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Critiques de Chrystine Brouillet (327)
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Chère voisine

Un Immeuble et des voisins qui cachent tous, ou presque, de lourds secrets: Louise , serveuse réservée et amoureuse des chats, Roland, séduisant paraplégique vivant reclus depuis son accident, Victor, jeune prof serviable au physique ingrat. Quand la ville de Québec est secouée par plusieurs meurtres abominables, ces personnages vont se retrouver mêlés à une enquête qui piétine.



Quand il s'agit de littérature francophone, le Canada est souvent bien peut représenté. Pourtant, ce polar faussement naïf, mais un peu decalé vaut la peine d'être lu, voire écouté. Un huis-clos presque drôle avec des expressions québécoises à foison et pour la version audio, une voix à l'accent définitivement exotique.
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À qui la faute ?

Bien sûr, les particularités de langage; on dit LA job, ou UN party, et on emploie "jaser" pour parler, discuter. Quand vient l'envie, ou la besoin de jurer, on s'écrie: "Ostie de crisse !". Quelques termes anglais parsèment aussi les dialogues. Rien qui ne puissent bloquer la lecture, donc.

Ce qui m'a davantage gêné, c'est le nombre de personnages: David, Jean-René, Mary, Ian, Eveline, Simon, Matis, Etienne, Lucas, Serge... Comme le suggère un critique -et c'est ce que j'ai fait- il convient de faire un tableau pour ranger tout ce beau monde.

Ce qui m'a gêné aussi, ce sont les publicités : le parfum "Voyage" d'Hermès de Maud, le BMW X5 de Ian, et l'on a même le nom du producteur de Sancerre préféré de Maud: Henri Bourgeois.

Ce qui m'a encore gêné, ce sont tous ces blablablas qui ne font pas avancer l'histoire: des passages d'un ennui mortel !

De même que la ménopause de Maud: mais quel est l'intérêt ? D'ailleurs Maud ne joue qu'un petit rôle dans la résolution de l'enquête, gênée certainement par ses bouffées de chaleurs !



Tous ces points négatifs pour indiquer que je n'ai pas aimé cet opus de Chrystine Brouillet, qui me paraît très peu soigné, très peu abouti.
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Chambre 1002

Hélène est la cheffe montréaliste très célèbre du restaurant Strega. Elle va recevoir un prix culinaire prestigieux à New-York. Aucune de ses amies ne peut l'accompagner. Elle ira seule en voiture car elle aime conduire et est très prudente. Malheureusement au retour, son cabriolet s'encastre dans un arbre. Hélène est conduite à l'hôpital dans un piteux état et on craint pour sa vie. Elle est dans le coma. Ses amies se mobilisent parce qu'elles veulent croire à son réveil et inventent une aromathérapie.

Ce roman d'amitié, de gourmandise avec un zeste de policier et un peu de fleur bleue est réussi. Passée la présentation de tous les personnages lors des premières pages où j'ai eu un peu de mal à m'y retrouver, ce livre est un "page-turner". On n'a pas envie de s'arrêter avant la dernière ligne.

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Les cibles

Tout d'abord, avant d'aborder le livre, prendre quelques cours de québécois...

- Les mots parfois n'ont pas le même genre que chez nous: on dit un party, le garde-robe, mais une job, et ma gang...

On ne dit pas (petit) ami, mais Chum !

On ne dit pas je parle, mais je jase

je m'en sacre = je m'en moque; C'est une maudite bonne comédienne = sacrée bonne ...

Un itinérant = un SDF

Bien sûr, quelques termes anglais, comme le gambling

Il y a aussi des "Crisse" et des "câlice" à tous les coins de pages)

Le 6/49 = le loto canadien



La thématique (important, car c'est ce qui tient à coeur à l'autrice) : les exactions dont sont victimes les homosexsuel (le)s ; on pourait ajouter l'hérédité.

Le sujet prend beaucoup d'ampleur, au détriment de l'enquête, enquête qui traîne en longueur, et qui se termine en queue de poisson : l'autrice est contente que ça se termine, et nous aussi !



ps: il y a d'autres autrices québécoises qui valent, elles, le détour !

