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3,96

sur 14389 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Une lecture en demi-teinte pour moi :
- J'ai adoré la partie "myrmécéenne". C'est une immersion totale dans le microcosme et le règne animal.
- En revanche, la partie "humaine" manque cruellement de crédibilité... Je ne parle pas des technologies avant-gardistes, c'est le propre de la science fiction. Je pense aux réactions des différents personnages... Je ne sais pas si le caractère des fourmis est fidèlement restitué mais je sais que les humains de ce livre manquent fortement d'anthropomorphisme.
C'est d'autant plus regrettable qu'il y avait amplement matière à faire une excellente fiction uniquement avec la partie immersive dans le monde des fourmis.
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Après avoir beaucoup entendu parler de cet auteur, j'ai voulu me lancer avec un de ses livres les plus célèbres. Je n'ai pas été déçue, la plume est très agréable et même les points de vue des fourmis sont très compréhensibles et prenants à lire. Je n'ai pas l'habitude de lire ce genre de livres et c'était une très bonne découverte. En apprendre autant sur les fourmis était très intéressant, c'est avec plaisir que je lirai un autre livre de Bernard Werber.
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Une énigme en terre « fourmilière », où les protagonistes ne sont autres que 323, 56, 137231 et 4000, des fourmis de la cité de bel-o-kan.
Un récit singulier, audacieux (par le thème), parfois même drôle. Un peu de curiosité et de créativité font toujours du bien!
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Une aventure captivante au niveau du sol, en mode miniature, riche en informations, parfaitement documentée et entraînante. Une réussite du genre "roman scientifique". Ce n'est pas un style très poétique, mais c'est efficace et l'intrigue est plutôt bien menée.
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Un thriller au pays des fourmis !!
What else ?
Complètement addictif, impossible à lâcher avant la fin...
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Bien que cela fasse très longtemps que j'ai lu "les fourmis", il m'en reste suffisamment d'éléments à l'esprit, même si je serais bien incapable d'en résumer l'intrigue en détail.

On y suit en tout cas l'effervescence d'une fourmillière au travers de personnages venant de différentes "castes", qui ont donc normalement chacun leur rôle (ouvrière, soldat, reine...).
Si l'intrigue pouvait sembler basique, l'univers, lui, est tout à fait atypique, et je me souviens être vraiment rentré dans ce livre qui en plus nous apprend une multitude de chose sur les fourmis.
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1ère lecture d'un ouvrage de Bernard Werber !

Les Fourmis nous racontent l'histoire parallèle de la société humaine et de la société sous terre d'une colonie de fourmis, sur fond de guerre de pouvoir et de mystère.

Un ouvrage pour le moins déstabilisant, qui nous en apprends plus sur ces insectes mais surtout, qui est construit comme un livre policier. Et qui dit livre policier dit enquête et secrets, qui se dévoilent au fur et à mesure des pages, avec un climax atteint à la fin du livre.

La force de ce roman est de nous plonger dans l'univers de ces petites bêtes comme si on y était : elles sont à la fois personnalisées de façon humaine, mais juste ce qu'il faut pour ne pas tomber dans de l'anthropomorphisme trop poussé.

J'ai eu du mal à rentrer dans le livre, mais une fois lancée, je me suis surprise à tourner les pages fébrilement pour connaître la suite. La brillante idée du roman est réellement de l'avoir construit sous forme de livre policier, qui tend au fur et à mesure sur un livre fantastique, pour nous accrocher à cette société de bêtes grouillantes à nos pieds.

Le petit bémol des Fourmis est pour moi le traitement des humains finalement. Si leur histoire ajoute une part de mystère qui ne se dévoile qu'à la toute fin, et qui est en plus indissociable de l'épopée de nos petites bêtes à 6 pattes, j'ai été particulièrement choquée du traitement de certains personnages, et j'ai trouvé le propos peu crédible à ce niveau.

Ce pan du récit étant pourtant la clé de l'énigme de ce 1er livre, on prend son mal en patience jusqu'aux derniers chapitres, pour connaître le fin mot de l'histoire.

Les fourmis est une trilogie toutefois, je n'ai pas senti l'urgence (voire même l'envie) de lire les tomes suivants. J'ai vraiment l'impression qu'on peut prendre ce roman comme un one-shot, car si la fin ouvre clairement sur les prochains tomes, elle peut se suffire à elle-même.

Je n'exclus pas le fait de me plonger à nouveau dans cet univers si l'occasion se présente.

Très belle découverte en tout cas.
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📚 Depuis toujours l'homme est fasciné par l'espace l'infiniment grand peut-être existe t'il une autre forme de vie ailleurs ?

Dans son livre l'auteur s'intéresse à l'infiniment petit,un monde méconnu de l'humain et pourtant qui est juste sous nos pieds,pas besoin de navette pas besoin de prendre des risques juste le besoin de se mettre à les observer et surtout comprendre leur fonctionnement et leur langage.

