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EAN : 9782253070658
384 pages
Le Livre de Poche (04/01/2017)
3.44/5   56 notes
Résumé :
Dans l’œuvre de Louise Erdrich, le rêve peut surgir du quotidien, le comique tourner au tragique, la violence et la beauté envahir tout à coup un paysage banal.

Rassemblées pour la première fois en deux volumes (La décapotable rouge et Femme nue jouant Chopin), ces nouvelles publiées dans des revues littéraires et des magazines américains sont marquées par l’imaginaire sensuel et fertile d’un écrivain singulier.

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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Il y a quelques semaines, il n'y avaient que les nouvelles qui m'attiraient. L'esprit trop pris par ailleurs pour me plonger dans un long roman, je voulais pouvoir m'évader mais pouvoir revenir vite à la réalité, pouvoir reposer mon livre après quelques pages et revenir dans la « vraie vie » sans avoir le sentiment d'abandonner mes personnages... le format de la nouvelle était donc exactement ce qu'il me fallait. Et puisque je venais de recevoir un exemplaire de [Femmes nue jouant Chopin] (quel beau titre pour titiller la curiosité et l'imagination du lecteur!), il m'a semblé évident de commencer la lecture de ce livre.
Je me suis aperçue avant de commencer que ce recueil est en fait le second tome des nouvelles écrites par Louise Erdrich entre 1978 et 2008. le premier volume, [La Décapotable rouge] (littéralement traduit du recueil en anglais qui ne comprend qu'un volume) m'était inconnu bien qu'il soit disponible en librairie, alors que [Femme nue jouant Chopin] ne peut être trouvé que d'occasion. Je garde donc ce premier tome en tête pour une lecture future, car j'ai beaucoup apprécié ce que j'ai lu ici et je ne serais pas contre une petite piqûre de rappel.
Je pourrais citer beaucoup de nouvelles qui m'ont particulièrement plu, mais j'irai plus vite à faire la liste de celles qui m'ont laissées tièdes (mais je ne le ferai pas). J'ai apprécié la variété de ces nouvelles, tant dans leurs thèmes que dans leurs personnages ou les époques. Louise Erdrich est certes connue comme une des représentantes de la « Renaissance amérindienne », mais elle n'interdit pas d'explorer le quotidien de personnages blancs, souvent des pionniers, toujours dans les grands espaces américains, mais avec diversité et nuance. Il y a parfois du réalisme magique dans ses histoires, parfois du réalisme tout court. Mais il y a toujours beaucoup d'attention, pour ne pas dire de tendresse, portée à ses personnages principaux ou secondaires. Elle dépeint la vie difficile, parfois frustre, les aspirations trop souvent déçues, les réalités d'une nature exigeante, mais aussi la complexité des relations humaines et des amours déclinés sous différentes formes.
Certaines de ces nouvelles ont été déclinées ensuite en roman, je n'ai lu aucun des romans de Louise Erdrich, hormis un roman pour jeunes lecteurs, je ne suis donc pas très bien placée pour commenter ce point, mais j'ai reconnu dans une nouvelle la trame de [Ce qui a dévoré nos coeurs] et probablement aussi une qui se rattache à [La Chorale des maîtres bouchers], mais ces nouvelles se suffisent à elles-mêmes et je trouve la plume et l'imaginaire de Louise Erdrich particulièrement adaptés à la forme courte. A me demander, même, si j'ai envie de lire des romans d'elle… Je pense que je le ferai un jour, certes, mais ce ne sont pas ses plus connus (ni ses plus disponibles) qui m'attirent et je crois que pour l'instant, je vais continuer à explorer avec délectation ses nouvelles et sa série pour enfants.
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Ces nouvelles ont été publiées entre 1978 et 2008. Dommage qu'elles ne soient pas datées dans la table des matières, cela m'aurait permis de voir si mes préférées sont toutes plus ou moins de la même période. Parce que si je n'irai pas jusqu'à dire qu'il y a à boire et à manger dans ce recueil, il faut reconnaître que certaines histoires sont bien plus anecdotiques que d'autres. En fait, jusqu'à la nouvelle éponyme, je me suis un peu ennuyé (en dehors du texte « le lait paternel » où un soldat récupère et élève un bébé après le massacre d'un village indien). Mais à partir de « Femme nue jouant Chopin » et pendant les trois nouvelles suivantes, je me suis régalé.

