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sur 564 notes
La lecture de ce court roman d'anticipation m'a fait subir les mêmes effets que ce qu'y vivent les personnages : se trouver totalement immergé dans l'histoire. A ceci près que dans cet univers où une lutte ouverte opposent les Lettrés et les Zappeurs (point n'est besoin d'explication plus précise : il y a ceux qui tournent les pages et ceux qui regardent les images....), dans ce monde donc, un virus se répand de faon extrêmement contagieuse : parcourir un livre plonge le lecteur au coeur de l'histoire mais en efface les pages.... Les livres sont donc grandement menacés et deviennent des proies hautement convoitées. La narratrice est doublement atteinte en tant qu'écrivaine, puisque les pages qu'elle crée disparaissent au fur et à mesure. Et pour cette jeune femme sourde et muette, c'est un moyen d'expression vital qui lui échappe. La voilà très motivée pour accepter la mission que lui confie l'AEIOU : découvrir qui est à l'origine de cette épidémie...

C'est à la fois drôle, attractif, et inquiétant.
Drôles les sigles utilisés (les ordis BCBG -Big Computer Bill Gates-, l'AEIOU - académie européenne des intellectuels officiels unis dont les membres sont appelés des Voyelles- ....).

Attractif pour les incursions dans plusieurs romans culte, en compagnie de la narratrice et des personnages (comme chez Jasper Fforde)
Inquiétant car le modèle de société décrit n'est pas si éloignés du nôtre.

C'est donc un très agréable roman que même les lecteurs réticents à l'anticipation devraient apprécier


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Au début des années quatre-vingt-dix, internet et les jeux vidéos sont en pleine expansion. Beaucoup s'inquiètent alors de la menace que le livre électronique fait peser sur le livre-papier. Certains prédisent même la mort de ce dernier.
Christian Grenier explique qu'à cette époque, quand il intervenait dans des collèges ou des médiathèques, on lui posait souvent la question : "D'après vous, quand les livres vont-ils disparaître ?", comme si en tant qu'auteur de SF il avait la faculté de connaître un peu l'avenir...
Il ajoute : "Je tentais de rassurer mes interlocuteurs. Contrairement à certains de mes collègues ou camarades (comme Alain Grousset, avec qui j'avais fait un pari !), je ne redoutais pas du tout la concurrence des écrans, d'Internet et encore moins celle des e-book. Moi-même amoureux des livres, j'étais persuadé que ceux-ci perdureraient. Mais je devinais chez les intellectuels (écrivains, profs de Lettres, documentalistes, bibliothécaires) une telle angoisse et un tel désir de sauvegarder le livre (et, indirectement, leur emploi) que je résolus de leur répondre... au moyen d'un roman !"
Voici donc expliquée par l'auteur lui-même la genèse de ce drôle de livre.
Un livre fort sympathique qui a l'avantage d'offrir plusieurs niveaux de lecture. Un roman estampillé "jeunesse", mais qui peut s'apprécier à tout âge.
Les plus jeunes lecteurs y verront une histoire un peu folle, avec des personnages originaux et amusants.
Les moins jeunes apprécieront le clin d'oeil appuyé à Ray Bradbury, dans la dédicace "To Ray Bradbury, of course" et dans le récit. Mais alors que dans Fahrenheit 451 les livres sont interdits par le pouvoir qui se sert des écrans pour gouverner, dans Virus LIV 3, c'est l'inverse : le pouvoir est au mains des Lettrés qui interdisent les écrans.
Il y a beaucoup d'humour dans ce texte, là encore, plus ou moins accessible selon le degré de compréhension du lecteur. Personnellement, j'ai beaucoup aimé les noms des personnages, qui font référence à des héros de romans connus. Si certains, tels Allis L.C. Wonder ou Colin B.V. Chloé se décodent facilement, d'autres m'ont donné plus de fil à retordre... mais, chut... je n'en dis pas plus et vous laisse le plaisir de les découvrir. Christian Grenier a dû bien s'amuser en les inventant, tout comme les nombreux sigles tout droits sortis de son imagination et dont le livre est truffé. Il y a même un glossaire en fin d'ouvrage pour nous les expliquer. Je ne résiste pas au plaisir de vous en donner un : l'AEIOU, qui est l'Académie Européenne des Intellectuels Officiels Unis et dont les membres sont nommés... les Voyelles !
Quel est donc ce mystérieux virus qui efface les lettres d'un livre au fur et à mesure de la lecture, et qui contamine les lecteurs qui le transmettront de livre en livre ? Et, question cruciale pour nous, lecteurs passionnés : les livres vont-ils lui survivre ?
À vous de lire Christian Grenier pour avoir la solution.
Une lecture distrayante et intelligente, une jolie façon d'initier les jeunes lecteurs à la SF.
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"Virus L.I.V.3 ou la mort des livres" nous plonge dans l'univers des Lettrés, où la lecture et les livres sont les valeurs principales de la société : la lecture est fortement conseillée, les citoyens doivent posséder un permis pour s'exprimer devant plus d'une personne, afin que la parole ne soit plus utilisée n'importe comment. La société est dirigée par les Voyelles, écrivains émérites qui renoncent aux honneurs et à la richesse pour rejoindre le gouvernement. Tout ce qui est visuel ou électronique est mis au ban de la société : écran, Internet, cinéma, ...

