la 3e personne. Mais si l'auteur sait se montrer efficace, tout cela respire l'artificialité. Il y a ainsi moult coupures dans le récit qui n'existent que pour conserver l'équilibre du roman, donc on se retrouve avec moult scènes de pur remplissage. En plus des facilités, j'ai si rapidement ressenti des airs de déjà-vu... Impossible de m'enlever l'idée de la tête que l'auteur s'est dit « Tiens les zombies ça vend bien en ce moment, moi aussi je vais m'y mettre. », et comme il a aussi officié sur un cycle de bit-lit à vampires et un cycle de Fantasy à capuche, je ne dois pas être loin du compte finalement.

Ah ça, cela se lit très bien et très vite : les pages défiles tout seul. Les scènes d'action sont nombreuses et plutôt de bon aloi, mais assez répétitives durant une bonne partie du roman : on explore, on tire un coup de feu, on fuit une horde de zombies, et on se replie avant de prendre la poudre d'escampette... Et c'est vite reparti sans guère de transition pour un nouveau cycle.
Mais comme dans n'importe film d'action raté digne de nanarland, le pitch est peu ou prou incohérent et/ou débile :
- Pourquoi faire une introduction à la "War World Z" si c'est pour que tout le roman se déroule à Manhattan ???
Le pire étant que le cadre n'est même pas bien exploité car on ne va pas au-delà de la mention d'avenues, de rues, de bâtiments et de monuments très connus... La palme revenant au supervilain qui construit sa forteresse au milieu de Central Park comme dans tous les comics depuis les années 1960. L'auteur New-Yorkais reste dans une zone de confort newyorkaise ?
Car en plus cette introduction n'évite aucun cliché digne du café du commerce américano-américain : le Tiers-Monde navigue entre dictatures et anarchies, l'Afrique entre SIDA, misère et seigneurs de la guerre, la Somalie entre fondamentalisme musulman et barbarie musulmane (avec des laïus sur excision et infibulation et la mention de la chute du Faucon Noir…). Et alors qu'on esquive pas mal de trucs, on est très prolixe sur la description des armes à feu… Pire, il y a certaines tirades qui semblent droits sorties du service marketing de la National Rifle Association !
- Pourquoi ce commando somalien traverse-t-il la moitié du monde pour aller chercher des médicaments contre de SIDA à New York, alors que les usines de productions de médicaments destinés à la trithérapie sont essentiellement situées en Afrique du Sud et en Inde qui sont beaucoup plus près niveau kilométrage ? On nous explique que le monde entier a été pillé par les réfugiés, mais pas New York et ses 25 millions d'habitants... Suspension d'incrédulité au carré…
- Et pourquoi arpente-on la moitié de Manhattan à pieds quitte à rameuter tous les cadavres ambulante anthropophages d'une mégapole alors qu'on est venu en bateau et que l'objectif est à 100 mètres de l'East River ? Là on prend quand même le lecteur pour une andouille… Au final j'avais plus l'impression d'avoir été dans un univers de jeu vidéo genre "Left 4 Dead", "Dead Island", "Dead Rising" voire "Resident Evil" que dans un univers à la George Romero. Les gamers peuvent apprécier, mais là c'est reste quand même assez léger.

Mais au final, le véritable problème reste que personnages principaux n'ont aucun charisme tellement ils sont mainstream, les personnages secondaires n'ont aucune personnalité donc sont morts dans mon indifférence la plus totale. Ayaan l'adolescente commando, Osman le pilote de bateau, Jack l'ex ranger et Marisol la femme enceinte à la langue bien pendue ou Mael la liche picte et ses potes momies peinent à tirer l'intrigue vers le haut.
Le pire est que les personnages changent du tout ou tout sans préparation, sans explication et sans exploitation…


Un roman distrayant qui remplit son office, mais guère plus donc aussitôt lu aussitôt oublié. Peut-être même plus un roman de plage qu'un roman de gare. J'aurais bien mis 3 étoiles mais niveau ressenti je suis plus près de 2 étoiles que de 4 étoiles. Niveau livres ma culture zombie laisse quand même à désirer donc je manque de points de comparaison, et ici je dois avouer qu'après "World War Z" le choc a été rude… Si vous avez des titres de bonnes séries de zombies, je suis preneur car ne veux pas rester sur ce semi-échec !
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Original et bien mené. une bonne histoire de zombies.
Les idées sont intéressantes, les personnages aussi (il n'y a pas de héros tout puissant ici, c'est ce qui m'a plu), quelques incohérences bien sûr, mais le roman se lit bien, j'ai vraiment bien aimé.
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Et me revoilà parti dans une énième histoire de morts-vivants ! Après sa saga réussie Vampire Story, David Wellington, alias David Chandler pour d'autres histoires de fantasy, lance Zombie Story qui débute avec ce premier tome, Zombie Island. Résultat : je suis assez circonspect, et d'ailleurs ma critique sera à l'image de ma lecture : hésitante, laissant à désirer et partant un peu dans tous les sens tant parfois l'intrigue m'a perdu par manque de cohérence.


