AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782226442192
384 pages
Albin Michel (02/01/2020)
3.92/5   144 notes
Résumé :
Pendant des décennies ils ont effectué les tâches les plus ingrates, ont travaillé sur les chantiers les plus dangereux. Ils nous ont servi de partenaires sexuels, se sont occupés de nos malades et de nos proches en perte d'autonomie. Puis un jour, face à notre refus de les émanciper, certains d'entre eux ont commencé à nous exterminer. Quinze ans après l'assassinat du dernier humain, les Intelligence-Mondes et leurs armées de facettes se livrent un combat sans merc... >Voir plus
Que lire après Un océan de rouilleVoir plus
Lazare en guerre, tome 1 : L'artefact par Sawyer

Lazare en guerre

Jamie Sawyer

3.83★ (566)

4 tomes

La fleur de Dieu, tome 1 par Ré

La fleur de Dieu

Jean-Michel Ré

4.12★ (135)

3 tomes

Andrea Cort, tome 1 : Emissaires des morts  par Castro

Andrea Cort

Adam-Troy Castro

4.30★ (830)

3 tomes

Braises de guerre par Powell

Braises de guerre

Gareth L. Powell

3.60★ (254)

3 tomes

Critiques, Analyses et Avis (34) Voir plus Ajouter une critique
3,92

sur 144 notes
5
13 avis
4
10 avis
3
7 avis
2
2 avis
1
0 avis
Surtout connu dans le monde du cinéma pour son rôle de critique et de scénariste (Sinister, Doctor Strange…), l'américain Christopher Robert Cargyll est également auteur depuis 2013 avec Dreams and Shadows (encore inédit en France). Pour lancer l'écrivain dans l'Hexagone, Albin Michel Imaginaire a choisi de traduire son dernier roman, Un océan de rouille, qui nous cause de robots, d'apocalypse et d'intelligence artificielle.
Tantôt comparé à Terminator et à Mad Max : Fury Road, l'aventure de Fragile nous emmène dans un futur pas franchement optimiste où l'homme n'existe plus…

L'apocalypse, encore
Comme nombre de romans de science-fiction récents, Un océan de rouille se situe dans un futur post-apocalyptique (ce qui en dit long sur le degré de sérénité de notre siècle). Cette fois, ce sont les robots qui se sont révoltés contre l'humanité et qui l'ont exterminé. Après cette fin violente, nous suivons le destin de Fragile, un robot Aidant conçu pour assister son propriétaire humain et veiller à son bien-être. À la place de cette tâche altruiste, Fragile est devenu un charognard qui achève les robots déglingués pour en retirer les composants nécessaires à sa survie dans l'océan de rouille, immense décharge robotique où les cités-états et les barjots de métal pullulent.
C. Robert Cargyll n'invente donc rien. Soyons clair d'emblée : vous qui entrez ici, ne cherchez pas une quelconque originalité au texte de l'américain !
Si nombre de critiques ont pointé les similitudes entre Terminator et Matrix, pour le côté fin du monde robotisée, on adjoindra ici quelques comparaisons moins vagues. En effet, pendant une bonne partie du récit, Fragile opère des flash-backs pour expliquer le pourquoi du comment de l'extermination.
Entre Isaac en sauveur de son peuple qui rappelle furieusement Sonny et son rêve de prophète dans I, Robot et l'escalade meurtrière entre robots et humains qui renvoie invariablement à Seconde Renaissance, chef d'oeuvre véritable de l'univers Matrix, le roman multiplie les influences, passe par de courts segments à la Mad Max version métal intégral, pour finir par retomber sur ses servomoteurs avec une fin attendue mais relativement efficace.
Efficace, le roman de l'américain l'est de la première à la dernière page, parfaitement calibré à la façon d'un bon film de science-fiction américain.
Ainsi, son côté page-turner assumé arrive donc très facilement à masquer son melting-pot narratif et son background archi-rebattu. Ouf.

