Ce troisième tome marque la fin de la tentative de révolution sur la Lune et le renversement du gouvernement communiste sur Terre.
À part le style graphique toujours aussi horrible - je déteste ce dessin trop proche du roman-photos qui m'avait déjà irriter sur d'autres séries BD - le récit est un peu plus sympa que les albums précédents ; du moins l'histoire est un peu plus prenante et la conclusion relativement réussie. Bref, le scénario un peu bancale s'est un peu redressé pour finir sur une conclusion qui a un semblant de réussite.
Je pense que le récit en trois tomes aurait pu largement tenir sur un album tant l'histoire a été cahoteuse avec des parties inutiles voire ennuyantes.
Ce n'est donc pas la meilleure uchronie que j'ai lu de la série « Jour J » - loin de là - mais je dois reconnaître que le style graphique est pour moi le principal défaut de cette « Lune Rouge », un défaut qui a forcément un impact sur mon ressenti sur l'histoire et les personnages.
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Le rythme est bien là, c'est nerveux et on sent bien aussi cette claustrophobie que pourrait ressentir les hommes dans une base lunaire. Un tome 41 qui clôt en beauté le cycle Lune Rouge, qui mérite le détour.
Lire la critique sur le site : Sceneario
- tu nous as trahis !
- le moyen ne peut être justifié que par la fin. Mais la fin a besoin aussi de justification. Ne dis donc pas de conneries !
- c’est de toi ?
- non, de Trotski.
"Jour J, qui a tué le président ?", Fred Duval, Jean-Pierre Pécaud, Colin Wilson, éditions Delcourt
Conseil lecture de la bande dessinée par Stéphane Nappez, co-fondateur de l'association Baraques Walden.
Entretien mené à l'Abbaye de Jumièges (département de la Seine-Maritime)
Vidéo : Paris Normandie