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4,24

sur 2782 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
C'est un récit dont j'ai beaucoup entendu parler et j'ai beaucoup lu sur les thématiques abordées. Alors, même si ce thème est moins neuf pour moi, merci à Martin Winckler d'avoir soulevé ces questions et fait avancer la gynécologie et sa perception des femmes en tant que personnes.
Pour ce qui est de l'intrigue, elle se suit bien même si la fin est décevante car très très tirée par les cheveux... C'est dommage mais je continue de penser que l'intrigue n'est pas essentielle ici. C''est avant tout un livre pour réflechir.
Au corps des femmes.
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Le choeur des femmes, c'est l'histoire de Jean, une jeune interne aussi brillante qu'ambitieuse, promise à un prestigieux poste de responsable de service en gynécologie. Aussi, quand on l'oblige à suivre un stage pendant quelques mois au sein d'un petit service afin de valider son internat, elle ne cache pas son mécontentement. pourtant, elle va y découvrir une nouvelle manière d'aborder son travail qui va bouleverser son rapport aux patients.

Impossible de dire que l'on n'a pas apprécié ce livre car il aborde de manière frontale et sans concession un sujet parfois tabou : les violences gynécologiques et obstétricales.

Ce livre a quelque chose de terrifiant et de libérateur : on se rend tout d'abord compte, même si l'on ne se considérait jusque-là pas comme une victime de ce genre d'abus, que l'on a accepté et intériorisé beaucoup de traitements parfois brutaux mais réputés « indispensables » de la part du corps médical. Cette prise de conscience donne tout d'abord le vertige. le mandarinat, les conflits avec l'industrie pharmaceutique, le formatage des jeunes médecins… tout y passe.

Mais dans un deuxième temps, ce livre apporte un immense sentiment de réconfort : ces cohortes de femmes décrites dans le roman, avec leurs petits ou leurs gros soucis, elles sont terriblement humaines et proches de nous.

Alors pourquoi mettre seulement 3 étoiles ? Car j'ai trouvé ce thème magnifique et exigeant bien mal servi par une intrigue qui m'a semblée trop peu crédible et trop simpliste. Beaucoup d'incohérences, un brin de surnaturel qui n'avait pas sa place ici et un zest de clichés m'ont malheureusement laissé sur le côté.

Quant à la fin, elle a pour moi viré à la farce : ce happy end, légèrement sirupeux était à côté de la plaque, en tout cas pas à la hauteur du sujet traité.
C'est dommage : un beau sujet, 670 pages qui ont permis d'aborder de manière fouillée des sujets tellement utiles et actuels… pour au final être une mini-déception.
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Après avoir remarqué plusieurs fois ce livre dans les critiques sur internet, je me suis lancée et je n'ai pas regretté: j'ai dû avaler ces presque 700 pages en trois jours! Je lisais tout le temps et un peu partout.


Le schéma est assez simple et classique. Une jeune femme persuadée d'avoir raison, de tout savoir de toute façon et qui se protège de toutes émotions derrière un mur de dureté et méchanceté, va petit à petit se laisser aller, parler aux gens et se rendre compte qu'elle avait tort.


Mais comme le livre est bien mené, bien ficelé, cela ne m'a pas gêné au début. Cela fait très série médicale en fait et il se lit très facilement.


Je suis allée le vérifier très rapidement : Martin Winckler est un médecin. Si l'histoire qu'il écrit est inventé, les consultations sont plausibles et les détresses de ces femmes réelles.

Comme je n'y connais pas grand-chose, j'avais peur d'être trop naïve et de tout prendre au mot. Et apparemment non (cet homme a aussi un site avec un forum très intéressant à lire)


Il dresse un tableau assez noir de la situation des services de gynécologies en France. Bien évidemment, il y a d'excellents gynécologues, mais il préfère se concentrer sur ce qui ne va pas (ce n'est pas parce qu'il y en a des bons, qu'il faut pardonner aux mauvais).
Sa description est simple : Les médecins n'écoutent pas leurs patients. Ils ne respectent pas leurs choix, ne les prennent pas pour responsables. Et c'est pire pour les femmes, qui elles ne savent pas ce qu'elles veulent et ce qui est bon pour elles.