Allis vient d'être acceptée parmi les voyelles. Elle est sourde-muette, particularité mal acceptée dans un monde où la parole est tellement précieuse. Mais les autres Voyelles l'ont justement choisie dans ce but : étant donné son handicap, elle est la seule à pouvoir s'infiltrer chez les Zappeurs, pour tenter de découvrir qui se cache derrière le virus du L.I.V.3 : ce virus se répand dans toutes les bibliothèques. Chaque personne qui lit un livre infecté efface l'encre du livre, et se retrouve en échange dans un monde virtuel qui retrace le roman. Toute possibilité d'imagination est donc rendue impossible, on ne peut suivre l'histoire qu'à travers ce monde.

Ce roman est destiné à la jeunesse, mais est assez agréable à suivre. Il y a de multiples références à d'autres oeuvres, je ne suis d'ailleurs pas certain de les avoir toutes relevées. Les noms des personnages par exemple sont savoureux : Céline L. F. Bardamu, Allis L.C. Wonder, ... Il est aussi intéressant de montrer que les univers littéraire et électronique peuvent s'enrichir mutuellement, au lieu de les voir comme des ennemis irréconciliables.
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« Bonjour les Babélionautes ! Aujourd'hui, on va parler d'un roman de SF jeunesse, Virus L.I.V.3 ou la mort des livres, de Christian Grenier.

Or donc dans un siècle, la lecture est devenue obligatoire et les écrans sont bannis et méprisés. La population est divisée en deux camps : les Lettrés et les Zappeurs. C'est dans ce contexte qu'Allis publie un roman et se retrouve chargée d'enquêter sur les Zappeurs : ces derniers ont mis au point un virus détruisant les livres. Pourra-t-elle sauver la littérature ?

-Bon, moi, j'ai déjà un problème là. Une dictature littéraire ? N'importe quoi. Ce sont les écrans qui s'imposent, pas les romans. Dès le départ, ça commence mal et j'y crois pas.

-Mais justement, c'est intéressant de prendre le contre-pied de Fahrenheit 451, où ce sont les écrans qui dominent la société !

-Mouais. Pourquoi pas. J'me méfie quand même. de toute façon, l'auteur est un homme qui écrit un perso féminin. Ca aussi, je me méfie. Je le sens pas.

-Hé bien, on verra. Alors, pour commencer, le roman fourmille de références littéraires qui ne manqueront pas de résonner en vous, à commencer par les noms des personnages : Allis LC Wonder, Rob DF Binson… Même Lund, dont le prénom est apparemment simple, possède une importante signification.