Erdrich met en scène des hommes et des femmes, la plupart du temps des indiens du Dakota du Nord, écartelés entre modernité et traditions. Elle nous les montre le plus souvent à un moment crucial, un point de bascule où les relations évoluent, en bien ou en mal, et elle décline de manière récurrente les thèmes de l'identité, la tribu, la mémoire. Elle inclut par ailleurs avec une facilité déconcertante une dose de poésie et des éléments oniriques proches d'un certain réalisme magique. Il se dégage de ces récit une vraie puissance narrative, beaucoup de minutie dans les descriptions et un art consommé de las chute.

Un recueil certes inégal mais dans lequel j'ai aimé cheminer, même si ce fut parfois sur la pointe des pieds. Et incontestablement, Louise Erdrich est une grande conteuse.
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Ce second recueil de nouvelles, regroupe avec La décapotable rouge les textes écrits et publiés dans la presse américaine par Louise Erdrich. Ce sont de courtes histoires qui, parfois, ont été développées dans ses romans. Elles sont toutes inscrites dans l'univers marqué de l'auteur, univers amérindien d'hommes et de femmes laissant exploser leur nature et leurs passions, mais aussi un univers de nature et de magie.
L'amour éclate ici sous toutes ses formes, percutant les femmes de la cinquantaine, donnant aux hommes de la virilité, révélant les amours filiaux et fraternels.
» C'était un jeune amour, allumé dans des corps fatigués, qui parfois les fissurait à la manière d'un feu trop vif dans un vieux poêle en tôle. »

» Fidelis aimait Eva avec un dévouement de chien, farouche et impuissant, qui le poussait à accomplir des actes apparemment ridicules. Soulever un homme par sa ceinture avec les dents. Une idiotie. Montrant clairement que toute sa force ne représentait rien. Que face à la maladie d'Eva, il était aussi faible qu'un enfant. »

» Elle se penche et m'entoure de ses bras. Tandis qu'elle me tient contre elle, nous commençons à nous balancer d'avant en arrière. Ma soeur me berce dans les fils sous tension de Goth Lolita à l'odeur de garçon et curieusement réconfortants qui lui font office de bras. »

Les passions dévorent, la nature sauvage amplifie les ambiance et l'auteur reste souvent ancrée dans l'atmosphère amérindienne avec des indiens poussés vers l'alcool et la drogue mais attachés à leur coutumes, leurs façons de vivre et leurs objets ancestraux.
« Il y a eu une époque où le gouvernement a déplacé tout le monde de la réserve, dans des rues, des bourgs, des logements. Cela a d'abord paru une bonne chose et puis tout a mal tourné. »

Si vous aimez l'univers de Louise Erdrich, vous le retrouverez ici sous son meilleur aspect. Habituée à lire des nouvelles, il m'a toutefois semblé ici que certaines n'étaient pas suffisamment complètes, avec notamment quelque fois des fins énigmatiques ( le lait paternel ou Revival road par exemple) ou des manques ( Femme nue jouant Chopin, nouvelle trop longue qui a ici été coupée).

Pour apprécier ces nouvelles, il faut savoir, comme à la chasse, se laisser mener par la proie et non tenter de la diriger. Se couler dans l'atmosphère, et ne pas vouloir aller au-delà de ces « textes embryonnaires qui n'ont pas voulu me lâcher » (dit Louise Erdrich).