Dans Zombie Island, les morts-vivants sont déjà bien installés quand on découvre les principaux protagonistes. À l'aide de quelques flashbacks, rappels ou éclaircissements, on découvre comment l'horreur est venue, mais parcimonieusement et sans réel intérêt car l'important est ailleurs. En effet, David Wellington construit son récit autour de deux personnages, Dekalb et Gary, tous deux subissant l'épidémie mais de manière radicalement différente, c'est le moins que l'on puisse dire. La narration se divise en trois grands actes, séparés classiquement de temps forts et marquants. Après une première partie très bien menée et plutôt captivante (sans en dévoiler davantage, car les spoilers partent vite sur ce roman), on peut constater que le scénario part franchement dans le grand-guignolesque par moment, mais au moins David Wellington fait preuve d'originalité (trop peut-être), mais au moins il essaye de sortir complètement des sentiers battus et rebattus des histoires de morts-vivants. À l'inverse, je ne peux franchement pas comprendre l'intérêt de placer son propos à New York : l'auteur voulait sûrement se retrouver dans un endroit connu de lui et particulièrement emblématique, mais ce passage-là, cette idée de traverser l'Atlantique à bord d'un chalutier pour quelques médicaments et qui permet de justifier l'ensemble du roman, ça ne paraît pas des plus heureux, et surtout pas des plus cohérents quand on cherche à éviter les lieux-communs du genre.

Le grand avantage avec les histoires de morts-vivants, c'est qu'on peut toujours, et dans absolument n'importe quelle circonstance, faire évoluer l'état d'esprit et la personnalité d'un personnage par le biais d'un choc émotionnel. Autant le dire tout de suite, David Wellington se sert de cela dès qu'il en a cruellement besoin. C'est un auteur humain, pourrait-on dire. Au fur et à mesure du récit, l'auteur utilise également ce procédé scénaristique qui m'énerve tant : faire dire au narrateur-personnage principal (qui a sûrement survécu, puisqu'il nous raconte son histoire, donc déjà gros spoiler pour nous lecteurs à moins d'un revirement complet de situation !) ce qu'il pense de la situation et presque nous dévoiler ce qui va se dérouler une page plus loin. Enfin, ce qu'on pourrait reprocher le plus à ce roman, c'est la vraie volonté de faire du gore dont fait preuve David Wellington, et ce à outrance et pas forcément de la bonne manière.


En conclusion, un roman de morts-vivants distrayant, mais qui pêche par une intrigue « light », des personnages creux et des procédés scénaristiques douteux. On peut tout de même se passionner pour le pouvoir incommensurable de certains morts-vivants, idées originales pour une fois, ce qui laisse quelques portes ouvertes assez intéressantes.

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Après avoir lu « Vivants » de Isaac Marion en avril dernier, je me plonge maintenant dans « Zombie Island » et j'en ressort complètement conquise !!! Franchement, j'ai adoré !!!

Delkab est représentant des Nations Unies, inspecteur aux armes, enfin c'était avant, maintenant, il n'y a plus d'Europe. Seule le Moyen-Orient (l'Afghanistan, le Pakistan, la Somalie) s'en sort encore plutôt bien. Il y a eu une Épidémie et les morts ont commencés à revenir à la vie. Il est parti avec une armée en bateau d'Afrique à la recherche de médicaments à New-York aux États-Unis pour les rapporter à Mama Halima, la présidente à vie de la Somalie atteinte du sida.
En arrivant à New-York et après s'être fait attaqué par une horde de morts-vivants et s'être protégé dans un Virgin Mégastor, le petit groupe va prendre la route pour retrouver ses fameux médicaments. Parce que tant que Delkab n'aura pas les médicaments il ne pourra pas renter pour revoir sa fille Sarah.

Dans la première partie du livre, on suit l'arrivée du bateau dans le port de New-York . Puis la découverte de la ville et ce qu'il en reste et ce qu'elle est devenue. Nous découvrons la rencontre avec Gary, le mort-vivant. Puis dans la seconde partie, Delkab et Gary se sont séparés et chacun de leur coté. Ils vont essayer d'aller jusqu'au nous de leur quête respective. Gary recherche le Bienfaiteur, une sorte de Dieu avec qui il peut parler... Pendant ce temps Delkab, cherche toujours les médicaments, il va rencontrer un gros groupe de survivants...
Arrivé à la troisième partie qui est en fait une autre rencontre entre Delkab et Gary, mais celle-ci d'un autre genre...

