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Ted Bundy, John Wayne Gacy, le Zodiaque…. Des noms tristement célèbres qui font partie intégrante de l'histoire des États-Unis ces dernières décennies. Comme si le 20ème siècle avait créé des monstres de plus en plus violents en même temps qu'il créait des technologies de plus en plus performantes.

L'Amérique du Nord a vu naître près de 80% des tueurs en série connus. Une foultitude d'études ont été menées pour tenter de comprendre ou d'expliquer ce phénomène et le sujet a fait et fera encore les beaux jours de nombreux auteurs du monde entier ainsi que des lecteurs fascinés par les serial killers.

Ce mélange de fascination et de répulsion est un paradoxe étonnant. de la même manière que certains ralentissent pour regarder un accident, nous sommes attirés inexorablement par cette violence subies par nos semblables. L'humain se rassure à travers le malheur de l'autre.

Reprendre ce thème traité tant de fois sans tomber dans les pièges et les clichés du genre n'était pas un pari gagné d'avance pour R.J. Ellory mais c'était sans compter sur le talent fou de l'auteur anglais qui a su y insuffler un style très original, très personnel.

Car le génie d'Ellory se tient là : des romans d'une profondeur rare, traitant de sujets graves et intensément humains. Des personnages nombreux et fouillés, une vie inventée pour chacun d'entre eux même pour les plus insignifiants.

La distribution est si soignée, les protagonistes si vivants qu'ils en deviennent palpables. Ils prennent vie et dimension, sortent des pages et donnent l'impression qu'ils sont fait de chair et de sang et non de papier et d'encre. Tel est le don d'Ellory.

Le mélange de réalité et de fiction finit de faire de ce roman un thriller très atypique et le long labeur de documentation qu'on imagine nécessaire pour l'écriture est plus que remarquable. Les lieux, les dates, les noms et détails : tout est là et c'est avec un respect évident que l'on se doit de lire ce roman tant l'ouvrage est ciselé et travaillé avec le souci du travail bien fait.

Le seul regret que je pourrais avoir et qui ne fera pas passer le roman dans mes coups de coeur concerne la fin que je n'ai pas trouvée tout à fait à la hauteur du roman. le suspense maintenu jusqu'aux derniers chapitres aurait mérité un final explosif et un tant soit peu plus long. Les presque 600 pages tournées avec passion se referment sur ce léger bémol tout subjectif et peut être dû au manque anticipé après la lecture de cet excellent roman.

