Ici, la curiosité venait du choix des personnages et du décor, une loge maçonne. Mais le spécialiste Didier Convard (Le Triangle secret) et Jean-Christophe Camus (Fraternités…) restent dans le superficiel à ce sujet, n’en faisant pas un véritable ressort narratif. Et au dessin, Hervé Boivin (Pretty Little Nightmares) propose un trait réaliste propre et net, mais semble s’ennuyer dans ce huis-clos forcé. Au fin, Sept frères est un album ultra classique, bien fait et efficace, mais trop convenu.
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