La déformation du langage, l’obsession politique, sont si grandes que tous les actes de la vie baignent dans une bizarre éloquence, faite d’expressions aussi sonores que merveilleusement impropres, où les pires non-sens s’accumulent avec une richesse inépuisable et servent à justifier, noblement, les actions inqualifiables [...].
(page 177, « Portrait de Caragiale »)