Avec « La République des esclaves », je découvre une uchronie antique et un nouvel épisode de l’histoire, quoique remanié.

J’ai apprécié la mise en couleur dans les tons sépia (qui s’applique bien à la période et à la géographie), les dessins des personnages comme des statues antiques, les vues de Rome magnifiques, tellement bien rendues qu’on s’y croirait.

J’ai apprécié cette nouvelle version de l’histoire, où Spartacus et surtout Jules César, ont des vies et des destinées inattendues. J’aimerais la suite pour connaître ce qu’il est advenu des Gaules selon cette version…

Mention spéciale à la place des enfants, tel un fil rouge de cette histoire entre hommes politiques et esclaves affranchis.

A découvrir

Trois mousquetaires se retrouvent, pour une ultime mission au service du Royaume.

Tout comme le premier tome, j’ai moins accroché sur le dessin, moins abouti que sur les autres albums de la série Jour J. Une petite révision pour remettre les évènements dans leur contexte constitue un plus appréciable.

La fin (ambitieuse et pour le moins surprenante) ouvre sur une suite, à suivre donc….

L’action débute en 1651, le point de bascule est l’assassinat du jeune Louis XIV, tout juste majeur, il venait d’atteindre l’âge de 14 ans.

La France se retrouve déchirée par la guerre de religion, livrée aux appétits et ambitions de ses voisins.

J’ai moins accroché sur le dessin, moins abouti que sur les autres albums de la série Jour J

Petit conseil, une révision sur la période peut aider à rendre la lecture plus fluide (contexte des guerres de religions, le nom des protagonistes évoqués est connu mais sans beaucoup de souvenirs détaillés)

Nous sommes en 71 avant Jésus Christ, l’armée rassemblée par Spartacus parvient à quitter le sud de l’Empire romain pour atteindre la Sicile, s’en emparer et créer une république des affranchis.

J’ai apprécié le clin d’œil aux pirates Ciliciens, qui avaient capturé un Jules César jeune, mais déjà très orgueilleux.

Treize année plus tard, l’Empire contre attaque….

Un ouvrage bien mené, l’état d’esprit des personnages, la stratégie ... tout est bien ficelé.

Un bon album de cette série Jour J

Fin de ce week-end « découverte uchronie », avec un « Paris, secteur soviétique » étonnant. Déjà de par sa nouvelle configuration (enfin, celle de l’histoire).

J’avoue que ne connaissant pas tous les personnages historiques présents dans l’histoire (et leur rôle dans la réalité), je ne dois pas apprécier toute la valeur de cette nouvelle réalité potentielle.

Cependant, j’admire le travail d’imagination et de mélange de la réalité historique et de la fiction plausible (et non farfelue).

Là aussi, un agréable moment de lecture, qui confirme que cette série « Jour J » est une belle découverte.

Je continue de découvrir des uchronies.

Celle-ci nous propose une histoire qui prend place dans une nouvelle configuration du monde et des puissances politiques, en 1925.

On y retrouve bien sur des personnages qui ont marqué l’histoire (politique, scientifique, militaire…), dans des rôles tout à fait plausibles (au vu de mes connaissances non expertes), et d’autres personnages imaginaires.

L’histoire se tient, elle est tout à fait crédible, même (et surtout?) à la fin ; on n’est pas dans le monde de Oui-Oui, mais dans celui des humains.

Une belle réalisation.

Poursuite de la relecture de la série Jour J.

J’avais gardé un très bon souvenir de cet album, qui est réussi.

On y retrouve les ingrédients de la série Jour J, une uchronie très réussie.

L’évolution de personnes publiques de premier plan dans cette réalité fictive est réussie et souvent jubilatoire.

Une bonne lecture

Je me suis lancée dans ce premier tome de la série des « Jour J » avec « Les russes sur la Lune », sur les conseils avisés d’un amateur d’uchronie.

Je me suis régalée ! Un peu patiné au début, le temps de remettre de l’ordre dans les évènements réellement arrivés et de plonger dans la fiction, hautement réaliste. On y retrouve bien sur des personnages réels, avec des rôles qu’ils auraient pu tenir dans une autre version de la réalité.

Cette histoire est vraisemblable et réussie.

Mais le format est court ; j’aurais bien apprécié quelques pages de plus pour approfondir.