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Double disparition

C'est le 12e roman de l’auteur mettant en vedette la détective Maud Graham. Chacun de ses romans est un succès au Québec. On retrouve ici tous les ingrédients qui ont fait le succès de Maud Graham: le rythme soutenu, les personnages attachants, les lieux réels des villes de Québec et Montréal et les motivations morbides de psychopathes Mais le roman souffre de la comparaison avec les best-sellers de Larsson, Ellory et Kellerman, pour ne nommer qu'eux. L'intrigue nouée autour de la figure du pédophile de centre commercial semble édulcorée et l'action ne laisse pas suffisamment de place à la psychologie des personnages. Un nouvel épisode qui plaira aux convertis mais qui ne révolutionne pas le genre - d'autant qu'actuellement notre genre de prédilection vit une période faste.
Lien : https://collectifpolar.com/
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Promesses d'éternité

Autant le dire d'emblée: je n'ai pas aimé ce roman. Une bonne première moitié consiste à mettre en scène une flopée de personnages qui n'ont a priori pas grand chose à voir les uns avec les autres; bien sûr, la seconde partie du roman met en relation les uns avec les autres et Maud Graham réussit à déjouer les plans les plus machiavéliques des malfaiteurs car nous avons en scène une galerie de pervers de toutes espèces, de caractères assez caricaturaux: faussaire, voyeurs, assassins, manipulateurs, abuseurs sexuels, pyromane—dans le désordre et j'en oublie sûrement. Beaucoup de personnages secondaires qu'on abandonne en cours de route pour ses concentrer sur le dénouement. Il n'y a aucun suspense qui vaille puisque dès le début du roman, on sait qui sont les mauvais bougres. Donc je n'ai pas aimé la construction du roman, ficelée sans aucune finesse. L'écriture est assez plate et je me faisais parfois l'effet de lire de la littérature jeunesse — genre Club des cinq — en particulier lorsque sont mis de l'avant les personnages de Marie-Lune et d'Éric. Maud Graham ne m'a pas été non plus sympathique, une impulsive qui fait plus confiance à son instinct qu'aux méthodes éprouvées de la police et qui, en dehors de ses enquêtes ne pense qu'à relaxer dans un bain chaud parfumé ou à prendre un verre avec son chum dans son petit nid d'amour. Elle éduque pourtant un adolescent difficile et on pourrait croire, lors de certains passages, qu'elle va devoir mener de front son enquête et la gestion de problèmes personnels mais non, finalement non: c'était une fausse piste. Là encore, je n'ai pas trouvé la subtilité qui fait qu'un personnage de roman est attachant.

La littérature policière ne fait pas partie de mes lectures préférées mais je sais reconnaître qu'il y a de bons romans policiers, qu'il y a de bons auteurs du genre. Là, et bien que ce romans ait gagné des prix, j'ai été déçue sur toute la. ligne…
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Crimes à la librairie

Comme souvent dans les recueils de nouvelles, la qualité est très inégale en fonction de l'auteur. Donc de belles pépites, suivies d'autres moins bonnes.
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Sans pardon

Une autre très bonne enquête de Maud Graham... du bon policier québécois.
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Crimes à la librairie

Entre trois et deux étoiles. Crimes à la librairie est un recueil aux nouvelles de qualité très inégale. En fait, l'ennui est qu'il "tire" dans tous les sens. On a droit à quelques récits de détection classiques, d'autres qui frôlent l’espionnage et certains l'horreur. Trois facettes généralement destinées à trois types de lecteurs.



Si j'ai eu le bonheur de découvrir la plume de Richard Ste-Marie et de Jacques Côté, plusieurs déceptions ont gâché mon plaisir de lecture. Je songe, entre autres, aux textes très banals de Chrystine Brouillet et de Camille Bouchard, deux noms des lettres pourtant reconnus.



Le comble du malaise (involontaire) atteint son paroxysme avec la nouvelle de Ariane Gélinas qui nous offre une version maladroite du roman Le Parfum. N'y voyez pas là un hommage, mais plutôt un emprunt non-avoué qui pêche par excès.