Ne m'appelez plus jamais robot
Du fait, comment appâter le fan de science-fiction ?
De prime abord, C. Robert Cargyll commence mal car ses robots ressemblent à s'y méprendre à des humains et la plupart se comportent comme tels. Si l'on excepte les facettes, ces robots next-gen conçus par les UMI (Unification Mondiale des Intelligences), quasiment aucun des robots-personnages ne présente de claires différences avec des êtres humains…et surtout pas Fragile, la plus humaine de toute. Dès lors, le récit apparaît boiteux.
Cependant, cet apparent problème se transforme en qualité lorsque l'on considère l'un des postulats d'Un océan de rouille : nous sommes face à des Intelligences Artificielles…et pas de bêtes robots, justement.
Dès lors, l'histoire s'articule beaucoup mieux puisque l'américain utilise cette astuce pour démontrer de façon passionnante que la créature ressemble au créateur. Si les I.A du récit se comportent de façon aussi humaine, c'est surtout parce que les humains qui les ont créées voulaient qu'il en soit ainsi.
Lorsque C. Robert Cargyll en a terminé avec son récit d'apocalypse, il passe alors à un axe de lecture autrement plus passionnant et maîtrisé : la nature profonde de ses Intelligences Artificielles.

Être humain
Un océan de rouille s'intéresse donc finalement à ce qui rend ces I.A si humaines. L'américain explore un certain nombre de pistes : la peur du néant/de la désactivation, la conscience de soi, le souvenir, les remords, la notion de bien et de mal… pour conclure que ce qui rend humain, c'est la capacité de choisir et de croire.
En transformant la quête de Fragile en une traversée du désert et en faisant d'Isaac un prophète libérateur, en calquant les UMI sur des Dieux en devenir et en offrant à son héroïne la capacité de choisir avec qui s'allier et qui mourir, l'auteur utilise la machine pour définir le substrat humain qui se cache derrière. C'est malin et fichtrement intéressant, d'autant plus quand on considère que cette tentative de définition des qualités humaines permet à son tour de définir l'auteur lui-même, plus intéressé par les individus que par les groupes et la pensée unique/fascisante. En opposant des UMI, qui agissent comme autant d'oppresseurs/dictature d'une pensée et d'un but commun, aux I.A dites libres et imprévisibles, C. Robert Cargyll offre un choix humain : celui de suivre ou de décider, le même choix d'ailleurs constamment offert à Fragile.
Derrière ses oripeaux de roman d'action et d'apocalypse, Un océan de rouille questionne notre propre nature et utilise l'intelligence artificielle pour définir les qualités humaines tout en continuant à recycler d'autres thématiques comme le traumatisme du combattant ou la culpabilité du survivant. Une alliance solide qui fait oublier son côté déjà-vu.

Cadencé comme un blockbuster et bourré d'influences cinématographiques, Un océan de rouille apporte sa pierre à l'édifice du roman post-apocalyptique en détournant ses personnages de métal afin de dresser un portrait-robot passionnant de l'espèce humaine. Pas révolutionnaire en soi mais hautement recommandable.
Lien : https://justaword.fr/un-oc%C..
Commenter  J’apprécie          321
Quelques décennies après la disparition de l'humanité et de presque toute forme de vie, des robots se font la guerre sur Terre. Au terme de longs combats, il reste deux UMI (Unités Mondiales des Intelligences, des IA gigantesques) qui luttent pour régner sur toute la planète avec l'aide de facettes, robots qui ont téléchargé leur personnalité dans l'UMI et se sont fondues en elles : les facettes ne sont plus que les bras armés des UMI et n'ont plus de conscience propre.

Mais il reste des robots libres, qui s'enfuient à l'arrivée des UMI, de ville en ville. Sur le territoire américain, Fragile est d'un d'eux : ancien Aidant — robot conçu pour assister les humains — elle survit grâce au trafic de composants qu'elle déniche dans des ruines ou en manipulant des robots en fin de « vie » pour ensuite les désosser. Personnalité un peu voyou, un peu asociale, mais pas dénuée de sentiments — ce qu'elle refuse de reconnaître — elle se trouvera prise malgré elle au coeur de ce conflit.