Mais vous l'avez compris, l'univers de Louise Erdrich, je l'aime quand il est incarné, creusé et enrichi de ces personnages puissants qui ont besoin d'espace pour me plonger dans leurs histoires et leurs passions.
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Femme nue jouant Chopin rassemble 16 nouvelles qui abordent toutes le sujet de la femme indienne des réserves américaines, sa vie sociale, et amoureuse. Louise Erdrich a pour mère une amérindienne Ojibwa (famille des Chippewa) et pour père Ralph Erdrich un germano-américain. Grâce à ce métissage, elle possède la distance nécessaire et la connaissance intime qui font toute la richesse de l'approche de son sujet. Elle incarne magnifiquement la littérature indienne contemporaine.

L'auteur se projette plus ou moins dans les personnages de femmes de caractère, sensuelles, qui s'émancipent et dérangent les schémas classiques de vie amoureuse. Ainsi, la nouvelle Anna, décrit la relation à trois que la protagoniste met en place, avant d'abandonner maris et enfant pour aller travailler à Minneapolis. En ouverture du recueil, ce texte donne le ton. Dans le lait paternel, Louise Erdrich renverse les rôles jusqu'à faire de Scranton Fox une étrange nounou qui recueille une petite indienne égarée. Les femmes sont de véritables prédatrices dans la nouvelle du Gravitron, non dénuée d'humour et d'autodérision. le mooz est l'histoire d'un couple âgé mais d'une ardeur incroyable, et de leurs aventures épiques de chasse au wapiti. Là encore, c'est Margaret, la femme, qui est la figure dominante et qui possède son époux. Une amitié féminine, assez touchante et presque ambigüe, est au coeur de la nouvelle de la Femme du boucher.

Plusieurs textes ont pour thème la musique. C'est le cas de Femme nue jouant Chopin qui est une pièce centrale, puisqu'elle donne son titre au recueil. Shamengwa traite aussi du même sujet. Uniquement autorisée à l'église dans le répertoire de Bach – hors mis les Variations Goldberg -, la musique véhicule trop de passion – jusqu'à un degré d'érotisme inacceptable quand il s'agit de Chopin. Elle est dangereuse, subversive, défendue par la religion. Et pourtant, elle a une dimension protectrice, libératrice et rédemptrice.

La religion, luthérienne dans la Femme du boucher, constitue dans les nouvelles un élément très négatif, source de frustrations. L'hypocrisie des fidèles est soulignée, non sans ironie.

Les relations de couple sont turbulentes, en particulier dans Hasta namaste, baby. C'est le mensonge qui cause le naufrage dans cette nouvelle. Louise Erdrich a une expérience personnelle assez significante mais peut être est-ce aussi un phénomène propre aux évolutions de société en général. Toutefois, la transgression est un thème omniprésent dans les textes de l'auteur.

La dernière nouvelle du recueil, La beauté volée à un autre monde, est aussi ma préférée. Plus apaisée, après la violence des autres textes, elle permet de refermer le livre en douceur.

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la femme Ojibwé sans jamais oser le demander, vous le trouverez dans les textes de Louise Erdrich. C'est une approche immersive que ses nouvelles permettent à tous. Même si elle refuse de traduire certains mots Ojibwés, on a le sentiment de connaître le caractère intrinsèque de ses personnages, et de mieux comprendre leur destinée.