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1984, un homme qui se fait appeler « le marteau de Dieu » tue de jeunes couples entre 15 et 20 ans. John Costello qui a alors 17 ans survit à ce tueur, il sera le seul.
2006, l'inspecteur Irving est sur les traces d'un homme qui reproduit les meurtres des plus grands serial killers américains. de son côté, grâce à son intérêt et à ses connaissances sur les tueurs en série, John Costello est devenu documentaliste pour le journal City Herald. Tous les deux vont faire équipe pour mener à bien cette enquête.
Un polar haletant et bien ficelé qui nous conduit dans les obsessions des rescapés de tueurs en série et les passions que ces derniers peuvent engendrer. Ellory nous dresse un portrait des plus grands serial killers américains du Zodiac à Shawcross en passant par Ted Bundy… un roman qui fait froid dans le dos !
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J'ai mis exactement trois semaines à finir ce bouquin. Ce qui est pour moi, il faut l'avouer, assez bizarre. Ne vous méprenez pas, ce n'est pas (uniquement) de sa faute à lui. Parfois la vie vous déborde sans raison aucune et le temps file encore plus vite qu'à l'ordinaire mais c'est vrai que je n'avais peut-être pas choisi le "bon" roman pour l'accompagner, cette période.
Les Assassins raconte l'histoire de John Costello, survivant du tueur du Marteau de Dieu qui l'a attaqué, lui et sa copine, lorsqu'il était adolescent et celle de Ray Irving, flic bourru et solitaire comme on en fait tant dans la littérature policière. Ces deux personnages vont mettre leurs forces en commun pour tenter d'arrêter un tueur en série bien particulier qui oeuvre en ce moment dans les rues de New-York. le tueur en question "s'amuse" à reproduire d'anciens meurtres, d'anciennes affaires, résolues ou non, dans les moindres détails et John, vraisemblablement atteint d'une sorte de Syndrome d'Asperger, est le seul à découvrir ces similarités et à peut-être pouvoir les prévoir.
Au-delà d'un énième roman policier autour d'un thème à la mode, nous avons ici affaire à une véritable encyclopédie du serial killer américain, les faits s'accumulent, on redécouvre des tueurs qu'on connaît bien comme le tueur du Zodiaque et on apprend à connaître les autres. C'est sans doute pour cela que j'ai mis si longtemps à le lire, l'accumulation de "facts", de descriptions, de retour dans le passé pour nous présenter John Wayne Gacy, impose presque une lecture lente, à la manière dont on lirait un essai sur le même sujet. Cette lenteur se retrouve aussi dans le temps de la narration, puisqu'ici, de façon tout à fait crédible, les morts ne se succèdent pas à la vitesse du tgv, et parfois plusieurs semaines, voire des mois, avant qu'un nouveau cadavre ne fasse son apparition, laissant nos deux enquêteurs dans une expectative douloureuse. Autre point intéressant, contrairement à pas mal de romans récents mettant en scène des serials killers, ici, le commémorateur (comme le nomme à juste titre Irving) n'est pas l'un des personnages principaux, comme peut l'être celui de Leçons d'un Tueur, par exemple (nous rentrions dans sa tête pendant des chapitres entiers, ce qui permettait de comprendre son fonctionnement, la logique et la nécessité qu'il mettait dans ses meurtres). John Costello et Ray Irving sont les seuls maîtres à bord.
Les Assassins est le premier roman de RJ Ellory que je lis (les autres ne m'intéressent pas spécialement, j'ai en horreur les thématiques autour de la mafia et de la politique dans les polars) et je dois dire que, même si ce n'est pas un coup de coeur et que j'ai mis beaucoup plus de temps qu'il en fallait pour le lire, j'ai beaucoup apprécié cette lecture. Je regrette juste de l'avoir faite à ce moment-là.
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J'ai lu ce livre nullement d'une traite trop occupée à d'autres tâches hélas.
Cela n'a pas du tout nuit à l'essence du livre grâce au talent de l'auteur dans un registre totalement différent. J'ai adoré d'abord l'écriture, quel délice. La construction du livre, fouillée, remplie de détails, où j'ai été plongée dans la réalité de Ray Irving, de sa personnalité, du fait que dans ce métier tout n'est vraiment pas rose. Cerise sur le gâteau l'auteur nous livre une succession de crimes « copycat » qui ont été fomentés par des "serials killers" pour terminer par le massacre à Amityville de toute une famille. le mot « commémorateur » un mot inventé ? L'auteur s'est basé sur des faits réels en y mélangeant avec astuce de la fiction. Tout se passe dans une forme d'intemporalité à New-York. La fin ? Une logique implacable qui m'avait vraiment échappée quant aux dates d'anniversaires des meurtres. Coup de maître de la part de l'auteur. le dernier tiers du livre prend la vitesse supérieure, un régal au niveau suspens. Je n'en dirai pas davantage pour ne rien dévoiler.
J'ai retrouvé dans ce livre, un peu de la tournure de « Seul le Silence » dans certaines pensées émises par Ray Irving, ceci comme par le héros, de ce livre.
Un livre à lire, certes, certes. Oui, oui, Avec enthousiasme pour ma part.
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R.J. Ellory m'a fait passer un excellent moment de lecture avec ce roman ! C'est un roman classique dans sa construction et son déroulement, mais la plume de l'auteur et l'originalité de ses personnages ont fait que je n'ai pas été déçue du voyage, loin de là !

Rien qu'avec le premier chapitre, l'auteur m'a emballé ! Nous découvrons le personnage de John Costello, jeune homme qui va être victime d'un tueur en série et développer une sorte d'obsession pour les assassins par la suite. C'est un personnage que j'ai adoré, non pas parce qu'il m'a ému, mais parce qu'il est à part et incompris. J'ai également beaucoup apprécié le personnage de Ray Irving, ainsi que Karen Langley.

Mais la grande force de ce roman, c'est la plume d'Ellory. Imaginez de la dentelle : de simples fils très fins se regroupant pour former un ensemble complexe. Et bien c'est l'image que m'a renvoyé ce roman. Même s'il fait plus de 500 pages, ce beau pavé se lit très rapidement et avec avidité, grâce à l'ambiance très « teintée de gris » qu'arrive à y instaurer l'auteur.

Et que dire de cette enquête absolument folle, où la police traque un copieur. Les cadavres s'amoncèlent, les indices se raréfient, et jusqu'aux toutes dernières pages, il est impossible de deviner qui se cache derrière ce mystérieux meurtrier. Il m'a juste manqué plus de précisions sur ce dernier, son parcours, sa vie, sa personnalité. Un épilogue plus long et plus détaillé m'a manqué.

Il me tarde maintenant de découvrir d'autres romans de R.J. Ellory, car c'est le genre d'auteur, comme Michael Connelly, qui est selon moi une valeur sure !