Bref, Crimes à la librairie ne livre pas la marchandise. Dommage. Dommage.
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Un rendez-vous troublant

Suspense et polar pour la jeunesse bien construit et intrigant qui devrait plaire aux amateurs de récits policiers. Ce roman plonge le lecteur et les héros au coeur d'une intrigue mêlant thématique religieuse et choc des cultures.
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Les Collégiens mènent l'enquête

Je crois qu'on peut dire que Chrystine Brouillet est depuis longtemps passé maître dans le récit policier, que ce dernier s'adresse aux adultes ou aux adolescents. Ici, il s'agit d'un roman jeunesse bien construit et intrigant qui devrait plaire aux amateurs de récits policiers.
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Indésirables



C’est toujours avec plaisir que je retrouve Maud Graham et son univers. Grégoire a quitté la rue et est devenu aide-cuisinier, ce qui rend Maud très fière. Maxime, rencontré dans « Soins intensifs » lui a été confié durant la semaine. Il n’est donc plus livré à lui-même et retrouve son père chaque fin de semaine. Il entre dans une nouvelle école, dans un nouveau quartier et se lie rapidement avec Pascal. Un élève timide et nouveau comme lui qui dévient très vite la tête de turc. Partagé entre l’envie de l’aider et la peur d’être victime à son tour, Maxime ne sait comment réagir. Et leur titulaire, Judith Marsolais n’est pas chaleureuse et semble peu disposée à l’aider.



Comme toujours, Christine Brouillet aborde dans ce roman un fait de société interpellant. Ici, c’est le racket et le harcèlement en milieu scolaire qui sont mis en avant. Comment briser l’infernale spirale de la violence et de l’intimidation ? Jusqu’où peut aller le bourreau et que risque vraiment la victime ?

Avec doigté, l’auteure nous emmène au cœur de cette spirale et l’on touche de près la solitude et la souffrance de l’enfant rejeté, proie facile, manipulable à souhait.

Trois histoires s’imbriquent ici, des ramifications les unissent et le machiavélisme sans scrupules des protagonistes fait froid dans le dos.



Un roman captivant, une intrigue de belle facture où la force de l’amitié et de l’amour viendra en aide à la détective.





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Chère voisine

• Pour commencer, j’ai trouvé que ce roman paraissait réaliste. J’ai bien aimé parce qu’il se pourrait très bien que l'histoire se passe dans la vraie vie. Je crois que cette histoire réside d'une histoire réaliste, parce que tous les lieux sont à une époque déjà vécus. Les lieux font partie de la vie de tous les jours. Par exemple, dans l’histoire il y a des lieux comme, un bureau de vote, une épicerie, un bloc appartement, etc.

• J’ai aussi aimé le genre et les thèmes abordés dans ce récit. Ce roman m’a surtout accroché pour son thème du meurtre. Au moins, les thèmes allaient dans le même sens que le genre du roman. J’ai aussi aimé ce roman parce qu'il présentait les caractéristiques d'un roman policier. Ce qui veut dire qu’il y a des meurtres, des viols et des enquêtes effectuées par la police.

• Pour terminer, j’ai constaté que ce récit demeurait original. J’ai alors trouvé la fin du roman vraiment originale. Je ne m’attendais vraiment pas à ce que l’histoire se finisse comme dans un conte. En effet, Louise et Victor finissent leur vie ensemble et ils se sont tous les deux débarrassés de Rolland. J'ai trouvé que les thèmes abordés demeuraient très bien choisis en fonction du genre du récit. Je n’ai jamais pu prédire ce qui allait arriver dans la fin de l’histoire. Cela m’a bien étonné.

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Chère voisine

Il y a des romans qui, je suis certaine, n'ont plus espoir de sortir de ma pile de lecture. Chère voisine était un de ceux-là. Pourquoi ? Simplement parce que j'avais lu quelques mauvaises critiques sur les blogs. Je ne connaissais pas vraiment Chrystine Brouillet pour m'en faire ma propre opinion. Je n'avais lu d'elle qu'un ou deux romans jeunesse de La courte échelle lorsque j'étais à l'école primaire. Avoir su, je n'aurais pas trainé autant. Mais ça, c'est toujours ce qu'on dit après.



