AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

Citations les plus appréciées
Nelson Mandela
Cela semble toujours impossible, jusqu'à ce qu'on le fasse.
Commenter  J’apprécie          7671
Thomas Sankara
Cela va nous coûter la vie peut être, mais nous sommes pour prendre les risques, nous sommes là pour oser et vous êtes là pour continuer la lutte coûte que coûte.
Commenter  J’apprécie          7571


Les liens se font et se défont, c'est la vie . Un matin, l'un reste et l'autre part, sans que l'on sache tjs pourquoi . Je ne peux pas tt donner à l'autre ac cette épée de damocles au dessus de la tete. Je ne veux pas batir ma vie sur les sentiments, parce que les sentiments changent. Ils st fragiles et incertains. Tu les crois profonds et ils st soumis à une jupe qui passe, à un sourire enjoleur. Des gens qui s'aiment pr la vie... moi j'en connais pas .
Commenter  J’apprécie          7511
Victor Hugo
Si tu savais combien je t'aime, combien tu es nécessaire à ma vie, tu n'oserais pas t'absenter un seul moment, tu resterais toujours auprès de moi, ton coeur contre mon coeur, ton âme contre mon âme.
Commenter  J’apprécie          7502
On peut tout te prendre; tes biens, tes plus belles années, l'ensemble de tes joies, et l'ensemble de tes mérites, jusqu'à ta dernière chemise

il te restera toujours tes rêves pour réinventer le monde que l'on t'a confisqué.
Commenter  J’apprécie          7482
La vie avait continué après, la vie continue toujours. Elle te donne des raisons de pleurer et des raisons de rire. C'est une personne, la vie, une personne qu'il faut prendre comme partenaire. Entrer dans sa valse, dans ses tourbillons, parfois elle te fait boire la tasse et tu crois que tu vas mourir et puis elle t'attrape par les cheveux et te dépose plus loin. Parfois elle t'écrase les pieds, parfois elle te fait valser. Il faut entrer dans la vie comme on entre dans une danse. Ne pas arrêter le mouvement en pleurant sur soi, en accusant les autres, en buvant, en prenant des petites pilules pour amortir le choc. Valser, valser, valser. Franchir les épreuves qu'elle t'envoie pour te rendre plus forte, plus déterminée.
Commenter  J’apprécie          7443
Thomas Sankara
Un peuple conscient ne saurait confier la défense de sa patrie à un groupe d’hommes quelles que soient leurs compétences. Les peuples conscients assument eux-mêmes la défense de leur patrie
Commenter  J’apprécie          7220
Femme nue, femme noire

Femme nue, femme noire

Vêtue de ta couleur qui est vie, de ta forme qui est beauté!

J'ai grandi à ton ombre, la douceur de tes mains bandait mes yeux

Et voilà qu'au coeur de l'été et de midi, je te découvre terre promise du haut d'un haut col calciné

Et ta beauté me foudroie en plein coeur comme l'éclair d'un aigle

Femme nue femme obscure!

Fruit mûr à la chair ferme, sombres extases du vin noir, bouche qui fait lyrique ma bouche

Savane aux horizons purs, savane qui frémis aux caresses ferventes du Vent d'est

Tam- Tam sculpté, tam-tam fendu qui grondes sous les doigts du Vainqueur

ta voix de contre-alto est le chant spirituel de l'Aimée
Commenter  J’apprécie          7171
Antoine de Saint-Exupéry
Le véritable voyage, ce n'est pas de parcourir le désert ou de franchir de grandes distances sous-marines, c'est de parvenir en un point exceptionnel où la saveur de l'instant baigne tous les contours de la vie intérieure.
Commenter  J’apprécie          7052


"Bien sûr, dit le renard. Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde"

....

"Tu vois, là-bas, les champs de blé ? Je ne mange pas de pain. Le blé pour moi est inutile. Les champs de blé ne me rappellent rien. Et ça, c'est triste ! Mais tu as des cheveux couleur d'or. Alors ce sera merveilleux quand tu m'auras apprivoisé ! Le blé qui est doré, me fera souvenir de toi. Et j'aimerai le bruit du vent dans le blé..."

...

"Ainsi le petit prince apprivoisa le renard. Et quand l'heure du départ fut proche :

-Ah ! Dit le renard... je pleurerai.

-C'est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais point de mal, mais tu as voulu que je t'apprivoise...

-Bien sûr, dit le renard.

-Mais tu vas pleurer ! dit le petit prince.

-Bien sûr, dit le renard

-Alors tu n'y gagnes rien !

-J'y gagne, dit le renard, à cause de la couleur du blé"

Commenter  J’apprécie          7025
Je suis amoureux de toi et je sais que l'amour n'est qu'un cri dans le vide, que l'oubli est inévitable, que nous sommes tous condamnés, qu'un jour viendra où tout ce qu'on a fait retournera à la poussière, je sais aussi que le soleil avalera la seule terre que nous aurons jamais et je suis amoureux de toi.