16/20
Lien : https://matoutepetiteculture..
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Encore un très grand Ellory, certes que je ne placerai pas au niveau de "Vendetta" ou de "Seul le silence", mais quand même de très haute voltige.
Quatre personnages principaux avec inévitablement celui qui se donne corps et âme pour élucider l'enquête qui s'avère longue et compliquée; la victime qui vit comme un ermite depuis qu'elle a échappé à la mort; la journaliste, avec laquelle les rapports sont compliqués même si on y décèle un soupçon de bégain; et enfin le commémorateur, celui qui décime une partie de la population New-Yorkaise en se jouant de tout ce beau monde précité.
C'est percutant, c'est du Ellory, et on ne parlera jamais d'ennui dans ce roman, comme c'était d'ailleurs le cas dans les oeuvres précédentes.
C'est du polar bien ficelé qui prend ses sources, malheureusement dans les statistiques de faits réels de tueurs en série, des fous furieux avec parfois, l'imagination débordante.
Vous aimez l'écriture d'Ellory, allez-y, c'est du lourd. Pour moi un des très grands du polar.
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Il est vrai que les serial killers ont toujours fascinés les gens. C'est assez morbide dans le fond, mais c'est ainsi. Ils ont inspirés des films, des séries et de nombreux livres. Et celui-ci est particulièrement intéressant. J'ai vraiment adoré me plonger dans cette histoire.

De nombreux meurtres, complètement différents les uns des autres, ont eu lieu un peu partout dans la ville de New York. John Costello, documentaliste pour un journal, a trouvé un schéma dans ces meurtres et pense qu'il s'agit d'un seul et même tueur. Ray Irving, enquêteur pour l'une de ses affaires, va sérieusement s'intéresser à cette hypothèse et va tout faire pour empêcher un autre meurtre. C'est ainsi que l'on se retrouve dans une course contre la montre. Surtout que le tueur semble toujours avoir un coup d'avance.

R.J. Ellory mène son histoire d'une main de maitre, avec un récit haletant, sans un seul petit moment de répit. On enchaine les pages, on veut savoir, on cherche, on est complètement immergé dans l'intrigue, c'est fascinant. on recoit beaucoup d'émotions tout au long du récit ; de l'espoir, de la tristesse, des doutes, de la joie, de la frustration aussi ...

J'ai vraiment adoré cette lecture, et je remercie Priceminister de m'avoir donné la possibilité de découvrir cet auteur. j'ai bien l'intention de lire d'autres écrits de ce Monsieur. #MRL15 #Priceminister
Lien : https://shelunaitachronicles..
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Je découvre la plume de RJ Ellory avec son roman " Les assassins". Un auteur que je lis pour la première fois, sous les conseils avisés d'ami(e)s lecteurs, que je remercie au passage.

Les assassins est un pur roman d'excellence qui m'a procuré de nombreuses belles heures de lecture.

Comme je l'ai déjà dit sur de précédents articles, je suis passionnée par les histoires de tueurs en série et RJ Ellory nous délivre ici une histoire incroyable autant dans le fond que dans la forme.

L'auteur nous amène à New York et nous met face à un tueur en série redoutable., insaisissable. Quatre meurtres d'une violence inouïe à son actif, en l'espace de quinze jours. Des lieux différents, des modes opératoires complétement différents aussi, les enquêtes sont confiées à plusieurs commissariats. La police piétine et les cadavres s'amoncellent.

Une personne va faire le lien : John Costello. John est documentaliste au City Herald et enquêteur pour le compte de Karen Langley, journaliste. Durant son adolescence, il a lui même échappé in extremis aux griffes d'un tueur en série surnommé "Le marteau de Dieu". Gravement blessé, il n'a malheureusement rien pu faire pour sauver sa petite amie de l'époque, Nadia, qui succombera tout de suite à la violence des coups de marteau portés par le tueur. Depuis ce jour, profondément traumatisé par ce sombre pan de son passé, John voue une totale obsession pour tout ce qui concerne les tueurs en série. Doté de capacité mémorielle prodigieuse, il a tout lu, tout analysé, exploré les moindres documents relatant de tueurs en série jusqu'à en devenir une véritable encyclopédie.

John reconnaît tout de suite, à travers les meurtres, l'oeuvre de tueurs en série ayant sévi par le passé. Les modes opératoires sont identiques, au détail prés, et chose encore plus édifiante, ils sont commis exactement le même jour que leur funestes prédécesseurs.

Ray Irving, le flic en charge de l'enquête, apprend l'existence de John et de sa théorie selon laquelle tous ces meurtres seraient commis par une seule et même personne. Ensemble, ils vont devoir tout faire pour arrêter le meurtrier au plus vite, qui n'a de cesse de mener la police par le bout du nez.

