La vie devant soi

Les sujets évoqués sont graves (le sort des juifs pendant la guerre, la mort omniprésente, l'euthanasie, l'abandon d'enfants de mères prostituées), mais le ton est léger car le narrateur est un enfant, Momo.
Malgré cela, les 200 premières pages m'ont fait pas mal bâiller. Ça tourne en rond, ça se répète et le langage de Momo m'a rapidement lassée. Je n'ai pas pu lire ce roman d'une traite. J'ai fait plusieurs pauses pour lire d'autres romans, ce que je déteste faire, mais c'était ça où j'abandonnais. Et puis miracle, j'ai découvert un passage jubilatoire dans lequel un père vient voir son fils chez Madame Rosa. A partir de là, j'ai plus apprécié le roman. Il était temps.
Mais globalement, ce qui me restera, c'est l'ennui. Et je suis partagée entre le doute et l'admiration devant l'entraide qui existe entre tous ces gens de l'immeuble et du quartier.

Très déçu par ce livre considéré comme un des chefs-d'oeuvre de R. Gary. D'autant que Les racines du ciel m'avaient enchanté. Ici, l'auteur choisit une narration qui sonne très faux, en tâchant d'imiter le style d'un enfant. Et de mon point de vue cela ne fonctionne pas. Et sans rire, le petit Nicolas de Sempé-Goscinny a beaucoup plus d'authencité. le livre m'est littéralement tombé des mains sans que j'ai eu le temps de m'attacher à qui ou quoi que ce soit. Très perplexe face au succès rencontré, car si loin de la magie et du style superbe des Racines du ciel.

Le livre : le journal d’un jeune garçon d’une dizaine d’années, élevé par une veille juive rescapée de la guerre 39-45, prostituée, puis nounou clandestine de « fils de putes ».
Il évoque les traumatismes subis par cette femme maintenant vieille et grosses, il nous fait entrer dans le monde de la prostitution des années 70.

Le style : celui d’un jeune garçon sans trop d’éducation, qui écrit comme l’on parle dans son entourage.

Si j’ai été au début très admirative du style original, j’ai au bout de la 50ième page fini par me lasser de sans cesse trébucher sur des fautes de français et de grammaire.

L’histoire : sombre, pesante.

Je reste très impressionnée par l’auteur, sa brillante imitation d’une écriture enfantine, ses tournures, sa description sans filtre de la vie des prostituées et des enfants naissants de cette activité, sa finesse de l’observation…..mais je n’ai pas accrochée, à partir de la 50ieme page je suis passée à la fin du livre.

Lien : http://rosannadelpiano.perso..

Pas mon préféré... je crois que je préfère nettement Romain Gary à son avatar Ajaresque... Cela dit, je retrouve dans ce livre une paternité aux romans de Pennac des débuts (que j'aime beaucoup), alors...

Je sais que ce livre a été un coup de coeur pour beaucoup de monde mais malheureusement pas pour moi. L'histoire est très belle, très touchante. Mais j'ai eu beaucoup de mal avec le style d'écriture. Je n'ai pas réussi à me mettre dans la tête du personnage.
Malgré cela, je suis contente de l'avoir lu car je pense qu'il fait parti des livres « classiques ».

Je n'ai absolument pas été emballée..
Et comme cela arrive si peu impossible de finir ce livre.
Au fil des pages aucune envie d'aller plus loin, ou sont les petites choses qui font que cela pourrait être intéressant ?
Cela me laissera un très mauvais souvenir.

Le prix Goncourt ? Vous êtes sûrs?

non terminé !! Lu 30 pages seulement, mais le style me dérange grandement… Je n'arrive pas à accrocher à l'histoire non plus. Peut être je réussirai à le lire une autre fois ? Et une grande question, tous les romans de cet auteur sont écrits comme cela ??

Grosse déception avec ce livre ! Après avoir vu le film " la promesse de l'aube" j'ai eu envie de lire un livre de ce grand auteur et on m'a conseillé "la vie devant soi"....... Que dire....... je n'ai pas du tout aimé l'écriture "enfantine" de ce livre qui m'a profondément dérouté et ennuyé, la syntaxe de ce livre est vraiment mauvaise et dérangeante.
L'histoire entre momo et cette vieille prostituée qui l'a accueilli est très belle mais ça ne l'a pas fait.....
J'ai fait plusieurs pauses pour aller au bout et je suis vraiment consternée qu'un tel livre ait pu avoir le prix Goncourt .

On me l'avait conseillé alors je l'ai lu. L'écriture est très très particulière et j'ai eu du mal à le lire bien que l'histoire soit intéressante.