Un silence de fer

Titre original italien :Ferro Recente. 123 pages, 1è édition 1992
De nos jours, un double crime inattendu, apparemment inexplicable et inexplicablement féroce.
Un jeune couple est agressé et massacré dans une station service sur la route de Nuoro, puis "gracieusement" allongé avec soin devant leur voiture, une Alfa, immatriculée à Bologne.
S'ensuit une série d'événements qui s'enchaînent, se mêlent les uns aux autres, des échos, des résonances, des liens qui vont des années quatre-vingt à nos jours, de l'Emilie à la Sardaigne, des histoires de terrorisme aux histoires de sang, passion et folie.
Et par dessous tout ça, un mystère, un mystère qui provoquera d'autres morts.

C'est une histoire complexe qui émeut et qui blesse. Mais fragmentée et embrouillée. Des personnes,des existences qui reviennent du passé.
J'ai eu parfois besoin de relire et, surtout, au début, j'avais préparé la liste de tous ces noms!
Ce roman noir raconte les désillusions, les erreurs d'une génération qui finit par se trahir elle-même.

Le résumé me tentait bien.
L'histoire commençait bien.
Le décor était fixé.
Puis je sais pas ce qu'il s'est passé, tout s'est enchaîné, les événements et les personnages ce sont emballés. Tout est devenue flou à tel point que je n'ai rien compris à l'histoire, à l'enquête et je n'ai même pas compris la fin, le dénouement ce qui est cruel pour un livre !

Et vous, êtes-vous aussi énervé après n'avoir rien compris à un dénouement ?

Comme vous l'aurez compris avec cette courte chronique, je n'ai pas du tout compris ce livre alors qu'il semblait être prometteur. Je ne peux donc pas vous en dire plus concernant ce livre...

Je n'ai pas très bien compris l'intrigue. Etais-je mal réveillé ? J'ai bien aimé les réflexions autour de la vie en Sardaigne mais moins l'ultra violence de certaines scènes. Je passe