Mais Irving, peut-il vraiment faire confiance à John ?

Alors, dans le genre de livre relatant des tueurs en série, "Les assassins" est une véritable référence. RJ Ellory nous délivre une intrigue d'une précision remarquable, quasi chirurgicale. Extrêmement bien documenté, il relate, à travers son intrigue qui relève de la fiction, l'histoire de tueurs en série ayant véritablement sévi par le passé sous la forme d'articles de presse, d'extraits d'interrogatoires (...) Que ce soit Harvey Louis Carignan, John Wayne Gacy, Douglas Clark et ses acolytes de barbarie Bundy et Murray....RJ Ellory remonte le temps, et nous fait croiser la route de ces serials killers. Et croyez moi, pour une passionnée comme moi, j'ai trouvé ça plus qu' intéressant.

Une plume qui vous transporte

Comme je l'ai déjà dit plus haut, j'ai découvert la plume de RJ Ellory avec ce livre et oh la la comme je suis ravie de cette découverte. L'auteur a une plume majestueuse. Il vous happe, vous transporte...Vous êtes suspendus à ces mots et malgré la noirceur de l'intrigue, vous avez l'impression d'être empli de légèreté.

Que ce soit en terme de descriptions ou de personnages, l'auteur fait preuve d'une précision et de détails d'une grande intelligence. Rien n'est laissé au hasard, tout a son importance et c'est là je pense l'un des gros points forts de RJ Ellory, c'est que l'auteur est capable de dérouler son histoire dans le détail sans pour autant que le lecteur ne ressente un soupçon d'ennui. Et là, je dis un grand bravo, car n'étant pas fan de longues descriptions (qui ici n'en sont pas), je n'ai à aucun moment senti ma lecture s'essouffler...non, non, non, au contraire, le livre aurait pu comporter 500 pages de plus, je me serai laissé guider jusqu'à ...??? Mort s'ensuive, non peut-être pas ;-)

Ce que je veux dire, c'est que RJ Ellory met une telle intensité dans chaque mot employé, chaque personnage, chaque situation que vous ne pouvez que vous laisser envelopper dans son cocon (noir, je vous l'accorde) et vous laissez bercer au rythme de sa plume/prose ....

Comme vous l'aurez compris, un livre que j'ai adoré, dévoré.....Premier livre lu de l'auteur mais alors, loin d'être le dernier. D'autant plus que j'en ai 2 dans ma Pal qui attendent gentiment d'être lus (dont Seul le silence qui au dire de beaucoup est une bombe)

Ami(e)s lecteurs/lectrices, à mon tour je vous conseille fortement, chaudement de lire ce livre et au delà de ça de découvrir cet auteur qui est, je le découvre et le crie, un incontournable du genre.


Lien : http://polarsetcompagnie.blo..
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J'avais hâte de lire ce livre.
Un crescendo de 500 pages.
Tordu, malade et efficace.
La boucle est bouclée, mais décevant.
Je continue à me poser des questions, ce qui est troublant.
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Le roman de Serial Killers !

Dans ce nouveau roman, Roger J Ellory se penche sur la fascination que nous pouvons avoir pour les tueurs en série.

New York, quatre meurtres en quinze jours, aucun point commun entre ces affaires. le NYPD n'a aucune raison de penser à l'oeuvre d'un tueur en série. Une seule personne s'en rend compte : John Costello. Encyclopédie vivante des serial killers, documentaliste au City Hérald, il est l'enquêteur de la journaliste Karen Langley. John va permettre à la police de faire le lien entre ces quatre assassinats. Les crimes sont perpétrés avec le même mode opératoire et à la date anniversaire d'un meurtre commis par l'un des célèbres tueurs en série ayant agi sur le territoire américain.
L'enquête est attribuée à Ray Irving, inspecteur au commissariat n°4. Les crimes s'enchainent et les recherches piétinent. Aidé par John, Ray tente de mettre un terme à cet hommage macabre malgré le manque de moyens et l'absence totale d'indice.
Ray et John ont un point commun, ils ont tous les deux perdu un être cher, leur bien aimée. Comment survivre après ça ? Comment faire face au deuil ? Comment se reconstruire et avancer ? Voici quelques questions auxquelles l'auteur tente de répondre.
RJ Ellory nous invite à la suivre sur les traces de ces monstres qui nous fascinent tant.
Une enquête très bien ficelée, inspirée de faits réels, des personnages vrais aux caractères affirmés, un style et un rythme, tous les ingrédients sont là pour faire de ce polar un page-turner qu'il vous sera difficile voire impossible de lâcher. Avec ce nouvel opus il s'impose encore un peu plus comme une des valeurs majeures du roman noir contemporain.
Lien : http://www.librairie-renaiss..
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