Gary est devenu un zombie. Il était médecin et pour ne pas servie de déjeuner aux zombies qui ont envahi New-York, il s'est branché à un appareil à respiration artificielle et en suite il a plongé dans une baignoire remplie de glace. Ça a eu pour effet d'arrêter son coeur instantanément, mais l'oxygène a continué à alimenter son cerveau. Quand il s'est réveillé, il était toujours capable de penser par lui même. Il est toujours capable de se contrôler et surtout, il peut toujours parler.

Les morts-vivants mangent de la viande, de la viande vivante c'est mieux et surtout c'est la meilleur de toute. Ils mangent tout ce qui est vivant même les fleurs et rongent l'écorce des arbres. Quand ils mangent de la viande vivante, ça leur donne une sorte de force vitale, une énergie qui les aide à ne pas s'effondrer et à rester « bien portant ». « C'est à dire en un seul morceau ».

J'espère en avoir assez dit pour que vous compreniez de quoi il s'agit sans en avoir dit trop... Comme je le disais plus haut, j'ai adoré !!! C'est une histoire qui bouge du début à la fin avec beauxoup explications et de détails, sauf peut-être ce qui c'est passé pour qu'il y ait cette Épidémie... J'ai trouvé le personnage de Gary super !!!
Mais il faut le découvrir et je vous laisse tout le loisir de le faire en lisant ce livre qui ne toute que 5€ chez Milady (Éditions Découverte) !!! Vite la suite !!!

Une très belle lecture, à découvrir même si vous n'êtes pas amateur de zombies !!!
Lien : http://tousleslivres.canalbl..
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Citations et extraits (32) Voir plus Ajouter une citation
Un monde sans une Amérique, cela ne pouvait pas se produire : l'économie mondiale s'effondrerait. Tous les seigneurs de guerre à deux balles et les dictateurs du tiers-monde connaîtraient un jour mémorable. C'était impossible, tout simplement. Cela signifierait le chaos mondial. Cela signifierait la fin de l'Histoire telle que nous la connaissons.
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[Jack] - J'étais ranger dans le 75e.
Il ne semblait pas éprouver le besoin d'expliquer ce que cela pouvait signifier. À en juger par la façon dont Ayaan se crispa et laissa échapper une petite exclamation, je fus à même de remplir avec hésitation quelques blancs. Le 75e régiment de rangers, comme cela me fut confirmé par la suite, était la compagnie qui avait tenté de capturer Mohammed Aidid à l'Olympic Hotel à Mogadiscio en 1993. Le résultat de cette opération fut que, pour la première fois dans l'Histoire, le cadavre d'un soldat américain avait été traîné dans les rues d'une capitale étrangère.
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Je le savais mieux que quiconque. Cela aurait pu aussi bien être l’un des problèmes que j’avais eu à résoudre quand je suivais ma formation aux Nations unies. À raison de 710 mètres par seconde – approximativement deux fois la vitesse du son au niveau de la mer par une journée ensoleillée – les balles pouvaient imprimer une force importante sur ces casques, mais elle serait atténuée par les mailles des fibres antibalistiques du Kevlar garnissant l’intérieur. Le genre de chose qu’un inspecteur aux armements des Nations unies était censé savoir. Que la cible soit vivante ou morte-vivante n’avait pas été l’une des variables que nous ayons eu besoin de prendre en compte.

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- Maintenant, il n’y a plus que deux combinaisons. Devine qui vient de se porter volontaire pour cette mission ? lui demandai-je.
Cruel, je sais. Toutefois, elle n’avait pas particulièrement fait preuve de cordialité à mon égard. Elle était également l’une de seules filles sur qui je pouvais compter pour ne pas paniquer au cas où nous serions confrontés à une foule de morts-vivants, protégés uniquement par trois couches de Tyvek de qualité industrielle. Le Tyvek, bien sûr, étant une forme très high tech de papier.
- Normalement, lui expliquai-je, ces combinaisons protègent des produits contaminés. Cette fois, elles retiendront notre odeur. Les morts n’attaquent pas quelque choses qui a une odeur de plastique et ressemble à un Teletubby.
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Pour le bien ou pour le mal, je fais ce que j'étais destiné à faire. Peu importe ce que nous choisissons. Tout ce qui compte, c'est ce que nous sommes.
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