De nombreux petits contes cruels, ou bizarres, ou on ne sait pas vraiment. Ce qui est sûr c'est qu'il n'y a pas trop de happy end mais des nouvelles drôles et intelligentes.
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C'est de la fusion du conte d'exagération "américain", de la pointe assassine "française" et de la satire mordante "anglaise" qu'est née cette forme de cynisme burlesque propre à Ambrose Bierce, portée à son plus haut degré dans Le Club des parenticides. (11)
"Remède à la mélancolie" sur France Inter - "Épigrammes" d'Ambrose Bierce