Par contre eux, ont le pouvoir, le savoir. Très imbus d'eux même, ils sont pourtant là pour nous soigner et non pour nous juger et nous imposer leurs décisions.


Franz Karma essaye de changer ces pratiques, il prend la peine d'écouter les patientes qui viennent lui parler de leurs problèmes, il refuse de juger et de prendre parti, il renseigne et soigne.
(L'exemple qui m'avait le plus parlé, c'est quand une femme de presque 50 ans est arrivée et voulait savoir si elle pouvait tomber encore enceinte de son amant de 20 ans de moins qu'elle. Jean était choquée par son âge, celui de son amant et son envie d'enfants et voulait absolument le lui dire. Franz s'est contenté de répondre à ses questions et de lui dire la vérité en la prévenant des risques, sans prendre de positions.)


Évidemment, peu à peu Jean se détend, comprend que la vie n'est pas aussi simple qu'elle le pensait et que de se cacher derrière la chirurgie, où on voit à peine le patient et où tout est beau et propre et stérilisé et logique…cela n'en vaut peut-être pas la peine. Elle apprend à se laisser aller, à écouter ce que les gens avaient à dire et à les soulager.



[Attention je dévoile la fin]

Alors la fin….est décevante. Dans les 100 dernières pages, tout se précipite (en fait tout-est-lié (!!!)) et ça part quand même un peu dans le grand n'importe quoi.
Entre sa famille un peu étrange (sa soeur qui était comme elle, sa mère qui était folle, sa grand-mère qui était méchante et autoritaire et son père qui avant psychiatre a fini à la caisse d'une banque à cause de la grand-mère) et l'hôpital (en fait, le type qui a opéré sa soeur et qui lui a sauvé la vie à elle, c'est bien évidemment…Franz!) cela m'a paru trop gros pour être vrai.


Durant tout le roman, on joue sur cette frontière imaginaire du “too much”, à la fin on l'a bien dépassé!
Et puis c'est un peu trop happy end tout ça je trouve…Jean, assagie qui laisse un peu tomber la chirurgie (alors qu'on a besoin de personnes comme elles aussi douées dans un secteur plutôt très macho) pour se consacrer à l'unité 77…je trouve ça bête.


Ce qui est dommage, parce que le reste du livre m'a vraiment passionné.

Mais malgré cette fin qui me laisse dubitative, je recommande ce livre. J'ai appris énormément de choses en y prenant beaucoup de plaisirs à suivre les aventures de cette petite unité.
Lien : http://writeifyouplease.word..
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Je suis déçue par la fin abracadabrante de cette histoire qui partait pourtant sur une thématique originale.

Je me suis délectée au début de ce témoignage, lorsque la jeune interne, Jean Atwood, arrive au service gynécologique du Dr Franz Karma, surnommé Barberousse. Cette jeune femme, major de sa promo, est pressentie pour mener une carrière de chirurgien digne d'un grand ponte. Sans aucune humilité, prétentieuse et arrogante, elle débarque dans le « simple service gynécologique » du CHU de Tourmens parce que c'est un passage obligatoire pour parvenir au Graal. Elle est persuadée qu'elle n'apprendra rien de ce stage et n'a qu'une hâte, qu'il se termine.
Mais au fil des jours, la vision de Jean Atwwod va évoluer et le Dr Franz Karma lui transmet ses méthodes de travail peu banales mais très respectueuses des patientes et surtout sans jamais les juger. Les émotions se sont enchaînées au récit des patientes qui défilent dans le bureau du gynécologue : leurs peurs, leurs craintes, leurs joies, leurs angoisses… Tout y est, des sujets les plus banals à ceux plus délicats des avortements, de la virginité perdue trop tôt et qui souhaitent être recousues des viols, de l'inceste… Mais ce qui est encore plus intéressant, c'est de constater l'évolution de la pensée de Jean au fil des consultations. Au début, elle se demande ce qu'elle fait là, à écouter les récits interminables des femmes qui viennent consulter et au fur et à mesure de ses échanges avec Franz Karma, elle change d'attitude et devient plus humaine et à l'écoute.
En filigrane, on retrouve le monde peu scrupuleux de l'industrie pharmaceutique et les méthodes de séduction qu'elle déploie auprès des praticiens.

