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EAN : 9782709662482
200 pages
J.-C. Lattès (02/10/2019)
  Existe en édition audio
3.51/5   192 notes
Résumé :
Le premier souvenir de solitude ? Un petit garçon coiffé en brosse qui réclame sa mère à l'accueil d'un grand magasin. Plus tard, c'est un enfant de 10 ans qui nage seul dans la mer du nord et qui lorsqu'il se retourne découvre la plage vide : personne ne l'a attendu. Puis c'est la première danse refusée, la première rupture, le premier deuil, mais c'est aussi tous ces moments choisis, voulus, espérés, goutés : seul avec un livre, avec une musique, seul à regarder l... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (44) Voir plus Ajouter une critique
3,51

sur 192 notes
"L'être humain n'aime pas être seul. Comme la fleur a besoin de soleil pour éclore, l'homme a besoin de soleil pour éclore, l'homme a besoin de chaleur humaine pour s'épanouir. La solitude lui est pénible, quand il est seul, il s'emmerde.
Les architectes des logements sociaux ont ainsi des consignes strictes, ils doivent faire attention à ne pas trop insonoriser les cloisons. Les appartements trop silencieux donnent des angoisses aux locataires.
Ils se sentent seuls et ce n'est pas bon pour le moral. le bruit des autres c'est la musique d'ambiance des pauvres." (p. 98)

Un auteur qui me touche infiniment depuis longtemps : le rire, l'humour, les exagérations -provocations, l'autodérision pour cacher la peine...Des pieds de nez, des courts textes alternant tour à tour les malheurs , les paniques , les horreurs ou les joies, moments "bénis" créés par la Solitude...

"Autrui nous aide à voir les choses différemment, à changer de point de vue, à élargir notre horizon, à douter, parfois il nous donne l'exemple. Il nous permet d'exprimer nos idées, de les mettre à l'épreuve, il est la meule sur laquelle on peut les dégrossir, les affiner et les polir. Si on n'a personne pour nous contredire, on finit par croire avoir toujours raison, et on commence à avoir tort. "(p. 55)

Comment , jeune, on ne veut pas être comme les autres, se distinguer , être à part !... Et le temps passe, la perte des êtres aimés, l'âge avançant , modifient nos manières d'appréhender la vie, la présence ou non des autres... Comme chaque fois, Jean-Louis F. traite d'un sujet grave avec son
élégance ironique, clownesque, tour à tour grinçant, bienveillant, moqueur ! Ses pirouettes de clown ne font pas oublier sa tendresse et sa sensibilité d'écorché vif !!

Comme toujours il alterne bienveillance, humour noir, tendresse et crises de misanthropie... provocatrices comme son grand ami, Pierre Desproges, à qui il rend un hommage appuyé dans cet opus !

"Tout ce qu'on sait, c'est souvent grâce aux autres , leur conversation, leur livre, leur oeuvre... Certains "autrui" sont des allumeurs de curiosité et de réverbères, ils nous aident à avancer dans le noir et à éclairer nos nuits. "(p. 55)

Un texte universel... sur une des souffrances centrales de l'Humain: La Solitude ; Ouvrage qui fait du bien, car il exprime l'essentiel de nos peurs, de nos angoisses en utilisant l'humour, le rire ...!

Des courts textes sur mille sujets reliés à la solitude des individus: le quotidien, la difficulté des dimanches, de l'hiver, des départs en vacances, de la solitude à deux,la maladie et la mort, etc.

"Ils sont mariés depuis trente ans.
Ils n'ont plus rien à se dire.
La solitude est-ce la pire ou la meilleure des choses ?
ça dépend de l'autre.
Quelquefois c'est mieux quand il n'y a pas d'autre..." (p. 138)

Je termine ce billet avec deux extraits qui donnent le ton de l'ensemble: un balancier constant entre la peur-panique devant la solitude... et parfois , sa recherche bienfaisante !...