-Désolée, moi je trouve que certains noms sonnent trop ridicule pour leur prêter la moindre crédibilité. L'AEIOU : c'est imprononçable ! Et les Zappeurs, oh là là, ce nom, quelle esclaffade ! Tu vas prendre au sérieux des activistes qui se présentent comme les « Zappeurs Zinzins » ? « Attention, on va faire des trucs très méchants, car nous sommes… les Zappeurs Zinzins ! » « Oh non ! Encore un coup des Zappeurs Zinzins ! Ce sont des monstres ! » Hahahahahaha !

-C'est peut-être fait exprès pour dédramatiser l'ambiance, mettre un grain de fantaisie…

-Ben moi, ça me fait décrocher, ça ne colle pas avec le reste du roman.
-Ledit roman n'est pas mal, d'ailleurs : j'aime beaucoup l'hommage rendu à la lecture, en la citant, en mettant en abyme… et l'action est intense, bien rythmée…

-Hélas, Allis représente un nouvel exemplaire de cliché insupportable ! Elle ne fait rien !

-Rhôôôôh, tu exagères !

-D'accord. Tu as raison : elle prend le RER de sa propre initiative et sans difficultés liées au trafic, aux travaux ou à l'annulation de trains. Comme quoi, la SF rend possibles nos rêves les plus fous.

-Et allez, tapons sur la RATP… Tu ne peux pas nier que certains passages qui lui sont consacrés la rendent fort émouvante.

-Certes, mais elle m'a aussi bien énervée : encore une demoiselle en détresse qu'il faut sauver et ça m'agace ! Ca m'irrite aussi quand elle découvre sa mystérieuse correspondante du Net : elle passe de la colère à la disparition de cette colère en quoi, une page ? Je veux bien qu'on soit dans un roman jeunesse, mais là, on nage dans l'absurde ! J'ai horreur des sentiments incohérents, plaqués là parce qu'on l'a décidé au mépris d'un minimum de vraissemblance ! Et puis, il y a trop d'incohérences dans l'usage fait de la technologie. Je n'en dis pas plus pour ne pas spoiler.

Je suis désappointée, parce que j'éprouve la sensation d'avoir lu un roman qui oscille entre deux publics : l'un aguerri en littérature et en SF, l'autre novice, naïf, pour lequel on se permet de trop gros raccourcis. Je pense que l'histoire aurait gagné en profondeur si elle avait été plus étoffée.

-Mais peut-être qu'elle aurait trop riche pour de jeunes lecteurs, du coup…

-Peut-être.

-Quoi qu'il en soit, c'est un roman intéressant pour initier vos jeunes enfants à la SF.

-Ouais, mais vous leur expliquez qu'on peut être une femme et ne pas avoir besoin d'être constamment sauvée, hein ? Merci, bisous. »
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Petit livre destiné aux collégiens d'à peine 200 pages, L.I.V.3 est une petite merveille.

Le virus de la Lecture Interactive Virtuelle décime les livres. Lorsqu'un lecteur lit le texte d'un ouvrage, il pénètre dans l'histoire, la visualise en 3D et peut interagir avec les personnages devenant même l'un d'eux. Mais au fur et à mesure de la lecture, le texte imprimé disparaît totalement ne restant plus que dans la mémoire du lecteur. Face à ce fléau, le gouvernement des Lettrés, qui a interdit les nouvelles technologies, décide d'envoyer leur nouvelle recrue, la voyelle Allis, infiltré la ZZZ « zone des zappeurs zinzins » afin de mettre un terme à cette calomnie. Allis découvre alors que le leader des zappeurs zinzins est en réalité Lund/Mondaye/Sonn, le fils de sa patronne Emma. Ce dernier lui explique que ce virus avait au départ été mis en place pour contrer sa cécité et que sa propagation était un pur accident. Suite à la trahison de Céline, une autre voyelle, Emma, Allis (sourde et muette) et toute l'AEIOU décide d'allier leur effort pour développer le monde des livres ET le milieu informatique car dans les livres il y a encore des livres et que l'informatique est une porte vers le développement de la lecture.