Ce que je retiens de ce livre, c'est l'importance pour les médecins, quelle que soit leur spécialité, de traiter leur patiente avec le plus de neutralité possible, les respecter, ne pas orienter leur décision et leur choix ; les conseiller si elles le demandent.
Ce que j'ai moins apprécié, finalement, c'est le parallèle sur la vie personnelle et surtout sentimentale de Jean Atwood. Selon moi, ces épisodes apportent de la lourdeur au récit et ne sont pas indispensables. D'autant que le dénouement m'a semblé plus que saugrenu (c'est pourquoi je n'ai mis que 3 étoiles).

Le récit est original car il propose l'alternance de points de vue de personnes différentes sur un même sujet, j'aime beaucoup ces parallèles dans les livres qui invitent à la réflexion et permettent de comprendre les points de vue de chacun. En revanche, j'ai eu des difficultés au début avec le style très familier de l'écriture et notamment des introspections de Jean, mais j'ai ensuite réussi à en faire abstraction.

En résumé, un livre qui devrait être lu par tous les étudiants en médecine (voire certains médecins). Une bonne réflexion sur la nature des relations entre les médecins et leurs patients, gâchée par l'histoire personnelle de la jeune interne.
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Pendant son parcours d'internat, une jeune femme nommée Jean Atwood doit faire un stage en gynécologie médicale. Très brillante, elle a une mentalité de "mec" et porte en elle une féroce ambition. Elle aurait espéré se former avec un patron bien plus prestigieux. C'est donc avec arrogance qu'elle se présente au docteur Franz Karma, le responsable du petit service où elle a été affectée. Elle est très énervée par tout ce qu'elle observe. Elle ne dit presque rien, mais les réactions très grossières se bousculent dans sa tête. Elle est irritée par la proximité du personnel avec le médecin. Mais surtout la pratique de F. Karma, dans ses consultations, va à l'encontre de ses conceptions: il examine à peine les patientes et prend énormément de temps pour les écouter. Pour Jean, la médecine doit être efficace, technique, expéditive. L'opposition entre ces deux points de vue étant flagrante, il semble presque impossible à Jean de travailler avec Franz. Pourtant elle continue son expérience dans le service, en traversant divers conflits. Peu à peu elle finit par comprendre la justesse d'une approche thérapeutique "soft", qui lui était tout à fait étrangère au début. Elle en arrive à renoncer à d'alléchantes propositions qu'elle avait convoitées autrefois. Vers la fin du roman, le récit prend un tour inattendu: il s'agit d'une sombre histoire familiale (ancienne et compliquée), dans laquelle Jean Atwood et Franz Karma sont tous deux personnellement impliqués.
J'ai déjà lu, de Martin Winckler, "La maladie de Sachs", un autre roman où un médecin joue le rôle principal et que j'avais beaucoup apprécié. On retrouve dans "Le choeur des femmes" le même type de personnages: en particulier un héros positif, presque idéal, avec juste ce qu'il faut de (petites) faiblesses pour le rendre très humain et attachant. A l'inverse, la jeune Jean apparait d'abord comme une "tête à claques", avant d'évoluer dans le bon sens (comme il se doit…) et de contribuer à un "happy end". Mais justement, même si des personnages de ce type peuvent se rencontrer dans le monde de la médecine, ils ne sont pas vraiment représentatifs et me semblent peu réalistes. de même, on ne saurait trop encourager les médecins à prendre du temps avec leurs patient(e)s; mais c'est une image d'Epinal que nous peint M. Winckler - me semble-t-il. A trop vouloir prouver, on finit par ne pas convaincre.
