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Citations de Elizabeth Gaskell (736)


- [...] Voyons, jamais Margaret n'envisagerait de s'attacher à un homme tel que lui, j'en suis certain. Jamais une idée pareille ne lui a traversé la tête.
- Il suffirait qu'elle lui ait traversé le coeur.
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Préparer son âme à l'éternité.
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... ... ..le héros est un homme qui réalise, au prix de n’importe quel sacrifice, le plus haut idéal du devoir, tel qu’il le conçoit.
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Oh, ma Margaret... ma Margaret ! Personne ne peut savoir ce que vous êtes pour moi ! Vous qui gisez là, froide comme une morte, vous êtes la seule femme que j'aie jamais aimée. Oh, Margaret... Margaret !
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Jamais je n'ai vu fille aussi orgueilleuse et désagréable. A tel point que ses manières méprisantes font oublier à quel point elle est belle.
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Elle est trop parfaite pour être connue par fragments. L'architecture de mon château ne sera pas jugée à partir d'une simple brique.
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Je considère les gens faibles, esclaves de leurs sens, comme indignes de ma haine; je me borne à mépriser leur manque de volonté.
(Thornton, Chapitre 10)
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Ruth poursuivit son chemin, inconsciente des ombres du futur qui se rassemblaient autour d'elle. Avec la versatilité caractéristique d'une enfant de seize ans, elle était passée de la mélancolie à une légèreté charmante. Bientôt, son humeur s'égaya encore, et elle se mit à rayonner d'une joie éclatante.
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La loyauté et l'obéissance à la sagesse et à la justice sont de nobles sentiments. Mais il est plus noble encore de défier un pouvoir arbitraire, utilisé de façon cruelle et inique, et cela, non pas pour nous défendre nous, mais pour défendre les plus faibles.
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Cinq heures, pensa Mr Thornton. C'est long pour un homme qui attend sans rien d'autre à faire que d'espérer au début et de redouter le pire ensuite
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La crise de rhumatismes de Daniel Robson le cloua chez lui : et pour un homme dont l'activité physique était aussi grande que celle de son cerveau était réduite, c'était chose très pénible.
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« Mère, dit Guillaume, pourquoi voulez-vous absolument qu’elle soit en vie ? Si elle était morte seulement, nous n’aurions pas besoin de prononcer son nom. » (p. 18)
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- Pourquoi ça ? C'est un garçon bien sous tous rapports, il n'y en a pas deux comme lui à Monkshaven.
- Si tu le dis. Mais il n'a pas encore sorti ses dents de sagesse. Note bien qu'il n'est pas le seul à manquer de jugement.
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Pour marcher, Margaret marchait, en dépit du temps. Elle se sentait si heureuse dehors, aux côtés de son père, qu’elle en dansait presque. Et lorsqu’elle traversait une lande, le dos exposé à la douce violence du vent d’ouest, elle paraissait comme poussée vers l’avant, aussi légère et libre que la feuille d’automne portée par la brise.
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- Ecoutez-la votre fille, Hale! Son séjour à Milton l'a corrompue. C'est une démocrate, une républicaine révolutionnaire, membre de la société pour la Paix, une socialiste...
- Tout cela parce que je suis pour le progrès du commerce, Papa! Mr Bell voudrait que nous en soyons restés à troquer des peaux de bêtes contre des glands.
- Non, pas du tout. J'aimerais qu'on pioche la terre pour y faire pousser des pommes de terre. Et qu'on tonde les peaux de bête pour tisser du drap avec la laine ainsi récoltée. Il ne faut pas exagérer, ma petite demoiselle. Mais toute cette agitation me fatigue, comme tous ces gens qui n'ont qu'un but, passer devant les autres tant ils ont hâte de s'enrichir.
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- Voyons, que désirez-vous Sylvie ? lui demanda-t-il à la fin, contrarié de ce long silence.
- Je désire, mon nom étant Sylvia, qu'on ne m'appelle pas Sylvie, et, puisque vous voulez absolument le savoir, je suis venue chercher de la tiretaine pour un manteau.
Hester rentrait à l'instant même avec un apprenti qui l'aidait à traîner quelques pesants rouleaux de drap écarlate et gris.
- Pas celui-là, dit Philip, écartant du pied la tiretaine rouge et s'adressant au petit garçon... N'est-ce pas, Sylvie, c'est le gris que vous voulez ?...
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« Que voulez-vous que j’y fasse ? » disait-il un jour à Milady au sujet d’un pauvre homme qui s’était cassé la jambe. « Je ne peux pas lui raccommoder le tibia, c’est l’affaire du docteur ; quant à le soigner, sa femme s’en acquittera mieux que moi. Je ne pourrais que lui porter le secours de ma parole, et j’y perdrais mon éloquence ; ce serait de l’hébreu pour lui, sans compter le dérangement que lui occasionnerait ma visite : il se ferait asseoir dans une posture incommode, changerait de linge et d’habits et n’oserait se donner le soulagement de gronder sa femme, de crier et de jurer pendant tout le temps que je serais là. […] Où serait alors le bénéfice de mes discours ? D’autant plus que, suivant lui, j’aurais dû réserver cette exhortation pour son voisin, attendu qu’elle ne pouvait convenir qu’à un pécheur endurci. Je juge des autres par moi-même ; si j’étais malade, il me serait fort désagréable de recevoir lord Ludlow. […] Je lui aurais bien plus de gratitude si, au lieu de venir me voir, il pensait à m’envoyer un morceau de venaison […] J’enverrai donc à John Butler un bon diner jusqu’à ce qu’il soit guéri, et j’épargnerai à ce pauvre diable ma présence et mes conseils. »
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Si je l’emportais (et dans ce temps-là j’étais un boxeur comme il y en a peu), il me semblait que sa défaite le rendrait plus indifférent à Letty. De sorte qu’un soir, pendant la partie de palets (comment, à propos de quoi, je l’ignore, mais de petites paroles il sort de grands faits), je trouvais le moyen de me fâcher contre lui, et je lui proposais le combat. A sa rougeur, à sa pâleur alternées, je voyais bien qu’il était fort en colère, et comme je vous l’ai déjà dit, c’était un vigoureux compagnon, un vigoureux athlète… Tout d’un coup pourtant, il recula, disant qu’il ne voulait pas se battre… […] Il me dit alors qu’il n’avait aucun motif de se quereller avec moi ; que peut-être avait-il tenu quelques propos de nature à m’offenser ; que c’était sans le savoir ; mais que, cela étant, il m’en demandait pardon… Quant à se battre, jamais il n’y pourrait consentir.
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si elle est aussi bonne que tu dis, elle a pitié des malheureuses comme Lisette. Si elle n’en a pas pitié, c’est une Pharisienne, et tu n’as pas besoin d’elle
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Y en a qui sont prédestinés à aller à des fêtes magnifiques, à porter de la pourpre et du linge fin - et peut-être que vous en faites partie. Y en a d'autres qui triment toute leur vie, et de nos jours, les chiens sont moins charitables que du temps de Lazare.
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