"Je suis seul devant un détecteur de mensonge. Il s'est mis à sonner d'une façon assourdissante.
Je venais de dire :
"J'aime être seul".
Je n'arrive pas à l'arrêter.
Tout le monde va savoir que je suis un menteur. "

"La solitude, c'est tendance et c'est lourd. J'ai essayé de faire un livre léger. Avec plus d'accordéon que de violoncelle, quelques rires ajoutés et quelques facéties quand ça devient vraiment triste."
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Sourire puisque c'est grave.

C'est un domaine dans lequel Jean-Louis Fournier excelle. La gravité qui fait sourire. Je me souviens avoir lu, avec beaucoup d'émotions, deux de ses ouvrages, Où On Va Papa ? et Veuf .

Ici, il va évoquer la solitude. Celle du grand âge. Celle des hommes qui deviennent vieux.

Jean-Louis Fournier offre une plume tendre et délicate et se raconte, encore, avec cette nonchalance étudiée qui fait mouche, chez moi, à chaque fois !
Il contemple ainsi sa propose déchéance, pose un regard mordant sur ce qu'il est, sur ce qu'il ne sera pas. Sur l'absence de l'autre, cette solitude de l'espace et du temps qui passe. Dans de courts chapitres, il évoque une vie faite de moments de solitude.

Jamais affecté, ni condescendant avec lui-même, il évoque la vie, la sienne et la nôtre.

Un récit comme une rencontre. Une entrevue pour entrevoir. Des bribes. Des confidences. Entre un auteur et son lecteur. On écoute Jean-Louis Fournier. On sourit. On s'émeut. On s'étonne. On se retrouve dans ces mots.
La solitude comme drapeau, comme fil conducteur. Celle de l'enfance, celle de l'amour. Celle qui brûle, plus ou moins fort, à certains moments de l'existence. Une compagne, amère et étonnamment réconfortante à l'occasion.

Essai autobiographique et universel d'une réalité parfois douloureuse. Mordante. J'ai aimé cette façon de ne pas s'apitoyer tout en étant parfois terriblement émouvant.

Cette fameuse solitude revêt des couleurs différentes, un peu bouleversantes. L'isolement lorsqu'on vieillit. L'éloignement avec ceux que l'on aime. La perte définitive. L'exil pour se trouver. La joie de ne pas être multiple. le choix de ne pas faire comme tout le monde. de s'abriter de l'autre. La différence, qui isole.

J'avais en tête, comme souvent, une chanson, tout au long de ma lecture.
Les uns contre les autres.

« Mais au bout du compte, on se rend compte, qu'on est toujours tout seul au monde. »

Mais nous ne sommes pas les seuls. A être seuls.

Lien : https://labibliothequedejuju..
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De Jean Louis Fournier, j'avais, comme beaucoup de monde dévoré "Où on va papa?" , Prix Fémina 2008, qui retraçait une terrible et tragique épreuve de sa vie (le handicap de ses deux fils), sur un ton à la fois très optimiste et plein d'humour, un humour qui est pour lui un reflexe un peu comme cette fameuse "politesse du désespoir" chez cette brillante plume de Pierre Desproges.

Depuis, à intervalles réguliers, Jean Louis Fournier nous donne de ses nouvelles littéraires avec sa façon bien à lui de dire les choses les plus graves et les plus personnelles avec beaucoup d'humour, d'ironie et ce ton qui pourrait paraitre parfois féroce, mais qui en fait cache énormément de tendresse et de pudeur.

"Je ne suis pas seul à être seul," le titre du nouveau livre de Jean Louis Fournier, qui vient juste de sortir chez JC Lattès a fortement résonné en moi, car il ressemble quasiment à la copie parfaite de ce que je chantais gamin dans la cour de récéré, sauf que contrairement à Fournier, je clamais à qui voulais l'entendre que j'étais le seul à être seul, ayant le sentiment qu'autour de moi, tout le monde réussissait à trouver son partenaire de jeu.