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Femme nue jouant Chopin, par Louise Erdrich. Ce recueil de nouvelles s'il se laisse lire avec facilité ou gourmandise par les amateurs du genre, s'il traite de sujets variés avec intelligence, subtilité, finesse, et emmène le lecteur dans des mondes nappés d'authenticité en même temps que souvent inconnus de lui, ce recueil donc est de commentaire difficile du fait de son éparpillement.
Il faut trouver alors une unité, une spécificité à ces histoires, qui, nous dit l'auteure, ont été écrites à des périodes éloignées les unes des autres. Certaines de ces nouvelles mettent en scène des indiens ojibwé et des réserves dans le Dakota du Nord ou ailleurs. Ces personnages sont à première vue intégrés dans l'American way of life, même s'ils vivent un peu à part et gardent en eux des manières de penser spécifiques, des souvenirs propres et des pratiques traditionnelles. On peut aussi évoquer une grande sensualité chez Louise Erdrich, aussi bien quand elle décrit des paysages que des sentiments humains, aussi bien dans le fond que dans la forme, dans le style, dans le rythme, dans un sens du détail, de l'exactitude, de la beauté aussi, enfin dans l'intelligence et la finesse de la phrase.
Illustrons par l'exemple, non pas au hasard bien sûr, deux nouvelles qui m'ont marqué.
La femme du boucher est le titre d'une nouvelle relatant l'amitié entre Delphine, femme d'origine polonaise qui vit avec son père, un alcoolique coriace et Eva, la femme du boucher, un couple allemand. La seconde, qui noue avec la première une relation amicale, forte d'emblée, plus que de subordination, même si elle l'embauche au magasin, devient un sujet d'admiration, un modèle, un exemple de réussite, de maîtrise de soi, d'équilibre, qui pourtant succombera à la souffrance quand la maladie la terrassera.
Cette nouvelle apparaît comme une succession d'évènements, de faits, d'anecdotes, bien plus qu'une exposition ou une analyse de sentiments, et pourtant apparaissent en filigrane, en permanence, les manifestations tacites d'une amitié sincère et profonde.
Dans une autre nouvelle puisée dans le monde indien à différentes époques, titrée le châle, Aanakwad, mariée à un homme qu'elle n'aime pas, et dont elle a deux enfants, une fille de neuf ans et un garçon de cinq ans, est amoureuse d'un homme qui vit de l'autre côté du lac, et qui lui a donné un troisième enfant. À la naissance de ce bébé, elle part avec l'oncle de son amant pour retrouver ce dernier, et prend avec son elle son bébé et sa fille, cette dernière toujours enveloppée dans un châle écossais dont elle ne sépare pas. le garçon veut être de l'équipée et suit le chariot, mais des loups s'en approchent, affamés. le père qui pressent alors un malheur ramène le garçon à la maison, et va sur les traces du chariot. Il voit des restes humains et le châle… Branchée sur cette nouvelle, l'histoire d'un homme, toujours saoul, veuf, trois enfants, peut-être victime des bouleversements qu'ont subis les Indiens de la part du gouvernement. Un jour que son aîné, habitué à être battu, se retourne contre son père, celui-ci qui, dans la rixe, tente de protéger un morceau de châle écossais vieilli, dit à son fils : « Sais-tu que j'avais une soeur ? » et raconte la fuite de sa mère et la mort de sa soeur aînée, sacrifiée par sa mère pour éloigner les loups. Dans un élan moraliste et se fondant sur les qualités de bonté et d'altruisme caractérisant étrangement le peuple de leur tribu, le fils émet l'hypothèse du sacrifice de sa personne par la soeur. C'est très fort.
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critiques presse (1)
LaLibreBelgique
02 décembre 2014
Louise Erdrich n’a cessé, au fil d’une œuvre riche et passionnante, d’honorer, en conteuse hors pair et passeuse de traditions, la culture amérindienne, celle de ses ancêtres de la réserve de Turtle Mountains, dans le Dakota du Nord.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
L’amour est toujours agréable au début. Sur l’autre il y a toujours quelque chose qui scintille, une couche de peinture fragile. Qui disparaîtra, et avec le temps ce qui est en-dessous finit par apparaître
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Si seulement nous n'avions pas à mourir du tout mais devenions plutôt des corbeaux. J'ai observé ces oiseaux avec tant d'attention que je sens leurs plumes noires pointer sous ma peau. Pour voler d'arbre en arbre, le corbeau plane dans les airs, à la manière de l'aigle. Je plane ainsi dans le sommeil, entre une journée et la suivante. Quand nous sommes jeunes, nous croyons être la seule espèce qui vaille la peine d'être connue. Pourtant, plus je connais les gens, plus j'aime les corbeaux.