Chère voisine, c'est principalement l'histoire de Louise, Roland et de Victor, trois voisins d'un même immeuble. La première est une jeune serveuse qui adore les chats, le deuxième, un homme malheureux cloué à sa chaise roulante depuis un accident de voiture qui a tué sa femme et le petit dernier est un jeune professeur de collège qui vient d'emménager. Ces personnages sont la plus grande force du roman. Bien détaillés, ils sont tous les trois surprenants, et un même peu dérangés. Le scénario est bien planifié aussi. Rien n'y est superflu.



Avec ces personnages et ce scénario efficace, ça ne ressemble à rien que je connaisse. C'est étrange et c'est très bon. Chrystine Brouillet a créé un univers spécial bien à elle. Je comprends qu'on lui ait attribué le prix Robert-Cliche pour ce court thriller.

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Les 9 Vies d'Edward

Histoire d’amour fou entre Edward, authentique chat Abyssin, et, sa maitresse adorée, Delphine Perdrix, photographe professionnelle.



Las des amants de passage de son 2 pattes, Edward prend la décision de sa vie : marier sa maitresse. Son choix se porte sur Sébastin Morin, qu’il a connu au 17 eme siècle, lors d’un voyage vers la Nouvelle France (Québec). Trouvera t’il l’heureux élu dans lequel s’est réincarné Sébastin Morin ? Sa quête sera longue, difficile, et, surtout dangereuse.



Petit détail... ... En bon matou qui se respecte, Edward a déjà vécu 8 vies avant de s’installer “confortablement” dans sa 9eme et dernière vie. Edward a vécu diverses aventures et mésaventures lors des croisades, au moment de l’Occupation, lors des procés pour Sorcellerie menés par l’Inquisition, etc.



Une sorcière lui a même transmis un don, celui de télépathie. Comment Edward utilise t’il son don ? Il “teste” les hommes, et, devine ainsi leurs intentions.



Ecrit sur un ton caustique, voire même caricatural, Edward jette un regard féroce sur les moeurs et modes de vie “bizzaroïdes” des 2 pattes.



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Le Collectionneur

J'ai tout aimé de ce roman.

Premièrement, le fait qu'il se passe en grande partie dans la Ville de Québec. C'était super de pouvoir mettre des images sur les lieux décrits. Et aussi étrange, car il faut l'avouer, plus souvent qu'autrement, les romans de ce genre se passent aux États-Unis.

Deuxièmement, l'écriture. Super simple, pas de chichis. Ça se lisait super vite, sans même qu'on ait l'impression de lire.

Troisièmement, le fait qu'on ait accès à la psychologie du tueur. Super intéressant ! À moins que ce soit moi qui soit trop macabre...

Le livre lui-même. Les pages étaient super souples. Malgré le fait que le roman n'ait jamais été lu avant, il s'ouvrait super bien. Fait rare !

La longueur du livre. 204 petites pages. Ça se lit à la vitesse de l'éclair. Pas de détails inutiles, on va droit au but.

La couverture ! Elle est cool, non ? Tout un tas de mains !

Ça fait du bien de lire un livre dans ce genre-là une fois de temps en temps ! J'ai lu "Soins Intensifs" de Chrystine Brouillet il y a quelques années. Ça m'avait fait la même impression.

Seul mini point négatif: On sent pas venir la fin ! Le roman se finit au bas d'une page, alors on ne se doute pas du tout qu'il n'y a rien de l'autre côté ! On fait un saut. Ce n'est pas qu'on a pas l'impression que des points n'ont pas été abordés, non... C'est juste que... Disons qu'on s'attendrait à ce que la dernière réplique ait une réplique, justement !

Bref, une bonne lecture pour tous. Pas de ces livres qu'on lit une centaine de fois, mais le genre de livre qui rend un après-midi pluvieux intéressant !
Lien : http://lecturesdisabelle.blo..
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Vrai ou faux

Le meurtre d’une femme, secrétaire dans une résidence pour personnes ainées, amène Maud Graham à enquêter dans ce lieu qui ne lui est pas familier. La détective Graham et son équipe devront faire preuve d’humanité ainsi que de patience afin de pouvoir interroger des personnes ainées souffrant tant de solitude que de problèmes de santé liés au vieillissement. Qui fabule? Qui détient vraiment de précieuses informations?