Autre reproche: le manque de concision. Sincèrement, je pense qu'il n'était pas nécessaire d'écrire près de 600 pages sur ce sujet. Quant à la fin du roman, je suppose que l'auteur a voulu donner un éclairage particulier sur Jean - qui m'apparait comme un "prototype" sans réelle épaisseur, plutôt qu'un personnage réel décrit avec les nuances que j'aurais espérées. Mais ce dénouement est bizarre et même raté, à mon avis.
Après toutes ces critiques, je dois quand même écrire que j'ai aimé certains passages du livre, notamment ceux où les patientes ont la parole et s'expriment avec une authenticité qui me semble généralement indiscutable et émouvante. Bien sûr, de tels témoignages peuvent être trouvés ailleurs que dans un roman. Mais ils donnent un poids d'humanité à ce choeur des femmes. Et j'ai maintenant le désir de relire "La maladie de Sachs", pour me refaire une opinion.
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Très spécial comme livre ! j'ai vraiment du m'accrocher pour rentrer dedans, au début j'avais vraiment du mal à comprendre... puis peu à peu je me suis laissé prendre au fait que je pouvais, que j'avais fait et que je pouvais encore faire partie de ses femmes.
Celles qui ont été incomprises un jour ou l'autre par un de ses spécialistes dans les cliniques, les hôpitaux, pédant...hautain....qui vous prend pour un organe, une morceau de chair.
Aujourd'hui je sais qu'il existe également des gens "biens"...j'ai un sage "homme" comme gynéco, il est bourré d'humour, à l'écoute véritablement...et ça fait un bien fou j'y vais sans malaise, sans appréhension !! La médecine française reste limite moyen âgeuse !!! c'est un fait ! vivement que ça change !!
J'ai bien aimé aussi le côté qui accuse les cabinets pharmaceutique, vaste sujet, sur lequel personne ne fait rien !!!
On apprend donc bcp de choses, mais je pense qu'une centaines de pages en moins aurait fait du bien !
Le livre en lui même aborde moult sujet....mais ça je vous laisse le découvrir !!
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J'ai acheté ce roman sur les conseils d'une libraire rencontrée à Sète. J'étais un peu sceptique au départ, mais face à son engouement j'ai cédé. le livre offre une facilité de lecture déconcertante et tient une bonne intrigue bien ficelée. Un bon début, une excellente fin : tous les ingrédients sont là.
Seul bémol, le sentiment que ce livre cible essentiellement un public féminin avec une approche qui semble finalement beaucoup plus commerciale que littéraire.
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Au moment d'écrire cette critique, je suis partagée. Pour avoir déjà lu d'autres livres de l'auteur, et connaître un peu son point de vue, je le trouve parfois jusqueboutiste.

Dans ce roman, au travers duquel il partage ses sentiments mitigés qu'il a pour le corps médical, j'ai apprécié l'histoire et les personnages forts. Pourtant, je reste sur ma réserve, ayant trouvé certains jugements un peu trop démagogiques...


CHALLENGE DES 50 OBJETS
CHALLENGE MULTI-DÉFIS 2019
CHALLENGE ABC 2019 - 2020
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Points positifs : c'est très body positive, plein de bons sentiments, de bienveillance ; ça se lit très facilement et c'est également très instructif sur euh... nos corps. Les questions de l'intersexualité (et de la transidentité dans une moindre mesure) sont abordées, et c'est vraiment intéressant et bienveillant.

