Dans ce grand album pour enfants, quelques grands arbres se racontent en s'adressant aux lecteur.ice.s : un baobab, un sequoia, un pommier, un chêne, un châtaignier, un figuier, un olivier, et enfin un cerisier.
Chacun expose ses particularités en quelques mots, tandis que l'illustration le révèle dans toute sa splendeur majestueuse.
J'ai beaucoup aimé l'idée de ce livre et les magnifiques dessins : simples, diversifiés et attractifs. En revanche, je trouve que les textes ne se prêtent pas bien à la lecture à voix haute : pas assez chantant à mon goût (ni à celui de mon fils de 3 ans...). Je proposerai plutôt de le faire lire à des enfants plus grands, en première lecture peut-être, même s'il y a très peu de texte...
Commenter  J’apprécie         150
Magnifique album jeunesse sur la générosité des arbres. C'est poétique, vrai, réaliste et d'une beauté simple. le format cartonné pour chaque page est vraiment chouette pour la survie de l'ouvrage ^^" le graphisme est tout doux sur les doubles pages. J'ai vraiment bien aimé cette pépite du hasard.
Commenter  J’apprécie         60
Des arbres, il en existe des centaines. En quelques pages, Didier Zanon et Emily Dove proposent aux jeunes lecteurs de venir découvrir la vie de certains d’entre eux. Comme s’ils chuchotaient à l’oreille, les arbres livrent alors leurs secrets, exposent leur quotidien, se confient. En plus d’enchanter par les mots, les pages captent aussi l’œil : qu’il est agréable d’observer les paysages et les jeux de lumière ! En toute simplicité, l’illustratrice offre de véritables tableaux qui mettent à l’honneur les saisons et la nature. Il est certain que le regard enfantin du lecteur ne se posera plus ensuite de la même manière sur les troncs et les jolies feuilles : de quoi donner envie d’aller se promener véritablement dans la nature alentour !
Lire la critique sur le site : Ricochet
Je viens de fêter mes trois mille ans, mais je ne les fais pas. Mon feuillage est toujours vert et j'affronte les plus rigoureux hivers sans broncher. A force de braver le temps, j'ai poussé si haut que ma cime de sequoia semble toucher les nuages.