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Citations de Michael Morpurgo (408)


Ce sont la peur et l'ignorance qui tuent les gens dans leur cœur, qui les rendent cruels.
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De toute façon, ça m'est bien égal qui elle est, elle peut bien venir de Tombouctou, je m'en fiche. Nous sommes tous les enfants de Dieu, peu importe d'où on vient, comment on s'appelle, quelle langue on parle.
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Aman était un bon ami à nous, un bon ami du régiment, et de l'infanterie. Tout le monde devrait veiller sur ses amis, voilà ce que je lui ai dit au ministre.
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"On ne peut pas passer la vie à espérer toujours, à attendre. Il faut vivre la vie." Editions Gallimard Jeunesse, 2007. Page 140.
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Dites-le lui. Dites-le à ma mère. Mme Bailey, 22, Philimore Gardens, Londres. Dites-lui que son fils, Harry, est mort en pensant à elle. Dites-le lui, s'il vous plaît.
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J'avais toujours bien aimé le dessin, mais Kensuké m'apprit à l'aimer passionnément. Il m'apprit que, pour peindre ou dessiner, il fallait d'abord bien observer, déterminer la forme de l'image dans sa tête, et enfin la transmettre à son bras jusqu'au bout du pinceau, puis jusqu'au coquillage. (p. 105)
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Le 28 juillet 1988 Michael tombe a l'eau a cause de son harnais de sécurité qu'il n'avait pas et son chien Stella ne l'avais pas aussi après ils atterissent sur une ile déserte .Ils découvreront un jeune homme Kensuké qui leur apprendras a survivre sur son ile;
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Un cygne s'est posé sur mon lac, une nuit, un cygne argenté...
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Saignant, meurtri et terrifié d'incroyable façon, je n'avais qu'un désir : être à nouveau avec Topthorn. Lui saurait de quel côté aller, me disais-je. Lui, il saurait.
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Je veux que le temps s'arrête pour qu'il n'y ait pas de lendemain, pour que l'aube ne vienne jamais.
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Un véritable bijou ce livre! Il y a dans ce monde des livres qui nous laisse indifférents, d'autres qu'on apprécie simplement, et d'autres dont les mots, l'histoire viennent nous toucher en plein cœur. Celui-ci en fait parti pour moi.
Au début, c'est l'histoire d'une famille ordinaire, les Peaceful, quelques années avant la première guerre mondiale. Le jeune narrateur Tommy raconte leur vie, sur une terre que défrichent leur père. Mais un terrible accident emporte la vie de leur père. Leur mère, une femme aimante et intelligente se débrouille tant bien que mal pour survivre Tommy et son aîné Charlie grandissent dans un esprit de solidarité et de camaraderie à toute épreuve. Mais la guerre éclate...
Ils partent se battre contre l'ennemi.
La naïveté de Tommy rend le récit encore plus touchant et authentique. Il n'a que 16 ans lorsqu'il part au front, avec la ferme conviction de faire ce qu'il doit faire. Lors de la conscription, une vieille femme l'a traité de lâche et ces accusations bravaches l'ont convaincu. Tommy souffre avec ses confrères, ayant pour seul objectif de détester l'ennemi allemand sans savoir pourquoi. Et il y a Charlie bien sûr. Charlie le pilier, généreux, intègre et trop rebelle pour son commandant. Les deux frères vont apprendre que la guerre ne se mène pas uniquement sur les champs de bataille.
Ce livre donne envie de pleurer. Lisez la note à la fin, surtout! Elle fait partie de l'histoire autant que le roman!
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A l'école, je n'avais jamais été très bon en rédaction. Je ne savais jamais quoi écrire ni par où commencer. Mais sur la Peggy Sue, je me rendis compte qu'il suffisait que j'ouvre mon journal pour écrire. J'avais toujours tellement de choses à dire ! Et justement ! Je n'avais pas du tout l'impression d'écrire, mais plutôt de dire les choses. Je parlais dans ma tête, les mots descendaient le long de mon bras, puis de mes doigts et de mon stylo jusqu'au papier. Et c'est ainsi que je le lis, maintenant, bien des années plus tard, comme si je m'entendais parler.
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Le mot orang-outan est dérivé des mots malais et indonésiens : orang signifiant personne et hutan la forêt, l’ensemble signifie donc : personne de la forêt.
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Le plus frustrant, le plus déconcertant pour Alfie, c'était qu'il avait la certitude que de temps en temps elle écoutait, qu'elle comprenait quelque chose à ce qu'il racontait. Il avait également le sentiment- et cela l'encourageait à continuer - qu'elle aimait bien qu'il soit avec elle, qu'elle aimait écouter ses histoires. Pourtant, elle ne voulait ou ne pouvait simplement pas le montrer, elle ne voulait ou ne pouvait pas réagir.
Puis un jour, il y eut une percée, une avancée importante, et tout à fait inattendue.
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Comment un homme peut-il en tuer un autre, sans vraiment savoir pour quelle raison, si ce n'est qu'il porte un uniforme d'une autre couleur et parle une langue différente ?
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C'est ça qui etait formidable avec M. Alfie. Il disait toujours quelque chose qui remontait le moral, et qui aidait à se sentir mieux dans sa peau.
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Mère. Je pense souvent à elle. Et lorsque je pense à elle, je revois les hautes haies, les chemins creux et nos promenades le soir vers la rivière. Je revois les reines-des-prés, le chèvrefeuille, les vesces, les digitales, les lychnis rouges et les églantines. Il n'y avait pas une fleur sauvage ni un papillon qu'elle ne sache nommer. J'aimais le son de leurs noms : vulcain, paon-de-jour, piéride du chou, adonis bleu. C'est sa voix que j'entends à présent dans ma tête. Je ne sais pas pourquoi, mais j'arrive mieux à l'entendre qu'à me représenter ses traits.
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On ne peut pas passer la vie à espérer toujours, à attendre. Il faut vivre la vie.
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Je veux dire que quand on monte sur une vague, chacune d'elles est unique, c'est une nouvelle découverte, quelque chose qu'on n'a jamais vu avant. On voit des nuages que personne n'a vus, des oiseaux aussi. Bien sûr d'autres marins ont croisé des albatros, mais pas ici, pas maintenant, pas exactement comme je vois le mien. Il est difficile de traduire ces sensations en mots, je veux simplement dire que ce qui est extraordinaire, c'est que j'ai l'impression que personne n'est jamais passé par là auparavant, comme si j'avais tout découvert pour la première fois.
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Les gens sincèrement bons sont ainsi. Ils émettent des rayons de soleil. Ils vous réchauffent de part en part. Zita a ce don. Comme dit la chanson - et les chansons ont parfois raison, lorsqu'elle sourit, le monde entier sourit
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