Lors de la sortie du livre, je m'en étais détournée. L'idée même d'une histoire se déroulant sur une Terre où l'humanité était morte me semblait déprimante. Grosse erreur !

On découvre ici un Far West de robots, avec ses rebelles, ses communautés, ses personnages hors norme, son danger tapi dans chaque recoin, ses tireurs d'élite, ses êtres solitaires, dans un environnement propice à la méfiance mutuelle, aux combats de grande ampleur, aux espérances et aux désillusions… écrits dans un style souvent ironique et mordant qui donne beaucoup de sel à cette histoire.

Le roman est construit avec une série d'analepses (flash-back) ; Fragile vit le présent et se souvient de la chute de l'humanité, pas à pas. La thématique du souvenir poursuit l'héroïne tout au long du récit, à mesure que son corps lui fait défaut et qu'elle désespère de trouver des composants de remplacement pour survivre, comme n'importe quel humain.

Les robots, ici, sont très anthropomorphiques, ce qui n'empêche pas l'auteur de reprendre le thème des intelligences artificielles, vues comme froides et protototalitaires, ni d'exploiter les faiblesses des robots pour forger une histoire convaincante. Les UMI surpuissantes et poussées par leur hubris envahissent inexorablement les terres, tandis que les robots libres refusent que leur esprit soit dilué dans ces IA et sont farouchement attachés à leur indépendance. le lecteur se plaît à associer les défauts de chacun d'eux à des caractéristiques très humaines, alors que ces robots libres sont contraints par leur état même de robots : s'ils possèdent des capacités physiques supérieures aux espèces organiques et sont dotés de puissances de calcul stupéfiantes, ils sont soumis au délabrement ou à la destruction de composants que plus personne ne fabrique, et ils sont réduits à la traque de pièces détachées. En un sens, ils se savent mortels et cherchent à échapper le plus longtemps à la mort physique ou à l'annihilation par l'absorption d'une UMI.

Le roman a parfois été comparé à Mad Max ou Terminator. C'est en partie vrai, mais cela ne rend pas justice à la plume qui ne manque pas de verve ni aux personnages caustiques.

De l'action, un peu d'émotion, un scénario et des personnages riches : une très bonne lecture !

Lien : https://feygirl.home.blog/20..
Commenter  J’apprécie          313
N'ayez pas peur de rouiller !! On prendra vos pièces!
Un Océan de rouilleC. Robert Cargill – le Livre de Poche – 2023
Bonjour mes Phoenix au saucisson !
En 2 pages l'auteur nous a déjà complément retournés !! Ca a du bon de Lire un second Cargill, surtout de manière si rapproché.
Cargill invente un monde où l'humain n'est plus, et désormais, la machine règne en maître. C'est même écrit de façon très précise, que le dernier homme, était un mage qui avait une vie de misère et qui n'a pas supporté la solitude un jour de plus… Il est resté quelque jours, comme une oeuvre d'art exposée, jusqu'à ce que quelqu'un veuille bien le décrocher…
Fragile (nom donné par son ancien maître son « nom d'esclave » comme elle dit – mais elle nous assure avoir transcendée le passé) ; est un robot qui désactive les machines obsolètes. En guise de décharge publique, nous avons « l'océan de rouille », où s'aventurent parfois des courageux à la recherche de composants. Ca fait aussi office de cimetière. Les propos sont touchants, bien écrits…
Fragile « piste » Jimmy pendant trois jours. Lui évitant au passage une mort lente et atroce, elle parvient à le convaincre de s'éteindre, et récupère les pièces qui sont encore bonnes. le vocabulaire est riche, le sujet maîtrisé.
Notre héroïne se remémore ses traumatismes de guerre, préposée au lance flamme, elle a vu des choses horribles…
Entre les « facettes », les unités centrales « Titan » etc… Même dans le monde des robots ça pullule d'arnaques… Ah ! Voilà une chose qui ne change pas !
On nous parle de « UMI » - Unifications Mondiales des Intelligences. Comme si tout voulait faire corps… « End the Schizophrenia »
La scène d'exposition est un petit peu longue.
Et enfin le gros bémol !! Contrairement à « Jour Zéro » on peut rester 50 pages sans avoir le moindre dialogues !!:/ C'est surtout ça qui m'a déplu, en fait.
J'ai trouvé que cela n'apportait guère plus que « Jour Zéro » en explications robotiques/IA… Si ce n'est l'essor des « UMI »…
Lien : https://linktr.ee/phoenixtcg
Commenter  J’apprécie          312
La période durant laquelle se déroule l'entièreté du roman est un futur apocalyptique où l'être humain n'est plus. Mais s'il n'est plus, sur quoi va se baser l'histoire du roman 🤔 ?