Si depuis mes jeunes années, j'ai réussi à lutter contre cette solitude dévorante, celle ci revient de temps en temps me hanter, et comme le livre de Fournier nous le montre, il est essentiel de réussir à l'accompagner pour ne pas en avoir peur et vivre avec elle avec harmonie.

L'ex plume de Desproges nous montre aussi qu'il est nécessaire de déterminer quand la solitude est imposée et quand elle est choisie, disctinction non faite par la langue française contrairement à la langue anglo saxonne.

" Dans ma maison à la campagne, j'ai des chambres d'amis, mais je n'ai plus d'amis."

C'est le propos de Jean Louis Fournier qui, veuf depuis dix ans, évoque sa solitude par touches délicates, et nous amène dans un séjour en solitude, avec ses chagrins et ses petites joies, avec les souvenirs que l'on se retrouve seul à conserver, faute de pouvoir les partager avec quelqu'un qui se souvient.

Le facétieux Jean Louis Fournier se fait sans doute plus grave que dans ses précédents romans, mais la sincèrité et la légereté qui échappent de son livre permettra à ses lecteurs de mieux le connaître avec une façon originale et ludique de déjouer la peur de la solitude.

Jean-Louis Fournier nous raconte son quotidien, ses silences, ses inquiétudes d'homme seul, mais n'oublie pas par ailleurs de narrer des moments de vie à plusieurs et nous montrer que la solitude c'est aussi réussir à désirer entre deux moments collectifs et forcément plus bruyants le retour au calme solitaire.

Léonard de Vinci a écrit : " si tu es seul, tu seras tout à toi.".

Jean-Louis Fournier conserve le goût des mots, le sens de l'épure et de la fantaisie et sait comme toujours convoquer l'espièglerie de l'enfance.

Ainsi, les souvenirs de solitude qu'il egrène par petites touches ont quelque chose de profondément poignants. On mesure bien à quel point ce n'est pas toujours facile pour l'auteur de prendre les choses avec la légereté qu'il aimerait tant avoir en toute occasion.

Mais cette sincérité et cette absence de faux semblants , et cette volonté malgré tout de ne jamais plomber le lecteur, rend le propos encore plus déchirant.