L'homme possède le langage les fourmis elles ont les féromones.Un langage bien à elles qui leur permet de vivre et de survivre sur la planète terre.Un langage bien au-delà supérieur au notre.

De part leur nombre,leur cité,leur intelligence,les fourmis vivent dans lieux où l'homme ne pourrait survivre elles ont peuplé le monde bien avant nous et continueront bien après nous.

Incontestablement redoutable ,la fourmi a su créer une autre forme d'intelligence afin de subsister.

📚 Cela faisait bien longtemps que l'auteur m'intriguait, j'avais envie de découvrir son univers et qu'elle belle surprise.

Bien évidemment le vocabulaire est nouveau (normal puisque l'on parle d'insectes) mais très enrichissant, j'ai toujours été fascinée par ses petites bêtes qui ressurgissent de dessous nos chaussures comme si de rien n'était.

J'ai été autant fascinée par toutes cette nouvelle culture ,celle de l'infiniment petit,tout aussi fascinant que son contraire,mais beaucoup plus accessible et concrêt.
La plume de l'auteur est fluide et la lecture addictive.

Je ne peux que vous conseiller de partir à l'aventure de ce monde qui vous est peut-être inconnu.

Je vous laisse découvrir l'oncle Edmond tout comme l'a fait son petit neveu Jonathan et cette cité de Bel-o-Kan.

Pour ma part, j'attends des nouvelles de cette nouvelle cité,celle de Belo-kiu-kiuni
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Cette semaine, direction la forêt de Fontainebleau pour découvrir la cultissime Trilogie des Fourmis et son premier tome : Les Fourmis paru en France en 1991 aux éditions Albin Michel. Une philosophie fiction au coeur des fourmilières.

Le livre s'ouvre au 3, rue des Sybarites. Jonathan Wells, sa femme Lucie et leur fils Nicolas s'installent dans leur nouvelle demeure, un héritage laissé par l'oncle Edmond. En plus de cet appartement, l'oncle Edmond a laissé une enveloppe contenant un feuillet froissé avec comme seule inscription : « Surtout ne jamais aller à la cave ! ». Débute alors le grand mystère autour de la cave du 3, rue des Sybarites.
En parallèle, nous découvrons Bel-O-Kan, la plus grande ville de la région et ses 18 millions d'habitants. Peuplée de ces insectes sociaux, Bel-O-Kan se réveille petit à petit de la période d'hibernation.

Après avoir dévoré la trilogie « Troisième Humanité », il me tardait de découvrir le plus gros succès de Bernard Werber au plus de 20 millions d'exemplaires vendus. Malheureusement, je n'ai pas accroché à l'histoire et à l'intrigue. Pourtant, tout semblait réuni pour me plaire : un roman composé de deux univers parallèles : celui des humains et ce mystère autour de la cave et celui des fourmis avec la vie d'une soldate et celle d'une nouvelle reine. Je ne sais pas pourquoi je n'ai pas réussi à entrer dans ce roman : le héros, Jonathan Wells n'a pas attiré ma sympathie, j'ai trouvé qu'il y avait trop de longueurs. L'alternance entre l'histoire des deux univers m'a un peu perdue. Peut-être que je devrais relire ce roman dans quelques années et mon point de vue sera différent. Une critique à réécrire dans un « temps relatif et non absolu ».

Même si ce roman n'est pas un coup de coeur, j'ai apprécié beaucoup d'aspects du roman. J'ai adoré les passages de l'Encyclopédie du savoir relatif et absolu d'Edmond Wells. Ces passages sont toujours une source de connaissances qui tombent toujours au bon moment. D'ailleurs, j'ai apprécié en apprendre davantage sur ces insectes qui ne sont finalement pas si différents de nous, les humains. Que dire de l'énigme des allumettes ? Elle est peut-être la raison pour laquelle je n'ai pas accroché à ce roman. Bien trop occupée à réfléchir à l'énigme, je n'ai pas saisi la subtilité de ce roman. J'ai d'ailleurs apprécié me triturer les méninges pour percer cette énigme. Je reconnais le talent de l'auteur et l'originalité de ses thèmes et la façon dont il les aborde. C'est un livre très intéressant et très instructif, mais j'aurais apprécié que l'intrigue des humains soit un peu plus présente. Bon après tout… le roman se nomme les fourmis et non les humains.
Lien : https://juliegorsky.wordpres..
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je vais essayer d'être bref. J'ai adoré ce livre. L'histoire est vraiment... novatrice, les idées surprenantes et au bout du compte, on se prend au jeu, des fourmis ... c'est très bien écrit, sans fioritures ni flonflons, à la portée de tout le monde, même assez jeune. Et puis quoi, il y a quand même une petite morale à la clé, chacun doit se l'approprier. Après Werber m'a un peu moins plu, disons moins surpris... pour avoir eut la chance de le rencontrer, c'est un homme timide et charmant que j'ai beaucoup apprécié. Bref ce livre se lit aussi facilement que son titre, avec plaisir et finesse...
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