« Les
villes nomades » est le second roman d'une tétralogie («
Aux hommes les étoiles », «
La Terre est une idée », «
Un coup de cymbales »).
La Terre est épuisée de ses ressources, surtout le fer. Les hommes sont contraints de voyager dans l'espace. Une sphère englobe chaque ville et s'échappe de la gravité terrestre. Tel du pollen, les villes s'égrainent aux confins de l'univers.
Chris se retrouve embarqué malgré lui dans un voyage vers l'inconnu.
James Blish nous décrit un magnifique univers où ce sont les robots qui règnent sur l'humanité. Ainsi, deux groupes sont créés : les utiles et les improductifs (les passagers). Ceux qui joueront un rôle verront leur fertilité conservée et leur durée de vie s'accroître. Les autres n'auront plus rien.
Nous suivrons deux jeunes garçons au destinée différente.
J'avoue que c'est un bon livre, riche. Toutefois, je n'ai jamais réussi à rentrer dans l'histoire et lire les deux cents pages m'ont été difficile. C'est dommageable dans le sens où l'univers est travaillé. La fin se termine brutalement et on est laissé sur notre faim. Je pourrai lui reprocher un manque de dynamisme, mais ce récit est d'avantage tourné vers la réflexion.