Et une fois refermé le livre de Jean Louis Fournier, on a envie de rendre visite aux gens de notre entourage qu'on sait seuls et ce le plus vite possible.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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C'est le bandeau du livre qui a d'abord attiré mon oeil puis le titre qui m'a plu. Je n'ai jamais rien lu de l'auteur, donc c'était le moment de le découvrir.
Je ne m'attendais pas à ce type de lecture, je pensais trouver un roman, or, il s'agit plus de pensées, de petites réflexions sur la solitude.
Il y a de l'humour, un humour à la Desproges, cela a donc rattrapé un peu ma déception.
Jean-Louis Fournier nous livre donc ses réflexions sur la solitude sous différentes formes. La solitude de l'enfant qui attend sa maman à la caisse, celle du veuf qui se retrouve à vivre seul mais aussi la solitude appréciée, celle qui delivre , celle qui donne une liberté.
Humour mais aussi tristesse, mélancolie, ressortent de ce livre qui ressemble à un recueil de pensées.
C'est agréable à lire mais ce n'est pas "une forme de littérature" que j'affectionne particulièrement.
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Une lecture qui dès les premières « pensées » m'ont un peu gênées par le ton, par les sentiments qui transpiraient, n'ayant jamais lu cet auteur, je lui trouvais des accents Desprogiens qui ont été confirmé dans ma lecture par l'évocation de l'humoriste et de leur travail en commun. Mon ressenti était juste…. N'étant pas réceptive à ce genre d'humour, je sentais que je m'engageais dans un style qui ne me correspondait pas.
"Je préfère le silence de la solitude au vacarme de la multitude, la fraîcheur apaisante de la solitude à la chaleur étouffante de la multitude.(p57)"
L'auteur est confronté à la solitude, solitude imposée, non choisie et nous fait part de ses pensées sur cette existence faite du vide laissé par les êtres chers et en particulier de sa femme, Sylvie, qui l'attend au Père Lachaise. C'est un court recueil teinté de mélancolie dans lequel Jean-Luc Fournier porte un regard sur lui-même et sur le monde qui l'entoure, regard sarcastique, critique sur ses contemporains et dans lequel il tente malgré tout de trouver encore un sens à son existence.
Il faut être amateur de ce style d'écriture qui mêle humour assez noir et dérision pour rendre les choses plus supportables, comme il l'avoue :
La solitude, c'est tendance et c'est lourd.
J'ai essayé de faire un livre léger.
"Avec plus d'accordéon que de violoncelle, quelques rires ajoutés et quelques facéties quand ça devient vraiment triste. (p133)"
Pour ma part j'ai eu un peu de mal à l'apprécier car je vois la solitude comme un sentiment plus positif car voulue, le choix d'être une sorte d'ermite, de savourer le silence, de vivre loin du déchaînement du monde moderne.
L'auteur se révèle comme une sorte de misanthrope, jugeant le monde qui l'entoure comme responsable de son état mais ne se remettant pas en question sur son attitude. Ainsi va le monde, ainsi va les aiguilles du temps, les cheveux blanc arrivent et l'horloge tourne, vite, bien trop vie. Seule, Claire, jeune étudiante bénévole déléguée par la Mairie auprès des personnes isolées, trouve grâce à ses yeux, peut-être parce qu'elle passe outre ses remarques, peut-être qu'elle-même comble sa solitude en venant en aide aux autres esseulés.
Oui dans notre monde hyper connecté la solitude s'installe, les gens ne se parlent plus comme ces couples qu'il observe au restaurant et qui n'ont plus rien à se dire, ces familles disloquées, comme ces humains qui étalent leur vie sur les réseaux sociaux mais ne s'inquiètent pas de leurs voisins, nous vivons dans un monde d'ultra moderne solitude comme le chantait Alain Souchon.
J'ai choisi cette lecture pour le thème : la solitude, un thème qui m'intéressait et que je ne trouve pas pour ma part forcément négatif. Je l'ai lu jusqu'au bout car Jean Louis Fournier a malgré tout un regard pertinent sur le monde qui l'entoure à la manière de Philippe Delerm lu très récemment mais sur un ton plus sombre, il n'hésite pas à se montrer sous son plus mauvais jour, celui d'un octogénaire bougon, râleur, égoïste. Il est apparemment coutumier de ce style, c'est donc plus moi qui ne suis pas réceptive à ce langage mais reconnaissons lui le courage de se montrer sous un mauvais jour….
Je vous invite à découvrir le billet de Usva qui apprécie cet auteur depuis longtemps et qui m'a encouragée à le découvrir dans un de ces précédents romans. C'est noté !
A conseiller aux amateurs de ce style, aux inconditionnels de Pierre Desproges qui y retrouveront cet humour parfois glacial et qui moi m'a laissé un peu de glace….
Lien : https://mumudanslebocage.wor..
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Citations et extraits (90) Voir plus Ajouter une citation
Je me suis marié deux fois, pour ne pas être seul.La première fois, c'était le hasard, la seconde fois c'était le plus heureux des hasards.

(...) La première fois, je suis devenu paysan, par amour de la culture, pour être seul dans la nature, derrière un cheval ou sur un tracteur, et pour les beaux yeux de la fille du fermier.
J'ai voulu reprendre la ferme de son père et courageusement j'ai labouré les grands champs de
l' Artois, même la nuit.
Je passais des moments inoubliables sur le tracteur à labourer.Seul dans l'immensité de la nuit, je devenais le capitaine d'un bateau secoué par les vagues de la terre, ou alors j'étais Mermoz, le pilote héroïque d'un avion rugissant dans le pot au noir de la cordillère des Andes.
Je devenais un héros des temps modernes, le père nourricier d'une humanité roupillante.