Points négatifs : à la page 100 on a saisi le propos, on a compris la position de l'auteur, son message... mais il reste 571 pages à lire qui répètent la même chose. Eh puis la façon de s'exprimer du PP est pénible, ces phrases de plusieurs lignes sans respirer. Un peu ça va, ça donne une impression d'essouflement et d'agressivité. sur 400 pages ça fatigue (je trouve).

Je cours après lui, parce que quelque chose ne va pas, je me sens complètement con, complètement ignorante, et ça me fout dans tous mes états, je pensais que je savais tout ce qu'il y avait à savoir, les histoires de gonzesses, la contraception, c est quand même pas compliqué, t'ovules ou tovules pas, quand tu prends la pilule t'es tranquille sauf si tu l'oublies ou alors tu la prends pas et là, t'as à t'en prendre qu'à toi-même comme la fois où tu t'es retrouvée au lit avec ce type qui était beau comme un dieu et parlait à ta copine, on voyait qu'elle lui avait tapé dans l'oeil comme c'était pas possible et il arrêtait pas de lui tourner autour putain quel beau mec un mec à te faire chaud partout, mais elle, cette imbécile, elle voulait rien savoir, elle faisait comme si elle ne le voyait pas et toi, tu le regardais tu le dévorais des yeux et finalement quand elle l'a envoyé promener il avait l'air tellement blessé et il a dit: « Qu'est-ce que je suis con...», et toi quand tu as entendu ça tu t'es plantée là et tu lui as dit: « Dis pas ça, c'est elle qu'est conne», et lui: «Tu es gentille, quel âge tu as?»,

Autre point négatif : ces chapitres qui recopient le site web (fictif) du docteur en intégralité. On a droit à la liste de tous les menus et sous menus. Et quand il dit "il y a un forum, les femmes y témoignent anonymement"... s'ensuite 20 pages (372 à 393) où sont retranscris tous les messages du forum. Euh... on avait compris aux trois premiers ? Même s'ils sont tous différents et uniques, ces messages, était-il nécessaire de nous en faire lire 20 pages ?

Encore un point négatif : la véritable force (et l'intérêt) de ce livre sont les témoignages des patientes et les prises de position des médecins sur l'écoute, le traitement de la douleur, la relation patient-soignant, etc. Tout ce qui relève de la fiction (tentative de mettre une espèce de scénario / drama en fil rouge) est raté. C'est caricatural et mélo, plein de bienheureuses coincidences "oh ! C'était donc toi l'homme mystérieux qui m'a sauvé la vie il y a 20 ans et tu étais aussi sans faire le lien l'homme qui a recueilli le chaton que j'ai adopté ensuite!" et d'espèce de retrouvailles angéliques pleines d'embrassades et de larmes... J'y ai pas cru une seconde. L'auteur n'est pas aussi doué en fiction qu'en médecine !

Bechdel : des centaines
Diversité : pas tant que ça... il y a un chapitre sur les femmes musulmanes et un sur l'intersexualité, mais c'est tout. Aucune femme noire, et strictement tout le monde est hétéro. le Handicap n'est pas abordé non plus.
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Déjà ancien , ce gros livres de 600 pages a confirmé Martin Winckler dans son rôle de pourfendeur des mauvaises pratiques médicales surtout en gynécologie
Impossible , avec mon expérience de praticien, d' avoir un avis objectif. J' ai donc écouté les avis féminins qui étaient loin d' être unanimes . Certaines ont arrêté avant la fin du livre , la quasi-totalité a trouvé ce livre bien trop long , bien trop descriptif
Cette jeune chirurgienne gynécologue qui doit faire en stage en médecine pour valider son cursus chez un praticien à l' ancienne ,c'est-à-dire à l' écoute , va découvrir « la vraie médecine »
Il y a beaucoup de vrai dans les propos de l'auteur mais la fin est assez invraisemblable. MW est un bon scénariste mais un piètre romancier. Il a un égo hypertrophié .Je suis le médecin parfait, les autre sont nuls , malhonnêtes ou incompétents.
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