Les fourmis de
Werber font partie de ces livres qu'on vous vantent en disant "vous devez l'avoir lu", c'est donc avec joie que j'ai acheté le premier exemplaire lorsque je l'ai trouvé pour trois fois rien.
L'aventures s'est vite retrouvée plaisante : un bon style, une façon sympathique de présenter les choses en passant des Humains aux fourmis et des intrigues qui nous donnent toujours plus envie d'aller plus loin. J'ai apprécié de n'être jamais perdue même en lisant un petit peu tous les jours au lieu d'un texte suivi.
J'ai vraiment apprécié la façon dont il a abordé le côté fourmi. La façon de retranscrire leurs communications, de nous plonger dans leurs univers et même les options choisies pour nous décrire les choses, nous laissant deviner ce que sont "les choses plates" ou "les choses roses par cinq" ou, tout simplement, le fait que nous en apprenons plus sur
les fourmis et sur le monde animal d'une façon joliment écrite. Mis à part quelques passages qui me semblaient plus lourd et un peu trop expliqué, j'ai apprécié le voyage.
Jusqu'à ce que la fin arrive...
Un résultat que j'ai attendu pendant tout l'ouvrage qui, à mes yeux, tombe à l'eau par des illogismes et un affreux deus ex machina. Je vois là une solution de facilité voire à un manque de réflexion sur le genre humain lui-même. Comme si
Werber avait tellement peaufiné
les fourmis qu'il avait oublié comment les Hommes fonctionnaient...
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