Commenter  J’apprécie          6975
Damien Saez
De toutes façons, je ne suis pas heureux. C'est malheureux, mais je n'y arrives pas. Pourtant, tout va bien et ça ne va pas. C'est une accoutumance au mal-être, c'est bizarre. Mais je doute toujours sur plein de choses. Sur ma capacité à vivre avec les autres et tout ça... De plus en plus.
Commenter  J’apprécie          6742
Un être libre, c'est rare, mais tu le repères tout de suite, d'abord parce que tu te sens bien, très bien quand tu es avec lui.
Commenter  J’apprécie          6740
Léopold Sédar Senghor
Cher frère blanc,

Quand je suis né, j'étais noir,

Quand j'ai grandi, j'étais noir,

Quand je suis au soleil, je suis noir,

Quand je suis malade, je suis noir,

Quand je mourrai, je serai noir.



Tandis que toi, homme blanc,

Quand tu es né, tu étais rose,

Quand tu as grandi, tu étais blanc,

Quand tu vas au soleil, tu es rouge,

Quand tu as froid, tu es bleu,

Quand tu as peur, tu es vert,

Quand tu es malade, tu es jaune,

Quand tu mourras, tu seras gris.



Alors, de nous deux,

Qui est l'homme de couleur ?
Commenter  J’apprécie          6735
Walt Disney
Pour que la vie soit un conte de fée, il suffit peut-être simplement d'y croire...
Commenter  J’apprécie          6710
Non. Je ne manque nulle part, je ne laisse pas de vide. Les métros sont bondés, les restaurants comblés, les têtes bourrées à craquer de petits soucis. J'ai glissé hors du monde et il est resté plein. Comme un oeuf. Il faut croire que je n'étais pas indispensable. J'aurais voulu être indispensable. A quelque chose ou à quelqu'un. A propos, je t'aimais. Je te le dis à présent parce que ça n'a plus d'importance.
Commenter  J’apprécie          6704
La peur de la souffrance est bien pire que la souffrance elle-même...
Commenter  J’apprécie          6702
Lorsque les pères s’habituent à laisser faire les enfants,

Lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles,

Lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter,

Lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu’ils ne reconnaissent plus au dessus d’eux l’autorité de rien ni de personne,

Alors c’est là, en toute beauté et en toute jeunesse, le début de la tyrannie.
Commenter  J’apprécie          6660
" - Tu l'aimes ?

- Ben ouais , elle est belle.

- C'est tout ?

- Euh... quoi d'autre ?



- Je te demande si tu l'aimes. Je te parle d'amour. Et toi tu me dis qu'elle est belle ? Belle ?! Moi quand je te parle de beauté, je ne te parle pas de son joli petit cul moulé dans un jean Levi's. Ni de ses lèvres pulpeuses. Ni de ses grand yeux pétillants. Putain. Je ne parle pas de ça. Moi ce que je voulais que tu me dises c'est que tu l'aimes. Que tu aimes tout d'elle. Ses défauts. Les pires. Le goût de ses larmes quand rien ne va plus. L'odeur de ses cheveux quand tu l'embrasses dans le cou. Ses tâches de rousseurs quand l'été pointe le bout de son nez. Et quand j'évoque le mot amour. S'il te plait. Ne l'associe pas au sexe. Parce que tu vois. Savoir combien de fois tu te la tape tous les jours, moi, je m'en fous. Merde. Il y a des mots pour parler d'elle. Pas des mots en tocs. Pas des mots qui soient faux. Pas l'un de ses mots ringards que tu ais entendu dans un film. Pas comme ça. Parfois il n'y a pas de mots. Juste des regards. Des gestes. Encore des regards. Puis un sourire. Qui dure. Qui dure, parce que tu as ta main posée sur sa peau brûlante. Parce que dans sa poche furtivement tu as as caché un petit gribouillis avec inscrit " Je t'aime " quand sa tête était tournée. Parce que les jours passent trop vite quand elle est là et que tu ne veux plus la quitter. Que tu ne peux plus lâcher sa main. Et que tu lui dis que sans elle, chaque minute est inutile. Et en revanche. Parce que tout ne va jamais bien. Que ses yeux brillent. Pleurs. Lors d'une dispute. Qu'elle te lance au visage des mots affreux. Des cris de haine. Alors pardonne-la. Recommence à zéro. Et dis-lui. Cris le. Je t'aime. L'amour c'st ça. Ce n'est pas un jeu. Pas de la merde. C'est dangereux. Tu vois. Moi. C'est ça dont je te parle. "

Commenter  J’apprécie          6622
Si vous êtes angoissé parce que vous n'avez aucune confiance en vous et pensez que rien de ce que vous faites ne réussira, réfléchissez un peu.

Essayez de voir pourquoi vous vous donnez perdant dès le départ.

Vous ne trouverez aucune raison valable. Le problème vient de votre façon de penser, non d'une incapacité réelle.
Commenter  J’apprécie          6460












{* *}