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Le rire d'un corbeau est un son intolérablement humain. Vous le connaissez peut-être si vous avez entendu dans votre propre gorge le bruit produit par ce mot typiquement allemand, Schadenfreude.
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Agnès DeWitt était trop jeune pour comprendre le don précieux qu'elle partageait avec Berndt. Elle possédait avec tant de facilité un amour que la plupart des humains ne rencontrent jamais, et pour lequel ceux qui en connaissent l'existence sont tout prêts à mourir ou à devenir fous. Or elle n'avait rien fait de plus que d'arriver jusque dans la grange d'un brave homme qui avait un talent singulier pour la tendresse quotidienne autant que pour les tonalités les plus profondes de l'amour humain.
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Au début quand on attend quelqu'un, chaque ombre est une arrivée. Puis les ombres deviennent la substance même de l'effroi.
[...]
Ils ont laissé le violon ici avec moi. Chaque nuit je joue pour toi, mon frère, et quand je ne pourrai plus jouer, j'attacherai notre violon dans la canoë et l'enverrais vers toi, pour qu'il te trouve où que tu sois. Je n'aurai pas à le percer pour qu'il parcoure le fond du lac. Tes trous feront l'affaire, Frère, comme mon sale tour t'a fait ton affaire.
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Videos de Louise Erdrich (23) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Louise Erdrich
C'est par la poésie que Gaëlle Josse est entrée en littérature. Elle a publié plusieurs recueils, jusqu'à ce jour où elle découvre un tableau d'un peintre flamand qui la happe littéralement. Sur cette toile, une femme, de dos, dont il devient urgent pour Gaëlle Josse de raconter l'histoire. Son premier personnage est là et le roman naît. Les Heures silencieuses paraît en 2011. En treize ans, treize autres livres suivront : des romans, des essais, un recueil de microfictions. Tous nous embarquent dans des univers différents, font exister des personnages -réels ou fictionnels-, disent la force de l'art -pictural, photographique ou musical-, et mettent des mots sur nos émotions avec une grande justesse.
Au cours de ce deuxième épisode de notre podcast avec Gaëlle Josse, nous continuons d'explorer son atelier d'écrivain : ses obsessions, son processus d'écriture, la façon dont le désir d'écrire naît et grandit. un conversation émaillée de conseils de lecture et d'extraits.
Voici la liste des livres évoqués dans cet épisode :
- Et recoudre le soleil, de Gaëlle Josse (éd. Noir sur blanc) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/20108563-et-recoudre-le-soleil-gaelle-josse-les-editions-noir-sur-blanc ;
- À quoi songent-ils, ceux que le sommeil fuit ?, de Gaëlle Josse (éd. Noir sur blanc) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23044434-a-quoi-songent-ils-ceux-que-le-sommeil-fuit--gaelle-josse-les-editions-noir-sur-blanc ;
- La Nuit des pères, de Gaëlle Josse (éd. Noir sur blanc/J'ai lu) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22564206-la-nuit-des-peres-gaelle-josse-j-ai-lu ;
- Ce matin-là, de Gaëlle Josse (éd. Noir sur blanc/J'ai lu) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/20840891-ce-matin-la-gaelle-josse-j-ai-lu ;
- L'Amour, de François Bégaudeau (éd. Verticales) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22446116-l-amour-francois-begaudeau-verticales ;
- La Sentence, de Louise Erdrich (éd. Albin Michel) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22512129-la-sentence-louise-erdrich-albin-michel.
Invitée : Gaëlle Josse
Conseils de lectures de : Anthony Cerveaux, bibliothécaire à la médiathèque des Capucins, à Brest, et Rozenn le Tonquer, libraire à la librairie Dialogues, à Brest
Enregistrement, interview et montage : Laurence Bellon
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Les Éclaireurs de Dialogues, c'est le podcast de la librairie Dialogues, à Brest. Chaque mois, nous vous proposons deux nouveaux épisodes : une plongée dans le parcours d'un auteur ou d'une autrice au fil d'un entretien, de lectures et de plusieurs conseils de livres, et la présentation des derniers coups de coeur de nos libraires, dans tous les rayons : romans, polar, science-fiction, fantasy, BD, livres pour enfants et adolescents, essais de sciences humaines, récits de voyage…
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