Christian Grenier parvient à poser l'essentielle des questions soulevées autour du développement croissant du e-book à partir de la réalité actuelle dans un ouvrage de science-fiction pas si fictif que ça. Publié en 2001, je n'ai pu que constaté que les hypothèses émises sur le futur du livre et de la société sont plus d'actualité qu'il y a dix ans. Visionnaire donc, Christian Grenier était déjà bien proche de la réalité présente. Cet ouvrage est l'occasion d'expliquer à des jeunes que le mode de lecture qu'il connaisse et utilise quotidiennement n'est plus celui dont usait la génération précédente. Excitent les ouvrages papiers, nous voici dans l'air des liseuses et livres numériques. Plus facilement diffusable, sauvegarder su les ondes, même le gouvernement des Lettrés ne peut nier les possibilités qu'offre le numérique.

Le livre LIV3 en lui-même est extrêmement facile à lire. L'auteur ne se contraint pas à user d'un vocabulaire informatique complexe, les noms des lieux comme la ZZZ, l'AEIOU, le CCC (le Couvert, le Coucher, la Culture) sont très bien trouvés bien qu'enfantins – mais l'essence même du livre respire d'une volonté de simplicité. Absolument génialissime, je regrette de n'avoir découvert ce roman qu'à mes 19 ans. Les débats en cours de communication à la fac n'en aurait été que plus enrichi de citations tiré de ce chef-d'oeuvre !

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En prenant ce livre dans ma pile hier, je ne m'étais pas aperçu que je lirais « la mort des livres », le jour de la fête des Morts.
C'est un petit ouvrage qui m'a attiré lors d'un de mes achats. Et j'adore lire des livres qui parlent de livres… Allez comprendre pourquoi ?
N'empêche, ce fut une belle petite histoire, ou les intrigues sont évidentes, mais joliment racontées.
Un court dépaysement dans l'Univers du fantastique et de la lecture jeunesse.

Et comme le dit l'auteur à la fin :

Aussi, au moment où tu vas refermer cet ouvrage, lecteur, il faut que tu admettes cette éventualité : peut- être es-tu le héros d'une autre histoire, la tienne, qu'un lecteur lit dans un monde plus réel que le tien. Et moi, Allis, je tiens à te remercier : grâce à toi, désormais, j'existe. Peut-être pour très longtemps. Car ce sont les lecteurs qui rendent les personnages éternels. 

Bonne lecture !
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Je suis partie enthousiaste dans la lecture de ce roman d'anticipation, lecture que je faisais avec ma fille dyslexique dans le cadre scolaire. J'ai trouvé que l'idée de sa professeure de français était excellente : faire lire à sa classe de 5ème un livre de science-fiction (déjà en soi c'est un choix qui sort un peu des sentiers battus) et qui plus est sur le thème de la lecture versus les écrans. Audacieux et on ne peut plus près des préoccupations actuelles des ados et de leurs parents, à qui on sérine à longueur de temps qu'il ne faut surtout pas laisser ses enfants devant les écrans.

J'ai aimé le développement de l'idée de départ justement, le fait que l'on peut à la fois aimer lire et aimer passer du temps devant un film, des jeux ou sur Internet. Pour ma part c'est évident, moi qui ai toujours retrouvé dans les films ce que j'aimais dans les livres : l'immersion dans un autre univers, la découverte d'autres sensibilités, la coupure avec le réel. C'est comme tout je pense, il faut savoir trouver le juste milieu entre ce qui est bon et ce qui devient nocif. C'est peu ou prou la morale de cette histoire et le thème est très bien traité par Christian Grenier.

Mais il y a plusieurs choses qui m'ont fortement gênée dans ma lecture. D'abord, et ce fût rédhibitoire dès le départ et jusqu'à la fin : l'utilisation à l'excès d'acronymes. le pire c'était pour les noms propres. A chaque fois être obligée de s'arrêter pour lire les notes de bas de page qui expliquent le pourquoi du comment de tel acronyme ou telle abréviation, c'est imbuvable... L'auteur s'est certes amusé, mais au détriment de son lecteur.