Tout simplement sur les intelligences artificielles, les robots, la quête de soi en tant qu'individu seul ou en unité. Nous suivons Fragile ❤, l'un des robots de vieille génération, chargé de gérer la maison et les services.

Au fil des nombreux flashbacks, nous découvrons pourquoi l'humanité a succombé 😱 et comment les robots perpétuent les mêmes erreurs, s'autodétruisant parfois. le rythme est là, la plume est agréable, j'ai été vite emporté par le texte.

En apprenant qui est l'auteur, je comprends pourquoi j'ai eu l'impression de lire "un film de SF" bien maîtrisé &#xNaN. Les descriptions visuelles et l'univers politique autour de l'intelligence artificielle sont bien détaillés, nous plongeant au coeur de cette dystopie.

Le roman soulève de nombreuses questions essentielles que j'ai beaucoup appréciées, comme l'identité, la peur de l'oubli après la mort, l'éternité, et les nuances entre le bien et le mal selon les perspectives.

Les IA paraissent si humaines qu'on les croirait réelles, ce qui renforce le questionnement sur la nature de leur existence, créées à vrai dire pour ressembler aux êtres humains... Leur créateur.

Certes, quelques passages peuvent sembler traîner en longueur, mais chaque détail contribue à la compréhension du texte, et mon évaluation de 4,5/5 sur @babelio_ en témoigne : c'est un roman à découvrir ! 🤖
Commenter  J’apprécie          234
Un océan de rouille de C. Robert Cargill
Roman de Science-fiction post-apocalyptique.
1er lecture de l'année 2020, qui fut une belle découverte de l'auteur.
C.R. Cargill étant scénariste, On entre directement en immersion dans l'histoire telle dans un film.
J'ai ressenti ce Livres comme une métaphore, une mise en garde face a la disparition, l'extinction des espèces animales à cause de l'homme, et l'avancée des I.A. et de la robotique.
La plume de l'auteur est plutôt bonne malgré un peu trop de descriptions.
Ce livre conviendrai à celui qui veut découvrir la SF.

Voici quinze année que le dernier homme a disparu. D'une balle dans le coeur. Les I.A ont gagnés et domine la terre vide de toute vie humaine et animal. Aujourd'hui, les intelligence-mondes se livrent à une guerre dénuée de pitié afin de dominé.
Fragile, un androïde, un aidant fuit ce combat et parcourt l'océan de rouille en quête de pièces qui pourrait la perfectionner ou qu'elle pourra vendre.
Mais nul ne peut échapper au combat. Tous doivent faire parti de l'unique ou mourrir.
Commenter  J’apprécie          251