( p.83)
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Autrui nous aide à voir les choses différemment, à changer de point de vue, à élargir notre horizon, à douter, parfois il nous donne l'exemple.
Il nous permet d'exprimer nos idées, de les mettre à l'épreuve, il est la meule sur laquelle on peut les dégrossir, les affiner et les polir.
Si on n'a personne pour nous contredire, on finit par croire avoir toujours raison, et on commence à avoir tort. (p. 55)
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L'être humain n'aime pas être seul. Comme la fleur a besoin de soleil pour éclore, l'homme a besoin de soleil pour éclore, l'homme a besoin de chaleur humaine pour s'épanouir. La solitude lui est pénible, quand il est seul, il s'emmerde.
Les architectes des logements sociaux ont ainsi des consignes strictes, ils doivent faire attention à ne pas trop insonoriser les cloisons. Les appartements trop silencieux donnent des angoisses aux locataires. Ils se sentent seuls et ce n'est pas bon pour le moral. Le bruit des autres c'est la musique d'ambiance des pauvres. (p. 98)
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« A l'occasion d'un documentaire sur l'identité, un pédopsychiatre avait déclaré qu'un enfant devenait vraiment lui la première fois qu'il disait non.
Comme je voulais être moi et pas un autre, j’ai souvent dit non. En disant non on se sépare des autres, ont désobéit on s'expose à la solitude. Mais on gagne en liberté.
Quand on quitte les autoroutes, on divague dans les chemins buissonniers, on peut se perdre, quelques fois on trouve des fleurs sauvages.
Descartes a écrit « je pense donc je suis ». Il aurait pu ajouter « seul » : « Je pense donc je suis seul » et pourquoi pas écrire « Je suis seul, donc je pense ».
Quand on est seul, on pense, on réfléchit. C'est plus difficile avec les autres, à cause du bruit. A plusieurs, on se sent obligé de parler, et quand on parle, on ne réfléchit pas toujours et parfois, pour plaire, on dit ce que les autres ont envie d'entendre.
Quand je suis seul, je me sens libre, je peux penser ce que je veux, je me réfugié dans mes pensées, j’ai comme on dit « la tête ailleurs ». J'adore avoir la tête ailleurs, divaguer, libérer les folies que j'ai dans le crâne.
Avoir dépassé saugrenue, inconvenantes, parfois, inavouables. Il n'y a pas de pensée interdite. Je veux être un libre-penseur. Nos grands penseurs ont toujours revendiqué la liberté de penser. »
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L'autre, il a freiné pour ne pas m'écraser, et il m'a fait un signe amical.
Il m'a retenu la porte, il m'a cédé sa place assise, il m'a laissé passer devant, il m'a souri, il a ri quand j'ai fait une plaisanterie.
Il m'a donné du feu, quand les croquants et les croquantes, tous les gens bien intentionnés m'avaient fermé la porte au nez.
L'autre n'a pas que des défauts.


( p.51 / Lattès, 2019 )
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Vidéo de Jean-Louis Fournier
Parole d'écrivain avec Jean-Louis Fournier
Pour ce quatrième episode de la nouvelle saison de « Parole d'ecrivain », Sarah Masson avait rendez-vous avec Jean-Louis Fournier, qui vient de publier son nouveau roman « Je n'ai plus le temps d'attendre ». Pour Jean-Louis Fournier, l'écriture est un jeu, un plaisir de raconter et une grande liberté. C'est aussi un homme pressé qui nous parle de notre rapport au temps. Bonne ecoute !
Un podcast de Sarah Masson, egalement auteure d'un premier roman chez JC Lattes : « le Silence apres nous ».
#paroledecrivain #podcast #sarahmasson #jeanlouisfournier #jenaiplusletempsdattendre #ecriture
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