Cette seizième aventure m’a plu en raison du lieu inhabituel où l’auteure a campé la principale partie de l’intrigue. Moi qui ait un beau-père souffrant de l’Alzheimer et qui suis témoin des outrages commis à sa mémoire par cette maudite maladie, j’ai été particulièrement touchée par la psychologie de Karl et les réflexions que lui prête Chrystine Brouillet. L’amitié qui existe entre Karl et Ludger est aussi très émouvante.



J’ai également apprécié le retour discret de Vivien Joly que nous avons connu dans « Silence de mort » et avons entraperçu dans « Sous surveillance ». Même si cet homme a commis l’irréparable dans un moment de folie, Maud s’est liée d’amitié avec lui et… moi aussi.
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Double disparition

Dans cette douzième aventure, on suit la détective Maud Graham qui enquête sur la disparition d'une fillette de sept ans dont la mère est l'une de ses anciennes camarades de classe.



Simultanément, on suit le jeune Trevor qui quitte Rimouski (une ville magnifique située sur le bord du Saint-Laurent), à la suite de la mort de celle qu'il croyait sa mère, pour chercher sa mère biologique.



L'enquête sur la disparition de la petite Tamara se résoudra rapidement, mais servira un peu de déclencheur à l'histoire principale qui est la quête familiale de Trevor.



Dans ce roman, Chrystine Brouillet aborde un sujet ultra tabou et sensible, l'inceste féminin. Pour avoir écouté quelques-unes de ses entrevues, je sais à quel point elle se documente avant de s'attaquer à ce genre de sujet. J'en apprécie davantage la description qu'elle a fait des émotions ressenties par la victime.



J'ai aussi apprécié la quasi-sérénité de Maud, qui doute moins d'elle et des sentiments des autres à son égard. Dans ce tome, elle est plus en mode "Je savoure chaque minute avec ma famille et mes amis".



J'espère que les futures aventures de Maud me permettront d'avoir des nouvelles de Michael, Marie-Catherine et Trevor.

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Promesses d'éternité

Chrystine Brouillet campe l’histoire de cette dixième aventure de Maud Graham dans une secte, le Centre de l’Espérance Renouvelée. Bien que le thème abordé puisse être source de suspense et d’intrigues palpitantes, la lecture de « Promesses d’éternité » ne m’a pas enthousiasmée.



Une bonne partie du roman est consacrée à la mise en scène de nombreux, de trop nombreux personnages qui, parfois, connaitront une sortie abrupte de l’intrigue ou, au dénouement de l’intrigue, un sort qui demeure inconnu.



De plus, Maud Graham est peu présente dans ce livre… Elle est plutôt concentrée sur le meurtre d’un homme, un ancien détenu, et l’agression physique d’un détective privé. En fait, j’ai trouvé cela étrange que le dossier principal, l’intrigue principale du roman, soit confié à un personnage secondaire (Provencher) plutôt qu’à Graham. Il est vrai que cela ne concerne pas le territoire de la ville de Québec.



Et bien sûr, Maud Graham est soucieuse. Cette fois-ci, les tracas que lui cause Maxime occupent énormément son esprit. Il semblerait que Maud Graham, comme plusieurs femmes, est nantie d’une bonne charge mentale… ce qui expliquerait les réflexions qu’elle se fait et qui n’ont aucun lien avec les conversations en cours.



Pour finir sur une note plus positive, j’ai aimé que l’autrice fasse faire de courtes apparitions à des personnages connus dans de précédents tomes. Ces personnages, bien qu’ayant commis des gestes graves, ont obtenu de ma part un certain capital de sympathie qui fait en sorte que j’ai plaisir à les voir apparaitre.

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Louise est de retour

Ce polar québécois signe le retour de Louise Desbiens trente ans après « Chère Voisine ». Toujours aussi fanatique de chats et toujours aussi amorale, elle gère maintenant un restaurant-traiteur a Montréal. Cet opus montrera que sa propension à commettre des crimes sans le moindre remords n’a pas faibli, au contraire!



Toujours aussi savoureux, y compris de part les nombreuses descriptions de plats tous plus alléchant les uns que les autres. Louise a mûri et Chrystine Brouillet aussi. Je me demande même si je n’ai pas préféré ce deuxième tome au premier!
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