Depuis l'au-delà

J'ai adorée retrouver un univers approchant du cycle des anges ou des dieux, j'ai appréciée retrouver un membre de la famille wells et les passages de l'encyclopedie.
un bon moment de lecture

Cher M Werber,
J'ai cru comprendre à la lecture de ce livre, que vous aviez quelques différents avec les critiques littéraires. Ne les écoutez pas! J' aime votre façon de nous emmener dans un univers bien particulier, en l'occurrence ici celui de la vie des âmes après la mort. le tout ponctué d'extraits de l'encyclopédie du savoir relatif et absolu. Et vous faites de nombreux clins d'oeil à des personnalités devenues des âmes errantes: Conan Doyle, bien sûr et même Francois Mitterrand! Vraiment, je me suis régalée, le tout ponctué de votre dose habituelle d'humour! En attendant, vos détracteurs l'ont dans l'os, car ce qui compte le plus est de donner envie de lire; alors à quand le prochain roman?!

lu entre 21 et le 25 avril
ca faisait quelques temps que je n’avais plus lu cet auteur et j’avoue avoir pris un certain plaisir a le retrouver. J’ai tout de suite reconnu son style et l’ambiance qu’il arrive a donner dans ses romans.
C’est dommage mais seul le denouement m’a laissé un peu sur ma faim..

Je l'ai terminé hier soir. J' ai trouvé cette histoire sympathique...un peu fantaisiste mais attachante. le suspense est bien soutenu mais la fin m'a déçue. Bon je suis un peu réconciliée avec Bernard Werber

histoire tres prenante

Ce livre raconte l’histoire de Gabriel Wells, un écrivain de romans à suspense assassiné on ne sait par qui. Il se retrouve dans l’au-delà en pur esprit avec une énigme à résoudre: pourquoi et qui m’a tué? Lucy Filipini, une médium, va l’aider à mener son enquête entre monde matériel et monde invisible. Du suspense jusqu’au bout (je ne vous dévoilerai pas le dénouement!).

On ne présente plus Bernard Werber. Journaliste, écrivain, romancier né à Toulouse, il est l’auteur d’une cinquantaine d’ouvrages dont des romans de science-fiction, des nouvelles, pièces de théatre, BD… traduits dans une trentaine de langues. Avec ce roman l’auteur s’ouvre à un autre système pour bousculer les choses établies. C’est un livre à mi-chemin entre le roman policier et le roman de science-fiction tout empreint de spiritualité. Un livre plein de rythme, de suspense et d’humour.

Il utilise avec bonheur un genre littéraire très ancien à savoir le dialogue avec les morts pour asseoir son intrigue. Il est parti d’une idée: les âmes errantes (des esprits en sursis) sont présentes dans de nombreuses religions. Pourquoi ne pas imaginer que la mort puisse être une libération et paradoxalement la naissance une douloureuse incarnation?
Puis il a construit une enquête menée depuis l‘au-delà par un écrivain tout fraichement décédé qui refuse de se réincarner tant qu’il ne connaitra pas le nom de son assassin. Il se fait aidé sur terre par une médium ressemblant physiquement à Hedy Lamarr, une star hollywoodienne des années 30 que le personnage adore. J’ai beaucoup aimé que le lecteur soit impliqué dans le déroulement de l’enquête. A la manière des romans d’Agatha Christie, quand nous tentions de deviner l’identité de l’assassin au fur et à mesure que nous tournions les pages.

Tous les ingrédients sont réunis pour passer un excellent moment: une bonne intrigue, deux personnages principaux bien campés et plusieurs personnages secondaires qui servent la narration. Le lecteur évolue en compagnie de Gabriel Wells, le romancier assassiné, Lucy Filippini la médium inspirée de Patricia Darré, Thomas le frère jumeau de G.Wells qui est son opposé sur bien des traits de personnalité, l’ex fiancée de Gabriel, l’éditeur, le critique littéraire. Alors qui peut bien en vouloir autant à l’écrivain pour l’assassiner par le poison?

Werber s’est apparemment bien amusé avec ses personnages. Il en profite également pour distiller avec finesse au détour d’une page sa propre vision de son métier et de la littérature (par exemple au travers du combat entre les âmes des auteurs classiques et celles des auteurs défendant une littérature imaginaire). Autre originalité que j’ai apprécié: il inclut dans son récit des extraits numérotés d’une encyclopédie imaginaire « Encyclopédie du savoir relatif et absolu » rédigée par Edmond Wells, un ancêtre du personnage principal. L’air de rien on apprend des choses sur le monde des morts, des fantômes, du mouvement spirite, Conan Doyle ou le magicien Houdini, les médiums célèbres.
Je recommande.

Ha ! Ça fait plaisir de retrouver du grand Werber ( j'avais été un peu déçu par le roman précédent : Demain les chats ). du suspense, un peu de science, une pincée de philosophie, aromatisé d'humour et de légèreté, saupoudré d'une bonne dose de fantastique… La recette est gagnante : j'ai dévoré le livre en un rien de temps.
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Un livre sur la mort et l au dela facon ghost une fin un peu decevante .une reflexion passionnante sur la vie apres la mort .