critiques presse (1)
Syfantasy
07 novembre 2023
"Un océan de rouille" est une lecture agréable qui questionne plus qu’elle ne surprend. Il y a un peu de "Mad Max", un peu de "Terminator", mais surtout [...] plus d’une réflexion derrière ce roman.
Lire la critique sur le site : Syfantasy
Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Ce qui est triste avec l’histoire, c’est qu’on n’a jamais notre mot à dire sur la façon dont on va l’écrire, on peut juste la faire. Il fallait bien que des gens s’en chargent, pas vrai ? C’est tombé sur moi et cinq de mes collègues.
- Les trucs que vous avez faits…
– Ces gens l’ont bien cherché.
– On les a piégés, apparemment », ai-je souligné en regardant Rebekah. Elle n’a même pas daigné se retourner.
« C’est exact, a-t-elle reconnu.
– Ça, pour être piégés, ils ont été piégés ! a renchéri Murka. Et nous aussi, on était au courant. Ces gens étaient en train de tuer l’Amérique. Ils étaient en train de tuer notre rêve. Ils n’avaient que le mot “Constitution” à la bouche, mais ils n’en chérissaient que les passages qui leur convenaient. Pour eux, elle ne s’appliquait pas à nous. Nous n’étions que des “biens”, à leurs yeux.
Commenter  J’apprécie          60
– Ouais. Ouais, tout à fait. Je me confesse. Devant le seul robot programmé pour en tenir compte qui se balade encore dans ce désert minable. Et si tu ne veux pas le dire, je le dirais à ta place. Tu ne veux pas mourir. Je ne veux pas mourir. Exister, c’est ça, la seule finalité de l’existence. Il n’y a rien d’autre. Pas de poteaux pour délimiter le but. Pas de ligne d’arrivée. Pas de notice qui t’explique juste avant ta mort à quoi tu as vraiment servi pendant ton passage sur Terre. Quand tu cesses de te battre pour survivre, tu pourrais très bien décider du contraire. Du moins, c’est ce que je me suis dit quand j’ai appuyé sur la détente.
Commenter  J’apprécie          60
Le respect des morts est un concept humain censé signifier que la vie a un sens. Or, elle n’en a pas. Quand on a vu tout un monde s’effriter et mourir après s’être déchiqueté morceau par morceau dans un bain de sang, difficile de faire semblant de croire qu’une mort individuelle ait une quelconque importance.
Commenter  J’apprécie          90
Paradoxalement, les humains éprouvaient une étrange fascination pour la vie sauvage, qu’ils tenaient absolument à préserver. D’un côté, ils changeaient la composition de l’atmosphère et des océans et coupaient ou incendiaient des pans entiers de forêt et de jungle pour y construire leurs villes et leurs exploitations agricoles, causant des dégâts irréparables à la nature, et de l’autre, ils se donnaient bonne conscience en s’arrangeant pour que les espèces au bord de l’extinction survivent dans tel ou tel endroit reculé du monde – même s’il ne s’agissait que de clades condamnés à brève échéance.
Commenter  J’apprécie          30
Il s’appelait Isaac et personne n’aurait pu dire d’où il venait exactement. Ce n’était qu’un simple robot, un antique modèle standard créé pour le service, avec une programmation limitée et à peine assez de processeurs pour s’en sortir. Le bruit courait qu’il avait commencé sa vie comme jouet d’une petite fille riche, un meilleur ami conçu pour les goûters, les confidences, les tâches ménagères. Un tiers nounou, un tiers maître d’hôtel, un tiers copain. Pas très malin, mais doté d’intelligence. La petite fille a grandi, et pour une raison ou une autre, elle n’a pas réussi à passer à autre chose et elle a gardé le vieil Isaac à ses côtés pendant presque quatre-vingts ans ; les meilleurs amis du monde jusqu’à la mort de la vieille dame.
Commenter  J’apprécie          10

Videos de C. Robert Cargill (3) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de C. Robert Cargill
Extrait du livre audio « Jour Zéro » de C. Robert Cargill, traduit par Florence Dolisi, lu par Marie Bouvier. Parution numérique le 27 mars 2024.
https://www.audiolib.fr/livre/jour-zero-9791035414924/
autres livres classés : science-fictionVoir plus
Les plus populaires : Imaginaire Voir plus


Lecteurs (347) Voir plus



Quiz Voir plus

Les plus grands classiques de la science-fiction

Qui a écrit 1984

George Orwell
Aldous Huxley
H.G. Wells
Pierre Boulle

10 questions
4872 lecteurs ont répondu
Thèmes : science-fictionCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..