Et j'ai relevé des incohérences également. Par exemple lorsque le personnage principal, après avoir été trahie par une femme horrible qui a, entre autres méfaits, tout simplement tenté de la tuer, passe à côté au moment du dénouement en disant "Nous échangeâmes un regard de sympathie que personne ne traduisit". What ? Quelle sympathie ?!? Ou lorsque Allis oublie que son amoureux ne sait pas à quoi elle ressemble vu qu'il est aveugle et qu'elle est muette. Petits détails...

Une lecture en demi-teinte pour moi comme pour ma fille, avec du très bon et du moins bon.
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Histoire de science fiction mais pas que.
Concept visionnaire, qui sait ?
La mort des livres face aux écrans.
J'ai beaucoup apprécié ce petit bouquin qui soulève bien des questions et émet des hypothèses sur ce qui pourrait être le futur.
Très intéressant.
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J'ai bien aimé l'objet livre en lui-même, plus précisément la couverture. Cette dernière a des éléments en relief. Ensuite,je connaissais déjà la plume de Christian Grenier, mais j'ai été ravie de le découvrir dans un autre genre: la science-fiction. C'est un genre qui lui sied bien. Christian Grenier a une écriture fluide, qui permet à l'action d'avancer, qui évite l'histoire de stagner.J'ai trouvé l'histoire originale, bien menée. C'était la première fois que lisais un livre où papier et écran se "faisaient" la guerre.
Bien que ce soit une histoire pour la jeunesse, je trouve que ce livre fait écho à la cohabitation des livres et des écrans. C'est une réflexion sur les moyens de diffuser la culture, sur la formation d'élite, sur la radicalisation du pouvoir et des idées.
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Ce petit roman de littérature jeunesse de 200 pages est un vibrant hommage au chef d'oeuvre de Ray BRADBURY, Fahrenheit 451. En effet, la dystopie nous plonge à la fin du XXIème siècle dans laquelle les livres ne sont pas détruits mais au contraire sont devenus des loisirs obligatoires, au détriment des écrans d'ordinateurs ou de télévision, devenus illégaux. Malheureusement, les livres sont victimes d'un mystérieux virus qui effacent leurs lignes au fur et à mesure qu'ils sont lus : la littérature est en danger et le coupable désigné : des terroristes adeptes d'informatiques et d'électronique…

Si au départ, l'auteur oppose livres et écrans comme source de diffusion de la culture, il essaye néanmoins de les rapprocher et démontre qu'ils ne sont pas aussi inconciliables qu'il n'y paraît dans notre société actuelle. Preuve en est : le livre électronique qui commence à se développer.

Certaines idées du livre m'ont également beaucoup plu : ce que j'aimerais moi aussi lorsque je lis un livre me retrouver plongée littéralement dans l'histoire avec les personnages. Je peux vous dire qu'au lieu d'écrire cette critique, j'aurais déjà filé en Terre du Milieu, rencontrer les Elfes d'Imladris ou parcourir la bibliothèque de Mr DARCY dans l'Angleterre du XIXème siècle !!!

Le livre est également bien écrit mais s'il avait été un peu plus long, cela ne m'aurait pas dérangé. En effet, j'ai trouvé que les personnages n'étaient pas assez fouillés ou l'intrigue pas assez développé.

Bref, je conseille vivement ce roman aux plus jeunes lecteurs avant qu'ils ne se plongent plus tard dans Fahrenheit 451 de Ray BRADBURY.
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Pourquoi Allis est-elle différente des autres Voyelles ?

car ses parents sont des zappeurs
car elle utilise des écrans pour pouvoir communiquer
car elle arrive à communiquer avec Soon, le chef des zappeurs

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Thème : Virus L.I.V.3 ou la mort des livres de Christian GrenierCréer un quiz sur ce livre

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